La pesanteur sur la lune est un sixième de celle de la Terre, ce qui signifie que d'un astronaute qui pèserait 140 kg dans sa combinaison spatiale sur le terrain pèserait seulement 30 kilos sur la Lune. And yet the depth of the astronauts' footprints in the sand on the moon suggest they weighed much more than that. Et pourtant, la profondeur des empreintes des astronautes dans le sable sur la lune suggèrent qu'ils pesait beaucoup plus que cela.
Grâce a un ami, Patrick B. qui m'a envoyé ces photos, j'y ai développé ces gifs animés
Brian Geoffrey Marsden est né le 5 aout 1937, il est mort le 18 novembre 2010. Il était un astronome américano-britannique ; il était depuis 1978 le directeur du Minor Planet Center du SAO situé à Cambridge dans le Massachusetts. Le Minor Planet Center, sous les auspices de l’Union Astronomique Internationale, il est l’organisme officiel chargé de la collecte des données d’observation pour les petites planètes (astéroïdes) et les comètes, le calcul de leur orbite et la publication de cette information via le Minor Planet Circulars…
Allan Rex Sandage est né le 18 juin 1926 à Iowa city, Iowa ( Etats-Unis), et est mort à San Gabriel (Californie) le 13 novembre 2010 ; il comptait parmi les plus grands astronomes américains contemporains. Né dans une famille juive, il se convertit vers la fin de sa vie au christianisme. Sandage travaillait à l’observatoire du Mont Palomar. Cet observatoire appartient et est contrôlé par le California Institue of technology (Caltech). L’un des programmes importants attribué au mont Palomar est le programme de recherche des comètes et des astéroïdes géocroiseurs appelés Near Earth Asteroid Tracking (NEAT). les astéroïdes géocroiseurs sont des astéroïdes évoluant à proximité ou en direction de la Terre. Pour les nommer on utilise souvent l’abréviation ECA, de l’anglais Earth-Crossing Asteroids, astéroïdes dont l’orbite croise celle de la Terre. Certains de ces objets étant susceptibles de heurter la Terre, ils font l’objet d’une recherche et d’un suivi particulier…
Les deux hommes sont morts d’une encéphalomyélite aiguë. L’encéphalomyélite aiguë disséminée ou encéphalite post-infectieuse ou encéphalite périveineuse est une maladie inflammatoire démyélinisante du système nerveux central. Elle est habituellement secondaire à une infection virale, bactérienne ou à une vaccination mais peut aussi apparaître spontanément. Elle consiste en une inflammation auto-immune aboutissant à la destruction des gaines de myéline dans la substance blanche, et présente à cet égard des similitudes (physiopathologiques, cliniques et paracliniques) avec les poussées de sclérose en plaques.C’est une maladie rare dont l’incidence vaut 0,8 cas/100 000 personnes/an et qui touche préférentiellement l’enfant et l’adolescent, la plupart des cas survenant entre 5 et 8 ans. Cette maladie fulgurante peut-être inoculée au moyen d’un aérosol, arme très souvent utilisé par la CIA.
as15-88-11901 le lunar rover n'a aucune trace avant et arriere
as15-87-11839 le lem en bas de sa patte a gauche a deux photos, une d'une mission d'apollo et l'autre un astronaute avec aucun casque, joue avec la brillance pour l'affoncir pour le voire plus en detail, j'utilise microsoft office picture manager.
http://spaceflight1.nasa.gov/gallery/images/apollo/apollo15/html/as15-88-11901.html
http://next.nasa.gov/alsj/a17/AS17-134-20469HR.jpg
- 24 avril 1967 : Problème de parachute: Union des républiques socialistes soviétiques, le spationaute Vladimir Komarov meurt à bord de Soyouz 1[2]. Sa mission d'un jour a été émaillée par une série d'incidents pour le vol inaugural de cette nouvelle capsule spatiale, culminant avec la mise en torche du parachute peu après la rentrée atmosphérique. Komarov est mort à la suite de l'écrasement de sa capsule avec le sol.
- 15 novembre 1967: Problème de contrôle: Michael J. Adams meurt durant le vol suborbital dans un avion fusée[3]. Le Major Adams était un pilote de l'United States Air Force participant au programme NASA/USAF X-15. Durant le vol X-15 191, son 7e vol, l'avion commence par présenter des problèmes électriques, puis des problèmes de contrôle à l'apogée du vol. Il est aussi possible que le pilote ait été désorienté. Durant la rentrée depuis 81,1 km d'altitude, le X-15 fit des embardées hors de contrôle et se mit en rotation à la vitesse de Mach 5. L'accélération excessive conduisit à la dislocation du X-15 à l'altitude de 19,8 km. On décerna à titre posthume les ailes d'astronaute au major Adams puisque le vol dépassa l'altitude de 80,5 km (qui est la définition de la frontière de l'espace pour l'USAF), bien qu'il n'ait pas atteint la limite reconnue internationalement de l'espace qui est de 100 km.
- 30 juin 1971 : Équipage exposé au vide de l'espace : L'équipage du Soyouz 11, Georgi Dobrovolski, Viktor Patsayev et Vladislav Volkov, ont été tués après désamarrage de la station spatiale Saliout 1 après un séjour de 3 semaines. Une valve s'est ouverte accidentellement lors de la séparation du module de service, laissant l'air s'échapper dans l'espace. La rentrée atmosphérique et l'atterrissage se déroulèrent de façon entièrement automatique, et le décès de l'équipage ne fut constaté qu'après l'ouverture du module[4].
- 28 janvier 1986 : La navette explose après le décollage: premier accident mortel incluant un vol multiple dans un programme américain. La Navette spatiale Challenger est détruite 73 secondes après le décollage. L'analyse de l'accident a montré une défaillance d'un joint qui a permis aux gaz chauds venant du booster (SRB) de s'échapper. Ceux-ci ont attaqué la paroi du réservoir externe ainsi que la liaison entre le réservoir et le booster. La liaison du booster abîmée, le SRB s'est mis à tourner sur lui-même ce qui a accéléré la destruction du réservoir. La région arrière du réservoir, touché, a déclenché la désintégration de Challenger, entraînant la perte des sept membres d'équipage: Greg Jarvis, Christa McAuliffe, Ronald McNair, Ellison Onizuka, Judith Resnik, Michael J. Smith, et Dick Scobee. Les enquêteurs de la NASA ont déterminé qu'au moins deux membres de l'équipage avaient pu survivre à la première explosion (leurs réservoirs d'oxygène ayant été percutés). Conscients ou non, ces survivants furent tués lors de l'impact de l' habitacle (presque intact) avec la surface l'eau à 320 km/h[5] . Voir aussi Accident de la navette spatiale Challenger.
- 1er février 2003 : La navette explose en entrant dans l'atmosphère: La navette spatiale Columbia fut détruite lors de sa rentrée dans l'atmosphère après une mission de deux semaines. Des dommages sur le système de protection thermique de la navette a abouti à une défaillance structurelle sur l'aile gauche provoquant au final l'explosion de la navette. Les enquêtes après la tragédie ont révélé que les dommages sur l'arête renforcée de l'aile étaient dus à un bloc de mousse isolante qui s'était détaché du réservoir extérieur durant le décollage. L'équipage disparu était constitué de Rick D. Husband, William McCool, Michael P. Anderson, David M. Brown, Kalpana Chawla, Laurel B. Clark, et Ilan Ramon[6]. Voir aussi Accident de la navette spatiale Columbia.
- 17 mai 1966 : Problème d'équipement: Gemini 8: un propulseur d'altitude défectueux refusa de s'éteindre et entraîna la capsule dans une rotation incontrôlée. La force centrifuge devient tellement intense que l'équipage fit un black-out avant de pouvoir reprendre le contrôle.
- Le pilote Stuart Present s'éjecte du véhicule d'entraînement à l'atterrissage lunaire. Neil Armstrong a aussi fait une éjection de ce type. (NASA)
- 3 juillet 1969 : Explosion des moteurs du premier étage : le lanceur N-1 effectue son deuxième vol. À quelques centaines de mètres de haut, des moteurs explosent et la fusée prend feu. Elle retombe sur son pas de tir, ce qui provoque une gigantesque explosion qui détruira ce même pas-de-tir. Il faudra plus de deux ans pour le reconstruire.
- 14 novembre 1969 : Foudre: La fusée qui lança Apollo 12 fut frappée par la foudre peu de temps après le décollage. La plupart des systèmes à bord furent momentanément hors service, incluant les systèmes de guidage et de navigation. Le vol ne fut pas annulé car la fusée Saturn V avait son propre système de navigation, qui n'avait pas été affecté.
- 13 avril 1970 : Explosion à bord: Le plus célèbre désastre évité de justesse, l'équipage d'Apollo 13 retourna sur Terre après qu'une explosion fût survenue dans le vaisseau en route pour la lune. Ils survécurent, après que la plupart des systèmes à bord fussent mis hors service, en utilisant le module lunaire pour leur apporter le nécessaire à leur survie et l'énergie pour le retour[8],[9].
- Apollo 13 a également connu un problème au lancement qui fut à deux doigts de provoquer l'avortement du lancement, mais cela fut occulté par les évènements ultérieurs. Le moteur central du deuxième étage connut de violentes secousses ce qui entraîna son extinction prématurée. L'engin de deux tonnes, solidement amarré, oscillait de haut en bas, en une oscillation d'amplitude 76 mm et de fréquence 16 Hz. Après trois secondes d'oscillations, le commuteur de la chambre à basse pression s'actionna et coupa le moteur, bien qu'il ne fût pas conçu pour ce cas. Si ce phénomène avait perduré, cela aurait pu conduire à la désintégration de la fusée.
- 5 avril 1975 : problème de séparation: La mission Soyouz 18a s'est presque terminée en désastre lorsque les deuxième et troisième étages ne se séparèrent pas à cause de boulons explosifs défectueux. La capsule se sépara en urgence de la fusée porteuse et exécuta une rentrée de manière non conventionnelle. À cause de la vitesse de réentrée, l'équipage souffrit d'accélération allant jusqu'à 21,3 g. Après l'atterrissage, le véhicule roula au bas d'une colline et s'arrêta au bord d'un précipice. Bien que l'équipage ait survécu, Vassili Lazarev, le commandant, ne put jamais plus voler à cause des nombreuses blessures internes causées par l'accélération subie.
- 24 juillet 1975 : gaz toxique à bord: Durant la descente finale et le déploiement du parachute du module de commande du projet test Apollo-Soyouz, l'équipage des États-Unis a été exposé à du peroxyde d'azote à 300 µL/L venant de la navette et entrant par l'arrivée d'air de la cabine. Un bouton avait été laissé dans la mauvaise position. 400µL/L est fatal. Le cœur de Vance Brand s'est arrêté mais il fut sauvé. Les membres d'équipage ont souffert de sensations de brûlures à leurs yeux, visage, gorge et poumons. Thomas Stafford a pris rapidement les masques à oxygène d'urgence et en a mis un à Brand et donné un à Deke Slayton.L'exposition au gaz a duré depuis une altitude de 7 300 m jusqu'au sol. L'équipage a été hospitalisé deux semaines à Hawaii avant que leurs poumons reviennent à la normale.
- 16 octobre 1976 : la capsule d'atterrissage coule : La capsule Soyouz 23 atterrit sur un lac gelé et perça la surface, entraînée au fond du lac par le parachute. L'équipage a été sauvé après une mission de sauvetage très difficile.
- 26 septembre 1983 : feu dans le véhicule de lancement : L'équipage du Soyouz T-10-1 fut sauvé par le système de secours quand la fusée qui devait les propulser dans l'espace a pris feu sur le pas de lancement.
- 29 juillet 1985 : STS-51-F: Problème de moteur de la navette spatiale en vol: après cinq minutes, quarante-cinq secondes d'ascension, un des trois moteurs principaux de Challenger s'éteignit à cause d'une erreur de lecture de la température excessive. Au même moment et pour les mêmes raisons un deuxième moteur s'est presque arrêté, mais ceci fut découvert et réparé par action des contrôleurs de vol. Si le deuxième moteur s'était arrêté, la navette se serait écrasée dans l'Atlantique et l'équipage aurait sûrement été perdu. Il n'existait pas de procédure de renflouement avant la mission Challenger STS-51-L et son désastre. Cette mission se termina par le retour sur Terre via une procédure de sortie d'orbite qui permit à la navette un retour sauf.
- 5 septembre 1988 : Problème de senseurs: Les spationautes Vladimir Liakhov et Abdul Ahad Mohmand (d'Afghanistan) du programme Soyouz TM-5 se séparèrent de la station spatiale Mir. Il se séparèrent du module orbital et se préparèrent à la mise à feu pour sortie d'orbite. Mais rien ne se passa car le senseur infrarouge d'altitude ne donnait pas la bonne altitude. Sept minutes plus tard, la bonne altitude fut atteinte. Le moteur principal se mit en route, mais Lyakhov le coupa après 3 secondes pour éviter un atterrissage trop catastrophique (à une vitesse trop élevée). Une deuxième mise en route trois heures plus tard dura seulement six secondes. Lyakhov essaya immédiatement de sortir de l'orbite manuellement, mais l'ordinateur coupa le moteur après soixante secondes. Après trois essais, les spationautes ont été obligés de rester en orbite un jour de plus, attendant qu'ils reviennent en alignement pour la descente vers le site d'atterrissage. Ils sont restés un jour de plus dans le module de descente exigu avec peu de nourriture et d'eau et sans commodités. La descente se passa normalement le 7 septembre 1988.
- 4 juin 1996 : erreur informatique : durant son premier vol, la fusée Ariane V explose à 4000 mètres d'altitude, 40 secondes après le décollage. Un erreur informatique l'a fait partir dans une mauvaise direction, ce qui a déclenché le mécanisme d'auto-destruction.
- 23 février 1997 : feu à bord : un feu prit à bord de la station spatiale Mir quand une boîte de perchlorate de lithium utilisée pour générer de l'oxygène fuit. Le feu fut éteint en 90 secondes mais la fumée resta plus longtemps.
- 25 juin 1997 : collision dans l'espace : durant le test de ré-arrimage avec le vaisseau cargo Progress-M 34, ce dernier entra en collision avec le module Spektr entraînant des dommages aux panneaux solaires et un trou dans le module Spektr qui se dépressurisa. L'équipage put isoler le module du reste de la station.
- 23 juillet 1999 : Manque d'énergie du moteur et fuite d'hydrogène : cinq secondes après le décollage, un court-circuit mis hors-service les contrôles de deux moteurs de la navette spatiale. Les moteurs ont automatiquement enclenché pour le système de secours. En cas d'autre court-circuit, la navette aurait risqué de plonger dans l'océan. Dans le même temps, un problème dans un moteur entraîna une fuite d'hydrogène. Cela a causé une panne de carburant mais la navette a quand même put effectuer sa mission sur une orbite un peu plus basse
NIKOLAS TESLA
ORAGES CRÉÉES RAPIDEMENT PAR L'HOMME
EN CHANGEANT LES IONS DE L'AIR ET..... de la ionosphère
Londres manipule tout le monde et surtout nos scientifiques en leurs faisant croire que leurs inventions serviront l'Humanité alors qu'en réalité elles seront utilisées comme armes euigéniques
Là où je n'embarque pas dans l'Affaire de ''William Cooper'' ancien militaire (un militaire est un militaire à vie) c'est le fait qu'on a l'impression voire la certitude qu'il essaie de nous faire croire en un ennemi utopique (pour occulter les vraies causes) tel la prétendue présence d'extra-terrestres...... Alors, mes ami(e)s, soyez vigilants avec ces blogs et ces sites MILITAIRES qui ont pour mission de nous mêler et de protéger leur ''reine''
Carrière militaire
William Miton Cooper est né le 6 mai 1943 à Saint-Johns, en Arizona. Tout comme son père membre de l'USAF (United States Air Force), Cooper avait décidé tout jeune de s’engager dans l'armée. Enfant, sa famille déménage beaucoup dans de nombreux pays, et Bill Cooper sort diplômé du lycée de Yamato (Japon).
Lorsqu'il quitte son foyer, il intègre le SAC (Strategic Air Command), département de commandement de l'USAF, puis continue sa carrière dans l'United States Navy, la Marine américaine. Dès 1966, il est membre d'équipage à bord du sous-marin USS Tiru. Il travaille ensuite comme officier sur un pétrolier, et ensuite au Viêt Nam pendant la Deuxième Guerre de l'Indochine. Après quoi, il fut affecté dans l'unité administrative de la Flotte Pacifique, où il eut notamment l'accès à des documents militaires top secret relatifs à la sécurité nucléaire.[réf. nécessaire]
Son intégration dans les milieux ufologistes
En 1989 paraissent deux de ses livres : The Secret Government : the origin, identity, and purpose of MJ-12 et Operation Majority, livres véhiculant des théories du complot essentiellement centrées autour du thème des OVNI, et dans lesquels il révèle ce qu'il présente comme des informations top secrètes qu'il aurait acquises durant ses 18 années passées dans l'armée.
En 1973, il est renversé en pleine ville par une voiture prenant la fuite et perd sa jambe suite à cet accident. L'accident en question est souvent considéré comme un attentat des autorités américaines dans le milieu conspirationniste, Bill Cooper dit avoir reçu une visite des responsables de l'accident à l'hôpital, ceux-ci l'auraient menacé de s'en prendre à sa famille.[réf. nécessaire]
William Cooper devient par la suite membre de milices d'extrême droite, hostiles au gouvernement fédéral des États-Unis.[réf. nécessaire] En 1991, paraît son livre Behold a pale Horse, nouvel ouvrage dans lequel il divulgue le document Silent Weapons for Quiet Wars qui serait un programme gouvernemental secret.
William Cooper s'est notamment rendu célèbre en diffusant ses théories du complot et de la présence extraterrestre, sur l'émission The Hour of the Time diffusée en ondes courtes sur WWCR depuis Memphis.
Cooper expose dans ses livres ses théories sur la présence des extraterrestres sur terre, ainsi que le rôle de l'organisation, Majestic 12. Il déclare également avoir lu des documents reconnaissant clairement le gouvernement américain comme étant responsable de l'assassinat de J.F. Kennedy. William Cooper aurait démissionné de son poste au sein de l'armée suite à la découverte de ce fait précis.[réf. nécessaire]
Circonstance de sa mort
Le 6 Novembre 2001, Milton William Cooper, écrivain et chroniqueur radio conspirationniste est abattu chez lui en Arizona par des officiers de police. Le rapport d'autopsie revelera qu'il a été criblé de 10 balles dont plusieurs dans la tête et le torse. Certains diraient qu'en Juin 2001, Milton Willam Cooper affirmait que prochainement le gouvernement organiserait des attentats sur le sol américain et mettrait les attentats sur le dos d'un certain Oussama Ben Laden.
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