MAIS SURTOUT DES OBJETS-SEXUELS
pour motiver ces Élites à continuer de trahir l'Humanité
Le Projet MK ULTRA pour contrôler les esprits et créer des espionnes comme objets-sexuels
Henry Kissinger, Dick Cheney et Bush qui participèrent aux opérations du Projet MKU gravitaient autour de Condoleezza Rice..... Condoleezza est sûrement aussi une fabrication de ce projet... à vérifier.
Condi excelle tellement en toutes choses que George W. Bush a fini par la nommer secrétaire d’État.
La petite fille noire fait aussi bien que sa sœur de cœur Madeleine Albright.
Lors d'une réunion en 1985 d'experts en contrôle de l'armement, son intervention est remarquée par Brent Scowcroft, qui a été le Conseiller à la sécurité nationale sous la présidence de Gerald Ford. En 1986, alors qu'elle fait partie du Conseil des relations étrangères, un think tank américain, elle sert comme conseillère spéciale au directeur du Joint Chiefs of Staff, le comité des chefs d’États-majors interarmes. Avec l'élection de George H. W. Bush, Scowcroft retourne à la Maison Blanche comme conseiller à la sécurité nationale en 1989, et demande à Condoleezza Rice de devenir sa spécialiste du Bloc de l'est au Conseil de sécurité nationale. Elle devient alors une de ses protégés.
Rice fait aussi partie de plusieurs conseils d'administration, dont celui du pétrolier Chevron.
Elle sera la 66e personne prêté serment en tant que nation de la secrétaire d'État.
annexe
Cliquez ici pour voir son VIDÉO qui incrimine Georges Bush, Reagan et…..
CATHY O'BRIAN FUT ABUSÉE SEXUELLEMENT PAR RONALD REAGAN, DICK CHESNAY, Pierre Eliot Trudeau ..... Elle était une esclaves-objet-sexuel que la CIA offrait aux Chefs des États.
Cathy O'Brian et son livre ...
LE TÉMOIGNAGE DE CATHY O'BRIAN
''L’une des choses que l’on me disait de faire était de participer à des cocktails politiques à la Maison Blanche : c’était du temps de l’administration Bush-Reagan lorsque Ronald Reagan était président''.
Je me souviens plus particulièrement d’un épisode durant lequel Ronald Reagan parlait avec le Premier ministre canadien Brian Mulroney qui était lui aussi impliqué dans cette affaire de Nouvel Ordre Mondial et il a dit à ce moment-là qu’il pensait que le seul chemin vers la Paix mondiale était de contrôler l’esprit des masses.
Cathy avoue: ''Bennett a trouvé un malin plaisir à me fouetter, mes poignets meurtris et mon corps soufrant aux douleurs. Bennett alluma une cigarette et demanda: «Est-ce votre première cum-union avec un étranger?"
J'avais connu Bill Bennett comme un programmeur de contrôle de l'esprit depuis un certain temps. Bennett faisait parti secrètement des jésuites / Vatican qui leurs commandaient d'utiliser son programme de manipulation de l'esprit sur des personnes aux fins de l'Ordre Mondial (de Londres).
Il me manipulait en utilisant mon catholicisme et me conditionnait initialement par le rite afin que je garde le silence. Bennett a aussi manipulé mon esprit, conformément aux commandes du Vatican par l'intermédiaire du Collège des Jésuites et son ''Byrd programmation'' au centre de l'Est de Virginie. Il a utilisé son rôle en tant que programmeur au compte des jésuites en tant que Secrétaire à l'Education pour mettre en œuvre l'''éducation 2000''. (C'est curieux car ils font le contraire de mon projet ''École de l'An 2000'', V.E.)
et qui est également connu sous le nom de projet ''MK Ultra''
L'un des secrets les mieux gardés de l'histoire est le ''Monarch Mind-contrôl'' qui utilise la programmation basée sur le contrôle de l'esprit par des traumatismes. Et cet art de créer le contrôle de l'esprit humain sans même que la personne ainsi contrôlée ne sache qu'elle est manipulée à son ainsi. Ceci est accompli par l'utilisation sophistiquée de la capacité du cerveau à se dissocier, qui est utilisé à l'extrême pour créer dans l'esprit des gens-cibles des troubles structurés menant au développement de personnalités multiples.
qui font allusion à Ronald Reagan,
en l'honneur de sa mort qui en a libéré plusieurs...
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O'Brien affirme avoir été abusée, elle l'a été depuis qu'elle n'avait que 9 ans.... Forcée de prendre part à des rituels sataniques et sadomasochistes et en plus à participer à de la pornographie impliquant elle et d'autres enfants pour les films produits aux fins personnelles pour Ronald Reagan, de Dick Cheney et autres. L'ex président des États-Unis Gerald Ford l'a finalement vendue à la CIA, qui était à la recherche d'enfants traumatisés pour leur ''Programme de Contrôle de l'Esprit afin de faire des ESPIONS parfaits et prêts à tout... Elle raconte en détail la façon dont le père de George Bush a violé sa fille de treize ans et comment elle a été forcée à avoir des relations sexuelles orales avec Hillary Clinton (Illuminati sorcière) ...
=====================Cathy O'Brian, ex-victime du contrôle de l'esprit et son amoureux: ont fait récemment un livre intitulé "Transe-formation de l'Amérique".
Ce livre expose le long souterrain caché pervers de l'ordre du jour à Washington. George Bush, Ronald Reagan, Gerald Ford, le sénateur Byrd et de nombreux autres parlementaires et hauts fonctionnaires sont impliqués.
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Cathy et aussi sa fille (un enfant de 3 ans), ont été violées, maltraitées et torturées par des gens très célèbres.
Mme O'Brian ( ajourd'hui elle a 74 ans ), elle dit qu'elle a été violée par Pierre Eliot Trudeau.
Longtemps le Premier ministre du Canada a travaillé en étroite collaboration avec le Vatican en tant que jésuite (fonction secrète car Trudeau faisait parti du P2).
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Une gentille femme abusée et brisée par des bandits qui se croient au-dessus e nos lois. Montrons-leurs que dorénavant personne ne seront au-dessus de nos lois et TRAÎNONS-LES EN COURS INTERNATIONALE ET LARGEMENT DIFFUSÉE DANS TOUS NOS MÉDIAS...... AFIN QU'ILS CESSENT DE MAL AGIR... SINON nous devenons complices de ce qu'ils font à notre insu.
La JUSTICE, les juges et les AVOCATS DE LA COURONNE doivent poursuivre officiellement ces (Reagan, Trudeau, Gérald Ford) Bush, sénateurs Benet... pour les donner en exemple et surtout pour prouver à l'Humanité que la Justice est la même pour les riches que pour les démunis.
Trance Formation de l'Amérique
DE LA SECTE ''ÉGLISE CATHOLIQUE ÉLITISTE'' MENÉE PAR LA REINE«Je travaille pour le Vatican, et maintenant, vous aussi,« [l'État du Michigan, Sénateur, Guy] VanderJagt m'a dit. «Vous venez d'entrer dans une alliance avec la sainte Eglise catholique. On ne doit jamais briser cette alliance."
VanderJagt répondit: "Une alliance est une promesse de garder des secrets, le secret que l'Eglise savait tout de même. Le Pape a tous les secrets enfermés à la Vatican. Votre oncle Bob et moi avons été à la Cité du Vatican. Il est temps que vous entriez dans la sainte alliance et appreniez les secrets de l'église qui ont été écrites bien avant même lque les notions du ''Christ'' soit entrée en vigueur.
Les moines dominicains (inquisiteurs durant les 8 Croisades) garde l'alliance que Noah a mis en le nouveau monde. Ils ont gardé le secret avec eux. Il a été écrit sur le parchemin et conservé dans un lieu secret au Vatican. Ils ont fait le vœu de silence de ne jamais révéler son emplacement, ou son contenu. Vous devez entrer dans l'alliance. Vous devez porter le secret dans votre tombe. Gardez le secret de votre mère, de votre père, tcontre out le monde. "
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C'est ce qui s'est passé dans le cas de Cathy: elle a été abusée par son père, un pédophile, qui a pris des photos des enfants.
Voici comment LA MAISON BLANCHE ABUSAIT DES ENFANTS, avec la permission de leurs parents.
Les sujets de ce programme ont été tatoués d'un papillon «monarque», qui représente le déroulement d'une "New Consciousness" dans quelqu'un. «La chenille en papillon".
Si vous cherchez quelqu'un qui a un "MPD", vous trouverez que la plupart des personnes atteintes de cette maladie ont un passé qui comprend l'abus sexuel.
L'enfant, face à ces sentiments au début de la vie, revient à créer une deuxième personnalité .
Cette "Alter" personnalité peut alors être appelée "Up" pour faire fonctionner une drogue, l'assassinat, etc., comme dans "Le Manchurian Candidate".
Sirhan, Oswald, La Poste, les employés, et bien d'autres tueurs en série, des meurtriers, des assassins, en furent les profils.
Beaucoup ont eu des séjours à l'hôpital géré par la CIA dans des établissements psychiatriques.
MK-Ultra Le programme a été développé dans les années 1950 par la CIA. Il a été utilisé pour aider à espionner les autres pays au cours de la guerre froide.
Le contrôle de l'esprit est absolu. Soumise au Programme de contrôle de l'esprit ''Monarch'' basé sur les traumatismes du Projet MK-Ultra, Cathy a le contrôle de ses propres pensées telles qu'elles n'étaient plus déterminées par son libre arbitre - ''il ne pouvait plus me venir à l'idée de contester, de raisonner, ou de comprendre consciemment - je pouvais seulement faire exactement ce que j'étais forcée de faire. Ceux qui contrôlaient mon esprit et, en fin de compte, mes actes, prétendaient être « des extraterrestres » , « des démons » et « des dieux »'' .
Mais j'en ai fait l'expérience, ces TRAITRES des contrôles du nouvel Ordre mondial étaient et sont toujours tributaires des limites humaines et terrestres, en dépit de leurs illusions et de leurs revendications soutenues par des tactiques de terreur. En effet, les mêmes lois de la nature et les mêmes lois humaines s'appliquent bien aussi à eux. Bien qu'ils me manipulaient en se servant de ma religion, de mes instincts maternels et de mon intérêt sincère pour l'humanité, - ils n'ont jamais « possédé » mon être inné - ils ne sont pas arrivés à faire de moi l'un d'entre eux. Ils n'ont jamais tenu compte de la puissance de l'esprit humain. Ils n'étaient même pas au courant de son existence. Demandez-vous pourquoi.
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DEDICACE
Ce livre est pour Kelly afin qu'elle soit comprise et que lui soit accordé le droit à une réhabilitation officielle en raison des mauvais traitements du Programme Monarch de Contrôle de l'Esprit du Projet MK-Ultra qu'elle a subis entre les mains de ceux qui se disent les dirigeants de notre pays.
Ce livre est destiné, tout comme je le suis, à Mark Phillips pour nous avoir délivrées, Kelly et moi, de notre vie de soumission au contrôle de l'esprit, et pour avoir ouvert la voie de la guérison pour Kelly en m'aidant affectueusement à retrouver mon esprit, ma mémoire, et en fin de compte mon libre arbitre.
Ce livre
Parlant de nécrophilie, qui veut dire "qui aime la mort" au point d'en manger, est ce que ce petit squellette subtilement dissimulé sur le pamphlet du programme est ce dont vous aurez l'air un fois le festin terminé. En tout cas celui-là possède de drôles de mains et de doigts.
CHAPITRE 9
UNE CAUCHEMARDESQUE BOÎTE DE PANDORE
Ma vie de femme soumise aux techniques de contrôle de l'esprit est devenue plus
compliquée après que le sénateur Byrd m'ait présentée au président de l'époque, Ronald Reagan, en automne 1982
lors d'une réception politique de
Byrd m'a dit : « Quand tu rencontreras le Patron, imagine-le avec le pantalon baissé. Il sera plus à l'aise s'il sait que tu l'imagines ainsi. Il ne veut pas de formalités. » L'ancien Président Ford m'avait conditionnée à craindre la fonction de président, et c'est ainsi que j'ai rencontré machinalement Reagan en ayant l'esprit ailleurs.
*** AU FAIT ELLE DEVENAIT UNE ESPIONNE INVOLONTAIRE DE LA CIA et programmée à tout faire (se prostituer, empoisonner..... V.E.)
Il était évident que Reagan avait vu les vidéos ''Comment Fractionner une Personnalité et Comment Créer une Esclave Sexuelle'' tournées à Huntsville en Alabama. Il prenait beaucoup de plaisir avec moi comme si j'y avais participé de mon plein gré.
Au cours des toutes premières minutes de ma rencontre avec Reagan, il me donnait déjà des tuyaux d'acteur pour les utiliser dans des opérations du gouvernement et des activités pornographiques!
« Lorsque tu te mets dans la peau de ton personnage, tu deviens plus efficace, ce qui en retour augmente ta capacité à jouer ton rôle (d'ESPIONNE)- pour ton pays. "Ne te demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, mais plutôt ce que tu peux faire pour lui" - jouer ton rôle » m'enseigna-t-il. D'une certaine façon, le rappel par Reagan de mon conditionnement par Ford et Vander Jagt à cette citation de Kennedy m'a paru plus patriotiquement significatif que de « simplement » divertir sexuellement des politiciens en faisant flotter un drapeau planté entre mes fesses. Après l'avoir fixé profondément dans ce qu'il prétendait lui-même être ses « yeux kaléidoscopiques », chaque phrase métaphorique qu'il m'adressait devenait comme un souffle vital pour moi.
Reagan m’a expliqué que les activités secrètes illégales de
C'est maintenant que je me rends compte que Reagan dénaturait la réalité pour l'adapter à ses perceptions personnelles plutôt que d'adhérer à la philosophie de Byrd, laquelle consistait à fournir des « excuses » pour ce qu'il considérait comme étant « dans l'ordre des choses ». À sa manière, Reagan ne considérait pas le contrôle de l'esprit comme une forme d'esclavage mais plutôt comme une « occasion offerte à ceux dont la vie n'aurait pas de sens sans cela. »
Reagan prétendait qu'aux enfants victimes d'abus incestueux, issus de familles qui reproduisent ces pratiques de génération en génération, tels que moi-même, ou « à ceux qui étaient auparavant de misérables joueurs de base-ball du tiers monde ou des quartiers pauvres: on fournit ainsi une occasion "d'être tout ce qu'ils peuvent être" [Ndt: "Be all you can be", slogan de l'armée des États-Unis de 1981 à2001] en leur permettant de faire leur "Contra-bution" [Ndt: jeu de mots sur la "contribution" des ventes illégales d'armes à l'Iran au financement des "contras" du Nicaragua] à la société, à notre nation et au monde entier, en utilisant leurs talents au maximum de leur potentiel. » Par cette attitude, Reagan affichait son arrogance dans le rôle malsain du Magicien d'Oz qu'il interprétait, en dirigeant des esclaves du projet Monarch tels que moi-même.
Dans les années 40, Byrd était un chef local du Ku Klux Klan opposé à toute idée d'intégration raciale au sein de l'armée. Les soupçons de racisme le suivront durant toute sa carrière politique.... « Je souhaite de ne jamais me battre aux côtés d'un nègre. Plutôt mourir mille fois, et voir le drapeau américain piétiné dans la boue au point qu'il ne puisse plus être encore hissé, que voir ce pays bien-aimé se degrader par une race de bâtards, une survivance du spécimen le plus noir des terres sauvages. », lettre de Robert Byrd au sénateur Theodore Bilbo du Mississippi (1945)
Cette nuit-là, le sénateur Byrd s'est comporté comme s'il était un proxénète et m'a prostitué à Reagan.
En parlant de moi comme si j'étais une machine, Reagan a demandé à Byrd, « Est-ce qu'elle carbure aux produits chimiques? » en pensant à des drogues spéciales de
Byrd a répondu : « Elle en prend par giclées. » J'ai remarqué que les yeux de Reagan se sont animés d'une manière perverse en comprenant la déclaration de Byrd, qui voulait dire que je
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« profitais » de toutes les drogues qui pouvaient être présentes dans son organisme grâce à son urine. Reagan m'a dit plus tard qu'il préférait des esclaves sexuelles préparées pour cette tâche car, en tant que Président, il ne devrait pas avoir à se lever la nuit pour uriner.
« Eh bien », a dit Reagan, en levant son verre, « Tout ce que j'ai pu avoir pour lui faire le plein, c'est de l'alcool. Ce n'est pas terrible comme excitant pour de la "poudre magique de magicien". » [Ndt: "whiz of a Wiz(ard)": jeu de mots de type Oz entre whiz, champion (mais aussi amphétamines) et wizard, magicien.] Byrd s'est mis à rire tout bas de la plaisanterie en langage codé d'Oz de Reagan et a retiré sa fiole dorée de cocaïne de la poche intérieure de son costume. Reagan et lui ont alors discrètement tourné le dos à la réception tandis que Byrd faisait prendre la drogue à Reagan par le nez « à la cuillère ».
Avant de me laisser partir avec Reagan, Byrd m'a informée que : « Oncle Ronnie ne dort pas avec sa maman (Nancy) », et qu'il préférait se blottir dans ses draps de flanelle bleu clair de marque L. L. Bean, dans sa chemise de nuit et dans son bonnet de nuit ridicule car « ils sont plus chauds, plus doux, plus confortables, et ne ronflent pas. »
Plus tard, dans sa chambre, Reagan a accédé à ma programmation sexuelle, et je me suis mise dans la peau de « mon personnage » de prostituée pour « Oncle Ronnie ». Reagan ne bougeait pas pendant les rapports sexuels. Après tout, c'était « mon devoir ». Et mon devoir était de lui faire plaisir, peu importe ce qu'il fallait faire, et cela prenait plus de temps qu'autre chose. Reagan ne m'a jamais fait de mal (il s'assurait toujours que quelqu'un d'autre s’était occupé de le faire) et il s'en servait comme d'un « lien » avec ma personnalité de petite fille (« Chaton ») à laquelle il accédait toujours pour les rapports sexuels. Le trouble de la personnalité le plus évident de Reagan était sa passion pour la pornographie zoophile. 2
Selon mes contacts, sa passion pour la pornographie allait jusqu'à sa fabrication et sa distribution pendant la durée de son gouvernement.
Reagan approuvait et encourageait sans réserves l'industrie du porno pour financer les activités secrètes.
De nombreux films pornographiques commerciaux ou destinés à transmettre des directives (à usage privé) dans lesquels moi-même et d'autres nous avons participé, désignés sous le nom de « Les Histoires avant de s'endormir d'Oncle Ronnie », étaient uniquement tournés pour son bon plaisir - assez souvent selon ses instructions, en se servant des esclaves du Train de
J'ai rencontré pour la première fois Michael Danté, alias Michael Viti, le Pornographe en chef de Reagan dans un hôtel de luxe de Nashville où il assistait aux festivités d'un Tournoi de Golf de « bienfaisance ». Comme le Tournoi de Golf professionnel-amateur de l'agent secret de
Danté m'a emmenée dans sa chambre d'hôtel après notre première présentation. Il a sniffé quelques lignes de cocaïne, m'a regardé de la tête aux pieds comme si j'étais une marchandise, et a accédé à ma programmation sexuelle. Il m'a ensuite demandé avec arrogance si je savais qui il était. Il m'a dit qu'il habitait à Beverly Hills, en Californie et qu'il tournait des films. J'ai cru qu'il parlait de son four au box-office, Winterhawk, jusqu'à ce qu'il dise : « Oncle Ronnie m'a envoyé. Il veut que je tourne des films avec toi comme "contra-bution" de ta part. Nous allons bien nous amuser, ensuite il va bien s'amuser, et tout le monde sera content. Tu aimeras ça, n'est-ce pas ma belle? Habille-toi. Nous allons redescendre et prendre des dispositions. »
Danté me téléphonait souvent et il exprimait « notre amour » à grand renfort d'ordres et en prenant des dispositions pour me rencontrer dans des endroits précis pour produire « Les Histoires avant de s'endormir d'Oncle Ronnie » ainsi que du porno commercial. Ces endroits incluaient, entre autres, le Tennessee,
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Les racines italiennes de Danté au Connecticut sont dans
Danté m'a raconté que, « Quand Reagan était Gouverneur (de Californie), nous sommes allés ensemble voir jouer les Dodgers (le club de base-ball de Los Angeles) et nous nous sommes assis dans
Dick Thornburgh était Gouverneur de Pennsylvanie pendant l'exercice de ma fonction d'esclave sous contrôle de l'esprit de type Mannequin présidentiel. Il usait de son influence pour amener Houston dans l'état de Pennsylvanie et dans les foires de comté année après année pour la distribution de la cocaïne et de la pornographie, aussi bien que pour me prostituer à lui régulièrement.
J'avais donné des conférences sur l'Analyse de l'Écriture manuscrite à bord du Norway, le bateau de croisière de la compagnie NCL (ma couverture pour les opérations secrètes) en 1987, et Thornburgh ainsi que son ami Jim Zerilla, le dénicheur de talents du club de base-ball les Chicago Cubs étaient dans l'assistance. Par la suite, Zerilla m'a offert un emploi à
Cathy O'Briand
Mon esprit programmé contenait un « ordinateur pour le base-ball » qui avait été créé pour Reagan, et qui était utilisé par beaucoup de gens dont Thornburgh, Lasorda, Danté, et Zerilla. Il était bourré de statistiques du genre de celles auxquelles ils s'intéressaient: les codes, les clés, les déclics et les gestes de certains joueurs de base-ball qui étaient sous contrôle de l'esprit. Zerilla et Thornburgh étaient en croisière, en route pour
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Dominicaine, vers la ferme du contrôle de l'esprit pour le base-ball de
À ce jour, je ne sais pas avec certitude qui a été l'instigateur de la chirurgie esthétique à laquelle j'ai été soumise de force, mais peu après avoir rencontré Reagan et Danté, on a prévu pour moi des implants mammaires. On l'avait peut-être fait pour la pornographie. C'était peut-être la préférence de Reagan. J'ai tendance à croire que c'était une combinaison des deux et qu'on l'avait ordonné du moment que mes seins ne donnaient plus de lait. Dans le premier film porno commercial que Reagan avait ordonné à Danté de produire à St Thomas, aux îles Vierges américaines, mes seins étaient encore sensibles et gonflés à cause de l'insertion des implants de silicone.
Mon apparence n'a pas été la seule « amélioration » que j'ai subie après avoir rencontré Reagan. Aquino et moi, nous avons été appelés à Washington pour revoir la programmation de ma mémoire centrale de base afin d'annuler le contrôle du sénateur Byrd pour des raisons de sécurité. Depuis que Reagan avait reçu une balle, il prenait des précautions supplémentaires pour assurer sa sécurité, ce qui incluait d'indiquer à Aquino la manière dont il voulait que je sois programmée. À la grande consternation d'Aquino et à son grand embarras, Reagan admirait le rôle occulte que ce lieutenant-colonel de l'armée de terre jouait dans l'utilisation des traumatismes pour le contrôle de l'esprit, car il concordait avec la promotion publique de la religion que Reagan avait lancée. Reagan déclarait qu'il croyait que les masses étaient plus faciles à manipuler en se servant de leur religion, comme c'était le cas des esclaves sous contrôle de l'esprit comme moi.
Alors que Reagan recevait Aquino à Washington, il lui a demandé de porter ses vêtements rituels noirs lors d'une réception de
Auparavant, ce jour-là, Reagan avait donné des instructions à Aquino sur la manière de me programmer conformément à la programmation « circulaire » décrite dans les vidéos qui disent « Comment faire ». « Programme-la », avait dit Reagan, en parlant de moi comme si j'étais un objet, « selon le numéro un. J'aime le numéro un. C'est le premier, c'est le meilleur, et il facilite la confiance - comme quand on dit: "j'ai gagné". » J'ai observé Aquino lui lancer le regard intellectuellement écœuré qu'il réservait à quiconque avait le courage de lui faire une suggestion, mais il a modéré sa réaction en accordant de la considération à sa demande. Du moment que les vidéos qui disent « Comment faire » présentaient la sixième révolution pour « allumer les feux de l'enfer » en matière de sexe, personne ne soupçonnerait que ma programmation sexuelle avait été faite selon la première révolution. Cela demanderait quelques modifications de ma programmation initiale, mais Aquino était emballé par l'idée. En me programmant selon les instructions de Reagan, Aquino serait à même de procurer à Reagan une protection supplémentaire grâce à laquelle tout programme dans lequel je pourrais être engluée serait immédiatement remplacé par le numéro un de Reagan aussi vite que je le verrais. Cette mesure de sécurité efficace a mis Byrd en fureur la première fois qu'il m'a vue échapper instantanément à son contrôle en présence de Reagan.
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En outre, Reagan examinait comment Aquino pourrait se servir de moi dans diverses installations de l'armée et du gouvernement pour fournir des « Démonstrations interactives de Contrôle de l'Esprit » sur les « derniers progrès en matière d'entraînement » en montrant la diversité de ma programmation en tant que « Mannequin présidentiel ». Reagan disait que les Démonstrations interactives pourraient « sensibiliser nos jeunes militaires aux prodiges du phénomène de contrôle de l'esprit. » Par « interactives », on voulait dire que ma programmation sexuelle serait utilisée pour « éveiller leur intérêt et les y verrouiller (lier). » Après tout, « divertir les troupes est une vieille tradition américaine. » Aquino a fait la programmation, et Reagan a commencé à prendre des dispositions pour les démonstrations - ce qui m'a ramenée dans les parages de Dick Cheney. Cheney agirait sur moi en qualité de « chef » pour les Démonstrations interactives de Contrôle de l'Esprit et les autres opérations secrètes à partir de ce moment.
1 Comme je n'avais aucune notion du temps lorsque j'étais soumise au contrôle de l'esprit, les années
2 Reagan préférait les vidéos de pornographie illicite comme la zoophilie, quoique son magazine pornographique favori ait été celui de Larry Flynt, Hustler.
3 Bien que Danté, à Hollywood rivalisait avec Larry Flynt pour le titre de « Pornographe en chef » en produisant des versions vidéo des photos de Hustler, Flynt était sans équivoque le Pornographe officiel de
Dick Thornburgh, ancien gouverneur de
4 De n'avoir plus été dans le circuit depuis ma délivrance ne m'a pas empêché de « prédire » les vainqueurs selon les préférences politiques: depuis la victoire de l'équipe des Texas Rangers de George Bush Junior jusqu'à celle des Toronto Blue Jays pendant l'agitation politique au Canada au sujet de l'ALENA. [Ndt: Accord de libre-échange nord-américain]
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CHAPITRE 10
LE « CHEF » DICK CHENEY ET LES « DÉMONSTRATIONS INTERACTIVES DE CONTRÔLE DE L'ESPRIT » DE REAGAN
Veuillez noter ceci: Afin de préserver l'intégrité de mes expériences telles qu'elles sont documentées en utilisant des détails précis et photographiques, j'ai rapporté les événements et les citations tels qu'ils se sont produits en réalité. Je vous prie d'excuser tout langage choquant ou grossier, mais c'est de cette manière que Cheney s'est lui-même présenté.
J'assistais à un autre cocktail à
« Tu es le genre de fille qui pourrait maintenir un homme sur les rangs. (Il faisait allusion à mots couverts au rang de personnel militaire avec qui on m'avait forcée à avoir des rapports sexuels.) C'est pourquoi je t'ai choisie pour visiter quelques bases de l'armée de l'air avec le colonel (Aquino) et pour démontrer à nos jeunes qui sont au service du pays ce à quoi est entraîné un Mannequin présidentiel, une sorte de démonstration "interactive". Mais tu devras passer une audition pour le rôle. » Reagan a vidé son verre et a désigné Cheney d'un geste alors qu'il marchait à grands pas vers la porte, en ajoutant, « Fais ce qu'il te dit. Il est ton chef. »
Cela faisait huit ans que j'avais été chassée comme du gibier et brutalisée par Cheney dans le Wyoming, et apparemment il voulait voir comment ma programmation avait progressé avant de consentir à m'utiliser dans les « Démonstrations interactives de Contrôle de l'Esprit » de Reagan. Il m'a saisi brutalement par les cheveux et m'a jetée sur un fauteuil de cuir noir, en me rabattant la tête en arrière sur le haut accoudoir clouté. « Auditionne ici », grogna-t-il. Depuis la dernière fois que je l'avais vu, j'avais subi la programmation de l'homme en fer-blanc du Magicien d'Oz, à laquelle il a accédé pour satisfaire son gros pénis épais. Il a mis ses mains sur ma mâchoire tandis qu'il disait, « Bientôt tu vas nous ronronner comme une machine bien huilée. Toutes tes parties mobiles pivotent et glissent sur leur embase. Fond dans mes mains. Je vais te tenir la mâchoire pour l'empêcher de glisser tandis que tu t'échappes par une fenêtre dans le temps. » Il m'a ensuite secoué la mâchoire jusqu'àla déboîter, et a brutalement assouvi ses instincts dans ma gorge. 1
Tandis qu'il allumait sa cigarette, j'ai lentement repris suffisamment mes esprits pour réaliser que je souffrais. L'arrière de ma tête me faisait mal pour avoir été fortement poussé contre les grosses têtes de clou du fauteuil, et j'ai lentement relevé la tête. Mon propriétaire, le sénateur Byrd, venait juste d'entrer et il s'est rendu compte que Cheney avait déjà terminé « l'audition ». En faisant allusion à l'action de compartimenter ma mémoire grâce à la haute tension d'un pistolet assommant, Byrd lui a demandé, « Est-ce que tu l'as fait frire? »
Cheney, trop sur de lui comme toujours, a répondu, « Elle ne peut pas avoir baisé tout Washington. » (indiquant ainsi que de toute façon personne ne me croirait, même si j'en arrivais à ce point et que je parle.) Cheney a éteint sa cigarette et a dit en sortant par la porte, « Ça marchera avec elle. Dis à Ronnie que ça marchera. »
Quand Byrd a vu que mes lèvres saignaient, il a traité Cheney de « fils de pute » à voix basse, étant donné que ces lésions pourraient m'empêcher d'accomplir d'autres missions qui étaient prévues pour moi. Byrd a touché mes lèvres tuméfiées avec le doigt et il en a goûté le sang (ainsi que Cheney) plusieurs fois.
Ensuite il m'a donné une grande claque en travers du visage, ce qui a réaligné ma mâchoire mais m'a fait couler plus de sang sur le menton. Il a pris une boîte de mouchoirs en papier sur le bureau et me l'a jetée dessus, le coin
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me heurtant le front. « Essuie-toi. Tu viens juste de commencer. Je veillerai à ce que tu aies ce que tu mérites. »
Heureusement pour moi, Byrd avait des motifs pour revenir au cocktail officiel et n'avait pas le temps de me brutaliser davantage. Mon visage était meurtri, ma bouche déchirée, et je sentais que ma gorge était déchirée et élargie. J'ai eu des difficultés pour avaler pendant quelque temps, et je ne pouvais plus parler. Je n'étais certainement pas en état de retourner au cocktail, et les agents de sécurité m'ont escortée dehors.
Avant que je puisse quitter Washington, Byrd a mis sa menace àexécution et il m'a organisé une rencontre avec Cheney dans une chambre bleue située dans une partie de
Dick Cheney, Secrétaire de
« Byrd m'a dit que tu as besoin d'une bonne correction. Mais je ne suis pas certain de l'instrument que tu préfère, aussi je les ai tous apportés. »
Cheney avait disposé sur le lit une cravache, un fouet, et un chat-à-neuf-queues. Dick Cheney m'a battue avec force et rapiditée, comme s'il se libérait de ses tensions plutôt que de savourer ma douleur comme Byrd le faisait. J'ai repris connaissance alors que Cheney glissait un oreiller sous mon cou, me déplaçait en me tirant par les cheveux, et me penchait la tête en arrière. Mon instinct de survie s'est manifesté quand il s'est placé au-dessus de ma tête. J'espérais le satisfaire avant qu'il ne redevienne mortellement brutal. Mais il a rapidement sorti son pistolet à cocaïne liquide, m'a aspergé la gorge, puis s'est mis à devenir violent. À un certain moment il m'a tiré la tête de côté et m'a demandé, « Était-ce une dent? » et il a grimacé en montrant les dents. Il était impératif que je ne le touche pas avec mes dents parce que, selon les instructions de la programmation d'Aquino, je serais passible de mort si l'une de mes dents était jamais sentie par quelqu'un. Cheney savait que cela faisait partie de ma programmation et il s'en servait souvent pour me manipuler. J'ai recommencé à « assouvir ses pulsions comme si ma vie en dépendait, parce que, bien entendu, c'était le cas. » C'est une autre ligne de programme d'Aquino que Cheney connaissait et utilisait.
Lorsqu'il a eu assouvi ses besoins, il s'est effondré et s'est endormi. On m'avait donné pour instructions de partir immédiatement parce que Cheney ne voulait absolument pas m'avoir près de lui quand il dormait (certaines personnes bien informées disent qu'il est paranoïaque), et j'ai commencé à m'habiller. On m'a escortée dehors.
En prévision des « principes de fonctionnement » des Démonstrations interactives de Contrôle de l'Esprit de Reagan, j'ai subi un grand nombre de programmations de la part d'Aquino aussi bien que de celle de Cheney. Cheney élaborait les procédures tandis qu'Aquino s'acquittait des détails de la programmation et exécutait la démonstration avec moi dans diverses installations de l'armée et de
Reagan voulait que les démonstrations comprennent toutes les programmations décrites dans les films qui expliquent « Comment faire », les programmations supplémentaires inculquées depuis que les vidéos avaient été faites, l'administration de drogues quand c'était approprié, et les rapports sexuels selon les instructions d'Aquino avec qui que ce soit, quel que soit le nombre de ceux qui assistaient àla conférence.
La « note » personnelle de Cheney concernant ces démonstrations était de m'avoir programmée pour me donner à moi-même des secousses électriques à l'intérieur du vagin avec un aiguillon cylindrique à haute tension pour le bétail - certainement l'exemple d'un contrôle absolu de l'esprit.
J'étais couramment escortée bras dessus bras dessous « dans le style d'Oz » par deux agents jusqu'au bureau du rez-de-chaussée de Cheney au Pentagone. Quelquefois Byrd m'y accompagnait. D'autres fois Cheney me faisait traverser le bâtiment, en particulier si nous allions à ses quartiers personnels dans les « Bâtiments-dortoirs ». Le bureau de Cheney était doté d'un mobilier en cuir noir, d'un énorme bureau marron en désordre, de massives étagères de livres, et d'un sablier qu'il utilisait toujours conformément à la programmation de type Oz, pour me rappeler que ma vie était en jeu sous ses ordres. En tant que SPM programmée, [Ndt: SPM (syndrome des personnalités multiples): personne qui souffre de ces troubles.] je n'avais aucune
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notion du temps. Le sablier était pour moi un moyen visible de voir « mon temps s'épuiser » et d'en comprendre vraiment le concept.
La première fois que je m'y suis présentée, Cheney a fouillé dans le désordre sur son bureau, a pris un papier et a commencé à lire:
« Numéro un. Je ne suis PAS ton ami, et je ne veux pas te voir à moins que je ne te donne l'ordre de te présenter ici. Numéro deux. Exécute les ordres du Colonel (Aquino), car c'est la voie hiérarchique. Ce qu'il t'ordonne de faire, c'est un ordre qui vient de moi. Suis-le à la lettre, comme si ta vie en dépendait, parce que, (il a levé les yeux et il a grimacé malicieusement en montrant les dents) bien entendu, c'est le cas. » Ses yeux froids se sont vissés dans les miens alors qu'il se promenait vers le devant de son bureau. « Des questions? »
Je savais qu'il « n'était PAS mon ami », mais il m'avait déjà « vue » d'un point de vue sexuel à d'autres occasions. J'étais perplexe et j'hésitais. Bien que je gardais le silence, Cheney a senti mon hésitation et il est devenu furieux.
Dick Cheney s'est levé face à moi, m'a tapoté le sternum avec son doigt et a hurlé, « Ne PENSE même pas à remettre en question ce que je te dis! Il n'y a pas de questions quant à ce que je fais, ce que je pense, ou ce que je dis, parce que je suis absolument au-dessus des questions - surtout les TIENNES! Tes ordres sont clairs. Alors sors d'ici! J'ai du travail! »
Au cours des trois années suivantes, le lieutenant-colonel Aquino de l'Armée des États-Unis m'a utilisée pour les Démonstrations interactives dans de nombreuses installations de l'Armée de Terre, de
1 Ma mâchoire est définitivement endommagée à cause de Cheney. J'ai un trouble temporo-mandibulaire chronique.
Michael Aquino, était un pédophile. Il a fondé le Temple de Set. Et il était un ami proche d'Anton LaVey. Les deux d'entre eux ont été très actifs dans l'abus sexuel rituel. Et ils ont reporté le financement de ce programme du gouvernement à utiliser [dans] l'expérimentation sur les enfants. "Où ils ont délibérément séparé la personnalité de ces enfants dans des multiples, de sorte que quand ils sont interrogés sous serment ou mis ou remis en question sous détecteur de mensonge, que si l'opérateur sait à la question à choix multiple, le trouble de la personnalité, ils se tournent pas avec éléments de preuve. " Ils ont utilisé des enfants sexuellement compromis pour des fins politiques ou pour toutes autres personnes qu'ils veulent avoir le contrôle. Michael Aquino a été d'Offutt Air Force Base [a Strategic Air Command de base, près d'Omaha, qui a été liée à des activités du roi]. Aquino a également été un des principaux suspects dans une série de scandales de pédophilie impliquant l'exploitation sexuelle des centaines d'enfants, y compris les enfants du personnel militaire en poste à la station de l'US Army Presidio de San Francisco Bay Area. Selon un article du 30 Octobre, 1987 San Francisco Examiner, l'une des victimes avait identifié Aquino et son épouse en tant que participants au viol d'enfants. Selon la victime, Aquinos avait filmé des scènes de l'enfant où il est caressé par Hambright dans une baignoire. L'enfant, la description de la maison, qui était également le siège de Aquino du Temple de Set sataniques, ont été si détaillés, que les policiers ont pu obtenir un mandat de perquisition. Durant le raid, ils ont confisqué 38 cassettes vidéo, photo négatifs, et d'autres éléments de preuve que la maison avait été la plaque tournante d'un pédophile anneau, dans et autour des bases militaires américaines.
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CHAPITRE 11
« PAPA » PHILIP HABIB
L'agent secret (de
Reagan s'était arrangé pour que je rencontre son attaché personnel, Philip Habib (aujourd'hui décédé), qui jouait toujours le rôle codé du Lapin blanc d'Alice au Pays des Merveilles pour les esclaves soumises au contrôle de l'esprit. Houston n'avait plus d'autre choix que de me prendre avec lui une fois les ordres arrivés.
L'agent secret de
Cette excursion à Atlantic City m'a fourni une occasion de parler avec Loretta pendant que son mari, Mooney, Riley et Houston se retrouvaient pour leurs affaires. Loretta et moi, nous avions tellement de choses en commun que les moments que nous passions ensemble avaient été restreints depuis la fois où nous nous étions rencontrées à Minneapolis, au Minnesota en 1981 et que nous avions discuté des brimades que nous subissions. 3 Pendant que nous étions seules dans la loge de Loretta au Playboy Club, nous avons discuté sur une grande diversité de sujets, depuis la maternité jusqu'à
Loretta et moi, nous faisions spontanément des commutations de personnalités car nous les déclenchions mutuellement par inadvertance en utilisant le langage codé commun auquel nous étions habituées. Nous avons discuté de sujets interdits y compris de Noriega et de Byrd jusqu'à ce que
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Riley et Houston nous aient attrapées et nous aient séparées comme si nous étions une paire de sales gosses. J'en ai appris plus que je n'étais censée en savoir sur Loretta alors que nous étions à Atlantic City, mais on ne m'a jamais laissé une autre chance de lui parler aussi librement.
Cette excursion à Atlantic City était à usage multiple, ce qui n'était pas rare pour les opérations du gouvernement auxquelles j'étais forcée de participer. Je devais assister à l'aéroport à une importante transaction de cocaïne impliquant Noriega, remettre un message à Philip Habib relatif aux Contras, ainsi qu'un autre, programmé en moi par Habib en réponse à Reagan; j'avais aussi les aspects « divertissement » de la musique country et je devais me prostituer à Habib selon les instructions de Reagan. 4
Alors que le soleil se couchait sur Atlantic City, Houston a activé la programmation de type Oz du Projet Monarch qui était utilisée pour les opérations secrètes de haut niveau, et il m'a fait habiller en conséquence. Je portais de vrais et de faux diamants pour indiquer mon rôle professionnel de « Mannequin présidentiel », des rubis pour indiquer ma personnalité dédiée à la prostitution programmée selon le type Oz et des émeraudes pour indiquer mes affaires de drogue programmées selon le type Oz. Cela donnait à mon ou à mes contacts les indices matériels qui leur permettaient de savoir sous quel mode de fonctionnement je me trouvais à ce moment-là. J'ai rarement porté les trois indices en même temps, mais ils étaient certainement de mise dans cette opération avec Habib. Houston m'a mené le long du front de mer sur la passerelle de planches vers le casino de l'hôtel où je devais rencontrer Habib, en marchant comme l'épouvantail d'Oz et en chantant, « Suis
Houston m'a fait monter par les escaliers mécaniques complexes de l'hôtel vers les salles réservées à ceux qui jouent gros jeu, où Habib était en train de jouer aux cartes. Le garde, à la porte, n'a pas laissé passer Houston, et on m'a envoyée toute seule à la table d'Habib. Lorsque je me suis approchée, Habib s'est appuyé contre le dossier de sa chaise pour m'écouter pendant que je récitais en langage codé d'Oz, « Je suis vraiment venue de si loin pour vous voir. Oncle Ronnie vous a envoyé quelque chose. »
« Qu'est-ce que ça peut bien être? » a-t-il demandé d'une voix forte tandis qu'il me lorgnait et qu'il gloussait. Je ne pouvais pas répondre car j'étais soumise àun programme contraignant. Il m'a donné la clé de sa chambre et m'a attiré près de lui tandis qu'il me chuchotait d'une manière hypnotique, « Prends la clé. Mets-la dans la serrure. Fais-la tourner. Ouvre la porte, et passe à travers une fenêtre dans le temps. » Les autres joueurs, à la table d'Habib, s'impatientaient, et je suis vite sortie de la salle de jeu.
Lorsque je suis arrivée dans la chambre d'Habib, deux de ses gardes du corps ont accédé à ma programmation. « En parlant à la manière du Patron », je me suis mise à réciter le message de Reagan. Des dispositions avaient été prises pour que les deux gardes récupèrent le lendemain matin une assez importante cargaison de cocaïne qui devait arriver dans un petit avion militaire « en cuivre ». Houston et moi-même, nous monterions alors à bord de l'avion et nous volerions vers le District fédéral de Columbia où j'achèverais ma part de cette opération.
Quand Habib est arrivé, il m'a fait entrer dans la chambre de la suite et a commencé à se déshabiller, ne gardant que son caleçon, ses chaussettes et ses fixe-chaussettes. En faisant allusion à un film porno récent de Danté dans lequel j'avais tourné, il a dit, « J'ai aimé ta culotte de tennis froissée... » Il m'a ensuite lancé un ours en peluche rose et une culotte froissée qui ressemblait à celle de la tenue de tennis en m'ordonnant, « Mets-la. » J'ai obéi. Il m'a lancé un chat en peluche pour enfant sur les oreillers et m'a expliqué, « Ce petit chat va empêcher ce Chaton (en me pointant du doigt) de hurler. Nous allons jouer à Tweedle Dee et Tweedle Dum. » (Jeux sado-maso.) Habib ressemblait physiquement aux personnages violents d'Alice au Pays des Merveilles, surtout avec son caleçon. Le fou rire contrôlé qui est monté dans ma gorge aurait seulement intensifié ses sévices s'il n'avait (heureusement) été refoulé par la terreur tandis qu'il commençait d'attacher des liens en grosse corde aux quatre colonnes du lit. Sur son ordre, j'ai rampé sur le lit et je me suis allongée sur le ventre tandis qu'il me ligotait si serré que j'en étais étirée. Il a poussé le chat en peluche sous ma
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bouche, puis il est entré en moi brutalement par derrière et a dit, « Viens vers Papa. » La douleur intense que j'ai ressentie alors que Philip Habib me sodomisait brutalement était surpassée par un pistolet assommant à haute tension avec lequel il m'a donné des secousses à maintes reprises pour créer les mouvements saccadés pervers et les contractions des muscles du rectum qu'il désirait.
Je me suis assez vite évanouie à cause de l'effroyable haute tension de son pistolet assommant. Il était presque trois heures du matin lorsque je suis sortie en trébuchant par la porte avec le chat en peluche à la main, avec la nausée, désorientée, et en souffrant à l'extrême. La fraîche brise de l'océan m'a aidée à me ranimer tandis que Houston me ramenait au Playboy Club.
Houston savait que j'avais été programmée avec un message pour Reagan que je devrais remettre le lendemain matin à Washington. Comme d'habitude, il s'est tout de suite mis à y accéder. Son minutage rapide lui permettait tant bien que mal de percer les codes programmés ou non par chocs électriques (conçus pour s'assurer que l'information reste refoulée) et d'accéder à l'information. Houston gardait une trace écrite de tous les messages auxquels il était capable d'accéder (avec aussi des photos et des pièces comptables) pour en tirer profit personnellement et dans une intention de chantage ultérieur, au cas où il aurait besoin de se protéger. Dans ce cas précis, je soupçonne que, vu les activités de Houston au Panama, vu les conversations que j'ai surprises entre lui et Riley, et vu ce dont je me souviens des messages auxquels il accédait, son but dans l'extraction de ces informations résidait dans ses bénéfices personnels dans des transactions peu respectables avec Noriega. J'ai compris plus tard que c'était ce genre de transactions qui avaient fini par contribuer à la chute de Noriega provoquée par
Le matin est arrivé avant qu'on ne me permette de dormir, et je me sentais épuisée et « en train de planer » tandis que j'attendais sur le bord du trottoir que les gardes du corps d'Habib viennent nous chercher, Houston et moi, pour nous prendre à l'aéroport. Un petit avion militaire était garé dans une zone interdite clôturée au moment où nous sommes arrivés à l'aéroport. Les deux gardes du corps ont mené leurs affaires et ont rapidement chargé dans le coffre les ballots de cocaïne comme prévu. Houston et moi, nous sommes montés à bord de l'avion et nous avons volé vers Washington, où j'ai remis à Reagan le message d'Habib. Les numéros de transaction bancaires se sont avérés plus tard être un numéro de compte aux îles Caïmans.
Philip Habib était directement impliqué dans diverses Opérations de
Les Opérations suivantes, intégralement consignées du point de vue de ma seule expérience, impliquent très probablement d'autres aspects dont je ne suis pas au courant. À la manière typique de
1 Riley possédait plusieurs esclaves supplémentaires.
2 Riley, tout comme son père, Wayne Cox, ainsi que plusieurs autres, reste apparemment à l'abri de poursuites judiciaires pour ses crimes contre l'humanité et contre les enfants, puisque c'est considéré comme une question de « Sécurité nationale » d'après l'Amendement Reagan de 1984 à
3 J'ai encore la note manuscrite de Loretta qui a provoqué notre conversation interdite, et j'espère qu'un jour Loretta obtiendra sa part de vérité et la tranquillité d'esprit qui accompagnent la réhabilitation.
4 Au cours de la déprogrammation, j'ai pu retrouver cette information bien plus vite que ce n'aurait été le cas si Houston n'y avait pas accédé auparavant, à l'encontre de la politique du gouvernement, et dans son propre intérêt personnel.
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CHAPITRE 12
OPERATION PIGEON VOYAGEUR
...
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...
La réputation du Prince Bandar Ben Sultan pour le sexe et les drogues était très connue à Nashville. Mais je tiens une bonne partie de mes informations se rapportant à ses activités de l'une de mes plus proches amies du Projet Monarch. C'est la fille d'un artiste et on la prostituait régulièrement à Sultan quand il était en ville, ce qui arrivait souvent.
Quand Cheney en a eu fini avec moi, Byrd m'a escortée à
Reagan plaisantait en présence de Byrd, « Les oiseaux [Ndt: jeu de mots entre bird, oiseau en anglais et le nom de Byrd] peuvent bien être mangés par un Chaton, mais pas les Pigeons voyageurs. Les Pigeons voyageurs ont un goût infect. » Byrd s'est mis à rire. Reagan a continué, « Les Pigeons voyageurs ont un seul but. Transmettre des messages. Tout au long de l'histoire, les dirigeants mondiaux se sont transmis des messages entre eux au moyen de pigeons. Des messages qui ont décidé du cours des événements qui ont changé le cours de l'histoire. Les Pigeons voyageurs sont fidèles et dévoués à leur tâche, ils volent au-delà des mers, et cependant ils ne s'arrêtent jamais assez longtemps pour ne serait-ce qu'étancher leur soif - n'accordant aucune considération à leurs propres besoins. Quand un pigeon est lâché, il prend la route directe vers sa destination. Dévoué pour remettre les messages précis sur lesquels l'histoire a été fondée. C'est pourquoi, même Noé comptait sur un pigeon pour traverser les mers et ramener un message d'espoir. Il est de votre devoir d'attacher un message supplémentaire au Pigeon voyageur - un message de paix, de notre patrie à la sienne: Celui du Président des États-Unis au Roi Fahd d'Arabie saoudite... (Omis en raison de ramifications internationales.) »
Byrd était visiblement inspiré par le discours. J'ai été littéralement sauvée par le gong d'une autre récitation ennuyeuse et interminable que Reagan venait juste d'inspirer à Byrd lorsque Cheney m'a téléphoné pour que je repasse à son bureau. C'était encore le matin et Cheney s'était montré très occupé, pressé et irritable lorsque je l'avais vu juste un peu plus tôt. J'avais le cœur gros en prévoyant que je devais m'attendre à la brutalité physique et sexuelle que la mauvaise humeur de Cheney incitait normalement. J'étais tout de même soulagée d'échapper à la torture du concours de « peinture de tableaux » dans lequel Byrd et Reagan allaient s'embarquer comme l'expérience me l'avait appris. J'ai été soulagée quand mon escorte m'a laissée au bureau de Cheney lorsque j'ai remarqué que son humeur massacrante avait considérablement changé.
« Je crois comprendre que vous m'avez donné l'ordre de me présenter ici, Monsieur. » Cheney a levé les yeux de son bureau où il fouillait dans les papiers et réglait les derniers détails avant de quitter son bureau.
« Assieds-toi », ordonna-t-il. « On vient juste de me dire que la phase Génie-dans-la-Bouteille de l'Opération "Faire-naufrage" est terminée et j'ai l'intention de faire sauter un ou deux bouchons de ma réserve pour célébrer son heureuse conclusion. J'ai du temps libre et je veux que tu te joignes à moi. On est en train de préparer les bâtiments-dortoirs... » Cheney, qui pensait apparemment à quelque chose, est allé à la porte et a dit au type qui m'avait escortée, « Assure-toi qu'il y a des Gaufrettes du Pays des Merveilles dans les bâtiments-dortoirs. » Il s'est dirigé vers son bureau, a décroché le téléphone et a dit, « moi, je me tire » dans le micro et il a brutalement raccroché. Je suis sortie par la porte à la suite de Cheney, nous avons tourné à droite plutôt qu'à gauche en sortant de son bureau et nous avons marché vers ses quartiers personnels désignés sous le nom de bâtiments-dortoirs. C'était décoré dans le style western de Cheney en bruns et en marrons clairs, avec du mobilier en cuir. Il n'y avait pas de nourriture (peut-être quelques cacahuètes cachées quelque part), mais plein de bouteilles d'alcool.
J'avais le vagin qui saignait et qui était enflé, le bas de ma chemise était plein de sang, et j'avais mal au ventre profondément à l'intérieur lorsque mon escorte est enfin venue me chercher le lendemain matin de bonne heure. Rester autour de Cheney pendant qu'il dormait était une erreur aussi mortelle que
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de lui retirer ses vêtements ou de le contredire - c'était interdit. Cette fois il a violé ses propres règles, et ne m'a même pas punie pour cela quand le matin est arrivé. Il avait passé tellement d'heures à boire de l'alcool et à se servir de son énorme pénis comme d'une arme d'assaut qu'il est sorti peu de temps avant l'arrivée de mon escorte. Alors que j'entrais dans le hall, je me suis pliée en deux de douleur. Mon escorte s'est adressée à Cheney et lui a fait remarquer, « Bon Dieu, Cheney! ».
Cheney a levé la tête et lui a répondu fièrement en mangeant la moitié de ses mots, « Maintenant tu sais pourquoi on l'appelle "Dick". » [Ndt: jeu de mots entre le prénom de Cheney, « Dick », et le mot anglais « dick » dont la traduction est « bite ».]
De retour au Tennessee, mon gynécologue payé par
Une serveuse m'a guidée vers la table de l'ambassadeur d'Arabie Saoudite où il était en train de boire avec le maire Fulton, le shérif Thomas et le chef de la police métropolitaine Joe Casey. 3 Je me suis approchée de lui et je lui ai dit, « S'il vous plaît, monsieur (Oz), j'ai reçu l'ordre de vous remettre un message du pentagone. Il ne doit plus y avoir de parties de cheval (jeux érotiques). Nous devons passer aux choses sérieuses. » Cela fit rire tout le monde autour de la table. J'ai poursuivi, « Mon message est bref et j'ai seulement besoin que vous quittiez votre dîner pour me consacrer un peu de votre temps. »
Le visage du prince Bendar Ben s'est fait plus grave et nous avons quitté la table. Il a touché le bras de la serveuse et elle a indiqué une porte de l'autre côté du hall qui donnait accès à une pièce inoccupée. Nous sommes restés à l'intérieur de la pièce, et j'ai vite remis mon message secret de Pigeon:
« Le Pigeon voyageur (un avion de l'Armée de l'air) prendra son envol ... et tiendra sa promesse (le chargement convenu) tandis que toutes les opérations (à la fois bancaires et de distribution) seront obtenues par les voies diplomatiques désignées (Habib). Votre bonus, un sachet de pure et trois de coupée, vous attend. Le président des États-Unis donne sa parole au roi Fahd : ... »
Il m'a dit que son chauffeur me rejoindrait dehors en face du Stockyard et m'a donné pour instructions de mettre la cocaïne à l'arrière. Je suis sortie de l'immeuble pour rejoindre Houston à la voiture afin de pouvoir livrer la cocaïne. Une limousine blanche rallongée s'est arrêtée en face du Stockyard ; les agents de la police métropolitaine affectés au chef Casey gardaient la zone, et on a transféré la cocaïne dans le siège arrière de la limousine du prince. Houston et moi, nous avons immédiatement quitté la zone. Mon rôle dans l'Opération Pigeon voyageur était terminé.
1 Richard Fulton et sa banque ont fait l'objet d'une enquête fédérale à partir de 1991.
2 Fate Thomas purge actuellement sa peine dans un pénitencier fédéral pour corruption et extorsion.
3 Qui a récemment fait l'objet d'une enquête fédérale pour corruption.
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CHAPITRE 13
OPÉRATION LE JEU DU COQUILLAGE
Quelque temps avant la mort du chef de
Mon rôle a débuté par une journée froide et pluvieuse, lorsque Houston m'a déposée au Monument de Washington où j'ai été prise en charge par deux agents, qui m'ont conditionnée à partir avec eux en me montrant rapidement leurs pièces d'identité. Ils m'ont escortée jusqu'au grand bureau de
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Cheney a perdu patience et a sauté de son fauteuil pour se moquer de moi et pointer le doigt sur ma poitrine en disant, « L'ordre, c'est tout ce qui compte, et tu vas suivre le mien. »
Reagan s'est retourné vers nous. « Je suis content que tu soulèves cette question, Dick. Chaton, tu as un rôle dans l'instauration de cet ordre. Avec la même flamme patriotique qui brûlait dans ta poitrine pour les combattants de la liberté d'Afghanistan, tu exécuteras tes ordres pour les Contras. Dick déterminera ton rôle et te fournira tout ce dont tu as besoin et tout ce que tu as besoin de savoir à partir du sac du vieux Magicien qui se trouve au sous-sol (programmation de type Oz au bureau du Pentagone de Cheney). Alors, à présent tu te sauves et tu fais ce qu'il te demande. »
Le sénateur Allen Simpson était dans le bureau de Cheney quand nous sommes arrivés. Cheney a donné un petit coup sur le sablier pour me faire savoir que ma vie était en jeu selon la programmation de type Oz. Cheney a fait signe à Simpson et a commencé, « L'opération Le Jeu du Coquillage est une idée personnelle de Simpson, aussi c'est lui le maître du jeu et il va t'en apprendre les règles. Le but du jeu est de vérifier "àqui on refile les marchandises". » Désignant Simpson du doigt, il a ordonné, « Écoute-le. »
Simpson s'est levé et s'est mis à parler à mots couverts. « Tu pars sur un "Princes' Cruise" (le Yacht de Noriega). L'Oreille de Mer de Bébé est ton passe. Je te fournirai la tienne au moment opportun. » Il a pris le « coquillage » dans son portefeuille. Il avait approximativement
Il a remis le coquillage dans son portefeuille et a repris, « Écoute. Suis les ordres. Le colonel (Aquino) sera là, tu suivras ses ordres et tu donneras une démonstration de type interactif au général (Noriega). Ce sera différent et pourtant ce sera pareil, aussi suis attentivement les ordres du colonel. »
Cheney m'a saisi brutalement par les cheveux et m'a tiré la tête en arrière, il s'est mis tout contre mon visage et a dit, « Ou bien ma jolie, je l'attraperai, ta petite fille. Suis les ordres comme si sa vie en dépendait parce que c'est le cas. Ou bien on prendra la prochaine oreille de bébé à Kelly. Alors écoute. Quand tu verras l'oreille de bébé, tu écouteras. » Il m'a fait tourner la tête dans la direction du sablier tandis qu'il lâchait mes cheveux. Il ricanait et Simpson avait l'air de penser que Cheney en faisait trop. J'ai été soulagée de ne pas être chargée « d'apaiser cette bête féroce de Cheney » par le sexe ce jour-là.
Cheney m'a ramenée au bureau de
Cheney lui a dit, « Je n'arrive pas à comprendre comment diable tu peux boire du cognac et manger ces fichus haricots de gelée. »
Reagan lui a répondu, « Eh bien, Dick, tu n'es pas obligé de prendre un Jelly Belly si tu n'en veux pas. Je n'ai fait là qu'en donner un à Chaton. »
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« Et comment, que je ne suis pas obligé de prendre un Jelly Belly, mais tu vas avoir le ventre comme de la gelée si tu continues avec cette merde. » [Ndt: jeu de mots entre Jelly Belly et jelly (gelée) belly (ventre).] Cheney a vidé son verre.
Reagan a ri tout bas, « Tu sais que maintenant, je fais attention à ma ligne... » [Ndt: figure en anglais]
« Figure-toi ça », a coupé Cheney. « Et qu'est-ce que tu vas faire avec les Contras? » Cheney a posé son verre en le faisant claquer et s'est dirigé vers la porte.
« Exactement ce que je viens de faire. » Reagan s'est adressé à moi, « Viens, Chaton. Allons nous promener. J'ai besoin de ma petite promenade du soir. »
Reagan n'était pas d'humeur àavoir des relations sexuelles, et c'était un soulagement que de se tenir éloigné de Cheney. Il m'a emmenée dehors pour faire un tour dans son « Jardin secret », où il disait qu'il allait pour « réfléchir à la résolution des problèmes du monde ». Nous sommes descendus le long d'une allée en ciment qu'il désignait sous le nom de « Route pavée de Briques jaunes ». Après s'être tranquillement assis sur un banc en ciment pendant un moment, il a dit, « Si tu suis
L'Opération Le Jeu du Coquillage m'a remise en contact avec l'ancien Président Gerald Ford de bonne heure, par un matin brumeux d'automne. Les relations permanentes de Ford avec ceux qui me faisaient subir des abus sexuels m'avaient donné des motifs de rester en contact avec lui pendant toutes ces années, en particulier depuis que mon père et lui étaient toujours conjointement actifs dans les affaires de drogue du crime organisé du Michigan et dans les opérations de pornographie qui m'avaient lancée dans le Projet Monarch tant d'années auparavant.
Ford était sur le point de se lancer dans une partie de golf avec mon père sur le parcours de golf par ailleurs « Fermé pour
« S'il vous plaît, Monsieur », ai-je commencé en langage codé d'Oz, « J'ai un message pour vous de la part d'Oncle Ronnie. C'est un "télégramme murmuré" (fellation) pour savoir si vous accepteriez que notre hymne national soit remplacé par America the Beautiful. » (Reagan envisageait tout à fait sérieusement de changer notre hymne national.)
Ford a répondu, « Nous verrons peut-être si c'est possible plus tard. Nous avons d'abord d'autres "trous"[Ndt: jeu de mots : le mot anglais "holes" employé par Ford désigne non seulement les trous du parcours de golf mais aussi en langage familier les situations embarrassantes qu'il faut régler avant que ça chauffe.] à nous occuper avant que le soleil ne monte plus haut. »
Alors qu'il plaçait sa balle de golf sur le tee je lui ai demandé, « Est-ce que vous jouez encore beaucoup au golf maintenant que vous n'êtes plus Président? »
Il a dit très sérieusement, « J'ai beaucoup joué au golf quand j'étais Président. Mais à présent, je suis simplement les événements depuis le parcours de golf. J'ai gagné le privilège de surveiller les progrès du Train de
« Très bien, Monsieur, quand c'est permis. » (Houston faisait toujours en sorte de gagner.) Ford a été visiblement amusé par ma réponse et il m'a donné son club. « Fais de ton mieux. » Je lui ai envoyé la première balle hors limites et son amusement a disparu. Je lui ai rendu son club de golf comme il me l'a demandé.
Au bout du second trou, Ford m'a dit, « J'aimerais te parler un instant. » Il m'a menée vers des arbres situés à l'écart de l'allée et s'est retourné vers moi avec les
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bras croisés sur sa poitrine bombée, s'est redressé, et a vissé ses yeux de requin dans les miens. « Prête-moi l'oreille. » J'avais l'Oreille de Mer de Bébé sur moi comme on me l'avait demandé, je l'ai sortie de ma poche de derrière et je l'ai donnée à Ford. Il s'est mis à me parler comme si j'étais une machine et qu'il dictait un message. « Rapporte ce message à Dick Cheney, au Pentagone.
Après avoir frappé la balle de golf, il m'a demandé, « Comment va mon ami Allen Simpson, ces temps-ci ? »
« Très bien, Monsieur. » J'ai remarqué son irritation alors qu'il ratait un autre coup. Sa colère était en train de monter. Quand il a voulu rajouter quelque chose à son message, il a passé sa frustration sur moi.
« Refile-moi cette foutue coquille. » Il agitait les doigts dans ma direction. Ce n'était pas la formule du mot de passe et je ne réagissais pas. Il s'est mis à parler plus fort et avec davantage d'agitation, « Où est cette Oreille de Bébé. » Je ne pouvais toujours pas répondre. « Donne-moi ta fichue oreille !! » me hurla-t-il. D'assez près.
« Oui, Monsieur », ai-je répondu docilement en la laissant tomber dans sa main.
Il poursuivit. « Dis à Simpson de prendre bien soin de mon ami Dick Thornburgh. Contacte-moi de nouveau à ce sujet. » Il me rendit l'oreille. Nous pouvions voir mon père attendre au trou suivant et Ford a dit qu'il pourrait « lui en envoyer une dans la tête » à son prochain coup. Il a fait un swing mais il a manqué mon père.
Lorsque nous avons retrouvé mon père au troisième trou, Ford a naturellement commencé par mettre sa balle en position, puis, en me faisant signe avec son club, il m'a dit, « Va-t-en d'ici avant de me casser les pieds. » Mon père m'a indiqué le chemin avec le pouce par-dessus son épaule tout en laissant échapper un coup de sifflet strident. Mon frère, Mike, m'a fait traverser les buissons pour me faire rentrer à la maison de mon père.
Ma sœur, Kelli Jo, attendait mon retour les larmes aux yeux. Elle était atteinte du syndrome des personnalités multiples et était terrifiée à cause de Ford. Elle, ma petite sœur, Kimmy, et moi, nous avions toutes été forcées de satisfaire sexuellement Ford juste avant une commande spéciale de film pornographique intitulée Trois petits Chatons dans lequel son sperme était filmé « anonymement ». J'étais au courant que Ford avait initié mes deux sœurs de la même manière que moi à Cedar Spring, et qu'elles aussi redoutaient sa sexualité brutale et dégradante. Je me suis dépêchée de passer devant ma sœur pour m'assurer que ma fille, Kelly, allait bien. La menace de Cheney contre sa vie résonnait très fort dans mes oreilles.
Je n'ai pas revu l'Oreille de Mer de Bébé jusqu'à ce que Kelly et moi, nous soyons arrivées à Bradenton Beach, en Floride. J'ai conduit le camping-car jusqu'en Floride avec Houston et Kelly, et j'ai déposé Houston à l'aéroport de Tampa, puisqu'il n'y avait pas de rôle pour lui dans l'Opération Le Jeu du Coquillage. Il « avait des choses à faire à Boys Town près d'Omaha, au Nebraska » où les garçons indisciplinés étaient traumatisés et subissaient des sévices sexuels conformément à la participation de l'Église catholique au Projet Monarch. Paul Bonacci, une ancienne victime de la tristement célèbre histoire de l'étouffement de l'Affaire Franklin [Ndt : Allusion au livre du procureur John W. DeCamp, The Franklin Cover-up.] a désigné Alex Houston comme l'un des auteurs des sévices sexuels qu'il a subis là-bas, à Boys Town. Houston allait souvent à Boys Town ou dans d'autre « stations de vacances » similaires pendant que je participais à des affaires secrètes du gouvernement. Kelly et moi, nous avons poursuivi notre route jusqu'à Bradenton, où nous sommes descendues
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dans un terrain de camping qui faisait partie de l'opération et qui se trouvait sur la baie située de l'autre côté de
La salle de détente du terrain de camping était en réalité utilisée pour une opération de programmation d'harmoniques, et les bureaux étaient remplis des ordinateurs compliqués caractéristiques des opérations de haut niveau de
Simpson m'a montré le coquillage dans sa main et a commencé, « Toi. Toi seule, tu vas prendre le bateau qui fait la navette avec ton Princes' Cruise. Il quittera le dock depuis ton propre jardin de derrière (Oz) à sept heures et demi du soir. Habille-toi de manière appropriée (Houston s'était assuré qu'on avait mis dans une valise la tenue adéquate). Tu seras escortée jusqu'à la salle de conférence et sur le pont supérieur. Tu verras au moment où tu t'approcheras du bateau (le yacht de Noriega) que le pont supérieur est entouré de miroirs noirs. Regarde profondément dans les miroirs, c'est là que tu seras. Et là que je serai quand on se reverra. » Nous sommes montés un peu plus haut sur la plage vers l'endroit où était garé le camping-car et, en parlant de l'Oreille de Bébé, Simpson a dit, « Elles sont vraiment très rares. Celle-ci est l'oreille droite. Vous devez aller de l'autre côté de l'île, à la sortie de Long Boat Key, pour trouver celle qui va avec. Le colonel (Aquino) a l'oreille gauche de bébé et il vous retrouvera sur
J'ai suivi les instructions comme un robot. Kelly et moi, nous regardions depuis la jetée, tandis que quatre grands gardes impassibles (programmés ?) et armés (de mitrailleuses) scrutaient la zone alors qu'Aquino sortait d'une voiture. Kelly a dit, « Maman, allons-nous-en. » Je me souvenais de la menace de Cheney et je l'ai assurée que je la protégerais, bien que je ne puisse pas comprendre de quoi.
Lorsque Aquino s'est approché avec deux dobermans tenus en laisse, je lui ai dit que Simpson m'avait envoyée là pour chercher l'oreille de bébé gauche. Il a ouvert la main pour me faire voir « tout ce qui restait - l'oreille du bébé - les chiens avaient dévoré et consommé le reste du bébé. » C'était ensanglanté, déchiqueté et la couleur tirait plutôt sur le bleu que sur le rose. Que ce fût ou non une véritable oreille du bébé, l'effet a été le même. J'ai éloigné Kelly derrière moi, à l'opposé des chiens. Je me suis retrouvée traumatisée et je suis entrée en transe, prête à recevoir des ordres. Aquino m'a donné des instructions parfaitement détaillées sur les activités de la nuit, et m'a dit que je devais laisser le personnel du terrain de camping s'occuper de Kelly jusqu'à mon retour.
Ce soir-là, on s'est servi d'un petit canot à moteur pour me conduire au yacht de Noriega dans la baie. Ma commutation s'est déclenchée et ma transe est devenue plus profonde en me rapprochant du yacht familier « aux miroirs noirs » conformément au plan. J'ai reçu de l'aide pour monter à l'arrière du yacht de la part des gardes du « palais » panaméens qui m'y ont retenue sous la menace d'un fusil jusqu'à ce que j'aie satisfait aux exigences du contrôle de sécurité et que l'Oreille de Bébé qui me servait de sauf-conduit soit acceptée. On m'a escortée pour me faire passer devant les responsables de
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disposition. J'ai reconnu plusieurs invités, y compris Oliver North et le seigneur de la drogue portoricain José Busto. On m'a fait monter les escaliers jusqu'à la salle de conférence où Aquino, Noriega et Simpson attendaient. Simpson ! J'ai réalisé que je devais « être de l'autre côté du miroir noir » et j'ai regardé fixement dans l'obscurité.
Simpson a parlé doucement, « Tu es maintenant de l'autre côté du miroir noir (programmation de
« S'il vous plait, Monsieur, j'ai un message de la part du président des États-Unis d'Amérique : Les succès dont nous avons bénéficié dans nos entreprises communes sont maintenant de l'histoire en train de se faire, et son cours ne peut être changé - sans se soucier de la levée imminente du voile par des âmes charitables bien intentionnées. Dès que ce voile sera levé, cela pourrait jeter la lumière sur vous. Aussi, vous devez balayer devant votre porte, comme le fait Ollie North, et cesser toute activité trop voyante. Je ferai de mon mieux pour vous protéger et vous tenir à l'abri des regards si vous obéissez à ces ordres et cessez immédiatement toute activité trop voyante. »
Noriega a réagi comme prévu, manifestement insulté par le message. Dans le moment de confusion qui a suivi, Aquino a agité les mains de manière hypnotique en face de Noriega et a déployé théâtralement sa cape noire satanique (qu'il portait pour son impact sur les superstitions de Noriega) qui avait l'air de remplir la salle. Noriega se soumettait presque à lui tellement le contrôle qu'Aquino exerçait sur lui était total.
Le style d'Aquino était celui d'un spectacle de foire plutôt que celui des habituels tons sérieux utilisés sur les bases de l'Armée pour les Démonstrations interactives. « Général, pour votre divertissement et en témoignage de notre reconnaissance pour la brillante réussite de votre "Contra-bution", le Patron vous a envoyé son Mannequin présidentiel pour vous faire une démonstration des technologies les plus avancées en matière de contrôle de l'esprit. Rien qu'en appuyant sur un bouton, ce Pigeon devient un Chaton (j'ai commencé à me déshabiller). Un tout autre animal. »
En raison des croyances superstitieuses de Noriega, il semble que la seule idée de commuter des personnalités lui faisait peur. Je sais que Noriega croyait tout à fait sincèrement au contrôle de l'esprit, mais qu'il ne pouvait pas saisir le concept des personnalités multiples (qu'il percevait, comme je le crois maintenant, comme une possession diabolique). Pour cette raison, il n'adhérait pas à l'idée qu'une seule esclave puisse être à la fois dressée pour le travail et le plaisir. Aquino, que Noriega percevait déjà comme un « démon » au service de Reagan, était en train de manipuler ses croyances de main de maître. L'impact de cette démonstration et de cette Opération allait se révéler être de la guerre psychologique de premier ordre.
Aquino m'a ordonné de m'allonger sur le lit et il a invité Noriega à regarder de plus près ce que le « Magicien » - « son Patron » (Reagan) - pouvait faire. Noriega s'est rapproché pour voir ce qu'Aquino lui montrait du doigt entre mes seins. Un grand baphomet gravé est apparu. Aquino m'avait fait régresser en se servant de l'hypnose jusqu'au moment où on l'avait fait, ce qui semble avoir provoqué sa « soudaine apparition » sous les yeux de Noriega. Noriega a fait un bond en arrière, terrifié par l'ignorance de ce phénomène scientifique. Je crois que Noriega n'est resté dans la pièce pour la suite de la démonstration que parce qu'il était cloué sur place par la peur. Aquino m'a frappée avec un chat-à-neuf-queues et j'ai hurlé de douleur. Noriega a sursauté. Aquino s'en est encore servi pour me frapper, cette fois en m'activant pour que je réagisse sexuellement comme si la douleur était du plaisir - un concept du contrôle de l'esprit que Noriega saisissait plus facilement. Aquino a alors fait remarquer que le baphomet avait disparu. Pendant que Noriega regardait, Aquino s'est servi de
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l'induction hypnotique de Byrd alors qu'il me coupait entre les seins avec un couteau en disant, « puisque ce couteau est bien affûté et sans bavures, je vais découper ce que je veux. » Ma transe avait été rendue plus profonde, au point de ralentir mon système circulatoire. Je n'ai donc pas saigné jusqu'à ce qu'Aquino modifie le niveau de ma transe en se servant de l'hypnose. Il a ensuite dit à Noriega que la gravure du baphomet s'était retirée dans les profondeurs de mon corps et de mon âme, en me possédant et en poussant les feux de l'enfer. Il m'a ordonné de montrer mon « visage », la gravure obtenue par mutilation vaginale du visage de baphomet. Tandis que je le faisais, Aquino a offert mon sexe à Noriega. Comme prévu, Noriega s'est mis à avoir les yeux exorbités de terreur et de dégoût. Alors qu'Aquino lui disait que son « rejet à mon égard m'avait tuée », j'ai cessé de respirer et de bouger, comme j'y avais été conditionnée.
Noriega était abasourdi tandis qu'Aquino riait malicieusement et le menaçait, « Même la mort ne lui - ou vous - permettra pas d'échapper au pouvoir du Magicien. » Il lui a expliqué que j'étais la « propriété du Magicien », que j'étais « ensorcelée par lui » et que je pouvais donc « me redonner de l'énergie et revenir à la vie. » Il m'a mis un aiguillon vaginal dans la main et m'a ordonné de m'en servir pour me masturber, en appuyant sur le bouton pour me donner des secousses électriques internes à son commandement. Les yeux de Noriega étaient énormes. Son teint avait viré au gris pâle, il avait la bouche ouverte et il est sorti en courant par la porte tandis qu'Aquino lui assurait qu'il n'avait « nulle part où aller, nulle part où se cacher où il puisse se soustraire aux pouvoirs de Reagan. »
Comme on pouvait le prévoir, Noriega a interprété la démonstration comme une menace venue des profondeurs de L'ENFER, ce qui aurait dû être suffisant pour qu'il tienne compte des ordres de Reagan pour rompre immédiatement les liens avec le trafic de drogue. (Apparemment ce n'est pas le cas comme en témoigne l'incarcération prolongée de Noriega en Floride.) Aquino et Simpson étaient pliés en deux de rire en se félicitant d'avoir fait du bon boulot. Simpson m'a finalement demandé de me rhabiller et m'a escortée vers l'arrière du yacht pour s'assurer que les gardes me mettent sur la navette plutôt que de me tuer à cause de l'horreur que j'inspirais à Noriega.
Alors que je m'approchais du dock du terrain de camping, le pilote du bateau m'a dit que je trouverais Kelly endormie dans la salle de « détente ». J'ai couru vers elle, et, par crainte de la menace de Cheney, je me suis assurée que ses oreilles étaient toujours intactes. Ce fut un immense soulagement pour moi de constater qu'elles étaient toujours à leur place et de savoir qu'elle allait bien. (Il ne pouvait pas me venir à l'idée de me demander ce qu'elle avait enduré pendant mon absence.) Au mépris de toute logique, j'avais l'impression d'être une « bonne maman » pour « avoir parfaitement rempli mon rôle afin que Kelly puisse vivre. » Jamais auparavant, je n'avais ressenti une telle sensation de danger pour nous deux et mon soulagement était en proportion. Je l'ai tendrement tenue dans mes bras pendant le reste de la nuit.
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CHAPITRE 14
LIGNES DE COKE CLINTON
J'ai de nouveau rencontré Bill Clinton en 1982 lors d'une foire de comté de Berryville, en Arkansas. Alex Houston y donnait un « divertissement » à cause de la proximité immédiate du Centre d'Études des Traumatismes jusqu'au Seuil de
De mon point de vue, ceux qui étaient en train de préparer activement le terrain pour la mise en place du nouvel Ordre mondial grâce au conditionnement de l'esprit des masses ne faisaient aucune distinction entre le parti démocrate et le parti républicain. Leurs aspirations étaient internationales dans la même mesure, et non pas américaines. 1 Les membres appartenaient souvent, parmi d'autres groupes élitistes, au Council on Foreign Relations. [Ndt : CFR - Conseil pour les Relations extérieures.] Comme George Bush, Bill Clinton était un membre actif du CFR, des Bilderberger, [Ndt : Nom de l'hôtel hollandais où s'est tenue leur première réunion en 1954.] et de
Clinton comprenait bien que je venais de passer par « l'enfer » à Lampe, mais cela ne le gênait pas pour autant tandis qu'il se concentrait sur son discours. Non seulement il n'ignorait pas les tortures du contrôle de l'esprit et les activités secrètes criminelles qui proliféraient en Arkansas et dans l'état voisin du Missouri, mais il les admettait ! Comme il n'y a pas de préférences partisanes dans cette lutte pour la suprématie mondiale, il n'y a pas non plus de frontières ni de réelles prises en compte des situations individuelles. Je savais par expérience que les opérations secrètes criminelles de Clinton en Arkansas avaient un rapport avec le centre de Lampe, au Missouri où il s'occupait couramment de ses affaires et affirmait « passer ses vacances » , en séjournant dans les villas du complexe touristique.
En 1983, Houston m'a emmenée à Lampe pour des traumatismes et de la programmation de routine tandis qu'il devait donner un « divertissement » dans l'amphithéâtre. Devaient aussi donner une représentation les amis de Bill Clinton et de George Bush, Lee Greenwood et Tommy Overstreet, l'agent de
Avant que Clinton ne soit arrivé, Greenwood et Houston étaient en train de sniffer de la cocaïne ligne après ligne dans les vestiaires des coulisses. Houston, toujours impatient de trouver un sou de plus à piquer, a essayé de me prostituer à Greenwood. « C'est elle la véritable artiste » , a dit Houston. « Elle pratique toutes sortes d'actes sexuels sur commande. Pour un prix modique, elle est à toi. »
Greenwood a ri, et en faisant allusion à ma programmation par
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sais parfaitement qui elle est et ce qu'elle est - une "allumée" programmée pour le sexe. C'est une version modifiée de Marilyn Monroe. »
Tommy Overstreet était entré et avait entendu ce que Greenwood disait. « Combien de temps as-tu passé à Shasta ? »
« Shasta ? » Greenwood a regardé Overstreet avec arrogance et a souri d'un air entendu en disant, « Tu ne "passe pas de temps" à Shasta, tu maintiens le concept si tu le peux. Je n'y ai pas non plus perdu de temps, si c'est ta prochaine question. J'y vais pas mal de fois. Bien assez souvent pour qu'il me soit facile de ne pas tenir compte de la suggestion de Houston et de prendre ce que je veux, quand je le veux, et comme je le veux. »
Greenwood s'est mis à accéder à ma programmation sexuelle d'une manière experte et a dit aux autres dans la salle, « Vous pouvez tous aller et venir comme vous voudrez, mais on m'a fait une offre et je vais en profiter. » Il m'a donné l'ordre de me déshabiller et de me pencher sur le bureau où il m'a sodomisé brutalement en me disant, « Tu vas dire que c'est encore papa qui remet ça. »
Quand Greenwood en a eu fini avec moi, on m'a fait sortir vers la salle de concert de l'amphithéâtre. Pendant l'entracte, j'ai rencontré dans le hall le directeur de Swiss Villa, Hal Meadows, Tommy Overstreet, et le gouverneur Clinton. Clinton portait une casquette sur laquelle on pouvait lire « Diesel Trainer » qu'on m'avait dit être littéralement l'équivalent de « these-will-train-her » . [Ndt : ce sont eux qui vont l'entraîner.] Intriguée, j'ai regardé sa casquette et lui ai demandé, « Êtes-vous un conducteur ? »
Clinton a souri et a répondu, « D'électricité. » Overstreet s'est mis à rire alors qu'il poursuivait, « En fait cela veut dire que je contrôle les trains arrières. Comment va le tien ? » Je ne savais pas où me mettre. Apparemment Greenwood s'était vanté de m'avoir sodomisée. Ils se sont mis à rire encore plus fort au moment où Clinton m'a dit, « Toujours en état de marche, j'en suis sûr. »
Houston est sorti de la loge pour saluer Clinton. « Salut, mon vieux ! » Houston lui a tendu la main. « On m'a dit que tu as réussi à te faire élire gouverneur. »
« On m'a dit que tu proposes un avion de ligne stupéfiant » , a répliqué Clinton, en faisant allusion à mots couverts à la cocaïne et NON au soi-disant numéro de comédie de Houston. « J'aspire toujours à atteindre de nouveaux sommets. »
« Eh bien, suivez-moi à l'intérieur » , les y a invité Houston. « J'en ai assez (de cocaïne) pour vous mettre tous en orbite. » Je suis entrée dans la loge avec eux tandis que Houston disait à Clinton, « Je suppose qu'il n'y a pas de limites pour toi puisque tu es de l'autre côté de la ligne (de l'état). »
« Quelle ligne ? » Clinton a feint la surprise et l'ignorance. Il a regardé Hal Meadows tout en poursuivant, « Tu veux dire que j'ai quitté cet état qui est le mien ? De toute façon, dans l'état d'esprit qui est le mien, il n'y a pas de frontières. » [Ndt : jeu de mots entre "state of mine", mon état à moi et "state of mind", état d’esprit. Allusion à la chanson de Billy Joel "New York state of mind" (1975).] Il s'est approché de la table et a sniffé une ligne de cocaïne. « Je viens ici pour laisser tout ça derrière moi. Ce genre de travail est un plaisir. »
« Où est donc passée ta jeune femme ? » a demandé Houston, en faisant allusion à Hillary.
« Elle est chez des amis. » Clinton a aspiré la coke pour la faire monter plus haut dans le nez. « Elle est en train de s'occuper de ses affaires. Je suis ici uniquement pour me détendre, assister au spectacle, éventuellement faire une petite partie de chasse (allusion à Le Jeu le plus dangereux). J'ai un oiseau [Ndt : bird en anglais.] (hélicoptère) prêt à me ramener par les airs quand j'aurai fini. Hé ! En parlant de "Byrd" (il a fait un geste dans ma direction) on m'a dit qu'elle est envoyée à la grande maison (Maison Blanche). » En faisant allusion à son ami et mentor le sénateur Byrd il demanda, « Et lui alors, quelle est sa position actuellement ? »
« La même. » répondit Houston. « Probablement celle-ci… » Houston mimait une posture obscène de sodomie tandis que tout le monde riait. « Il tient toujours les rênes. »
Clinton a gardé les yeux fixés sur le « train arrière » de Houston et lui a dit, « Pourquoi ne lui (en parlant de moi) indiques-tu pas la sortie pour me faire revoir ça ? » Si j'avais pu
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réfléchir à ce moment-là, j'aurais réalisé que Bill Clinton était / est bisexuel. Mon expérience sexuelle personnelle avec Clinton était limitée, mais je l'avais vu en pleine activité homosexuelle au cours d'une orgie à Swiss Villa.
Juste après l'épisode de Swiss Villa, Houston devait donner comme d'habitude une représentation à la foire de comté de Berryville, en Arkansas. Là, Houston et moi, nous étions allés rendre visite à H. B. Gibson, l'ami de longue date et partisan de Clinton, lorsque nous nous sommes séparés pour assister à une réunion privée au manoir de Bill Hall, l'ami bisexuel et partisan de Clinton. À ce qu'on dit, Hall aurait fait fortune dans les affaires de maisons de rondins pré-fabriquées, et les Clinton séjournaient dans une villa d'amis bâtie d'après celles de Swiss Villa. Hillary avait amené à la villa Chelsea, qui commençait à marcher, tandis que Clinton et l'assistant qui lui servait de garde du corps participaient à la réunion. Tommy Overstreet était aussi de la partie car cela coïncidait directement avec la récente réunion de Lampe. Nous nous sommes tous assis dans le salon de Hall qui était en contrebas, sur deux canapés disposés l'un en face de l'autre et séparés par une table basse recouverte d'un miroir noir. Hall avait coupé de nombreuses lignes de cocaïne sur la table, et tous ceux qui étaient présents - y compris Bill Clinton - étaient en train de les aspirer avec des pailles faites d'un billet de 50 dollars enroulé. La conversation s'étendait de
Tommy Overstreet était en train d'essayer de persuader Hall, qui avait manifestement l'habitude du commerce de la drogue (cocaïne), de se joindre à l'opération de cocaïne de haut niveau de
Hall n'était pas convaincu et commençait à poser des questions quant à la longévité de l'opération et sur la manière dont il allait se protéger. Bien que Hall fusse très expert dans le commerce de la cocaïne, il disait avec inquiétude que cela lui était plus facile de faire confiance à ceux qui n'étaient pas impliqués dans les opérations de
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Clinton a complété ce que Houston venait de dire, en utilisant des expressions familières locales. « Voilà le fond du problème, nous avons le contrôle de l'industrie, (de la drogue) et par conséquent nous les contrôlons (les fournisseurs et les acheteurs). Tu contrôle le type qui est au-dessous de toi et l'Oncle (Sam) t'y fait couvrir. Q'est-ce t'y a à perdre ? Aucun risque. Personne va t'y abandonner à ton sort. Et tout ce qui tombe du camion quand il fait sa traversée (il a ri et a sniffé une autre ligne de coke) tu peux en faire ton beurre. »
Hall a souri à son ami, ce qui semble avoir été interprété comme un consentement. Clinton a fait signe à son assistant de lui faire passer son grand livre. Overstreet a commencé à sortir sa paperasse, et Hall a soigneusement débarrassé la table des lignes de coke restantes.
Clinton m'a désignée d'un geste et a dit à Houston, « Fais-la sortir d'ici. »
Houston n'a pas bougé et s'est mis à rire. C'est un Mannequin présidentiel. Elle détient des secrets plus importants que les tiens. »
Clinton a répondu, « Ça m'est égal ! Fais-la sortir d'ici, bordel ! »
La femme de Hall m'a emmenée et m'a enfermée dans une chambre de derrière. Après une durée indéterminée, je l'ai entendue téléphoner à Hillary à la villa des invités. Elle m'a alors fait gravir la montagne à travers l'obscurité pour retrouver Hillary. Bien que j'eusse déjà rencontré Hillary nous avions très peu de choses à nous dire - en particulier parce que j'étais encore hébétée et en transes à cause des tortures que j'avais subies au Centre d'Études des Traumatismes jusqu'au Seuil de
Hillary était en train de dormir en étant allongée sur le lit entièrement habillée lorsque la femme de Hall est arrivée avec moi. « Hillary, je t'ai ramené quelque chose qui va vraiment te plaire. Du genre surprise à laquelle on ne s'attend pas. Bill lui a fait quitter la réunion et je l'ai prise dans ma chambre où j'ai fait une découverte intéressante. C'est littéralement une pute à deux visages (en parlant de la gravure obtenue par la mutilation de mon vagin). »
« Hum ? » Hillary a ouvert les yeux et s'est réveillée avec un air endormi. « Fais-moi voir. »
La femme de Hall m'a ordonné de retirer mes vêtements tandis que Hillary regardait. « Est-elle saine ? » demanda Hillary, voulant dire par là exempte de maladies.
« Bien sûr, elle est à Byrd » , répondit-elle, en poursuivant la conversation comme si je n'étais pas là. « En plus, j'ai entendu Houston dire quelque chose sur elle comme quoi c'est un Mannequin présidentiel, qui diable sait ce que c'est censé vouloir dire. »
« Ça veut dire qu'elle est saine » , a dit Hillary d'un ton neutre en se levant.
J'étais incapable de bien réfléchir à de telles choses à cette époque, mais rétrospectivement je suis consciente que toutes les esclaves Mannequins présidentiels que j'ai connues semblaient posséder une immunité contre les maladies vénériennes. C'était un fait bien connu dans les cercles que j'ai fréquenté sexuellement que les esclaves sexuelles soumises au contrôle de l'esprit de niveau gouvernemental étaient « saines » à un point que pas un seul de ceux qui me faisaient subir des sévices sexuels ne prenait de précautions telles que le port du préservatif.
La femme de Hall a tapoté le lit et m'a ordonné d'exhiber la mutilation. Hillary s'est exclamée, « Mon Dieu ! » et elle s'est mise tout de suite à me faire un cunnilingus. Apparemment excitée par la gravure dans mon vagin, 2 Hillary s'est relevée et s'est vite débarrassée de sa culotte en nylon de matrone et de ses collants. Dénuée d'inhibitions malgré une longue journée dans la chaleur du soleil, elle m'a dit d'une voix entrecoupée, « Suce-moi, bon Dieu, suce-moi maintenant. » Je n'avais pas d'autre choix que d'obéir à ses ordres, et la femme de Bill Hall ne faisait aucun geste pour se joindre à moi dans ma tâche déplaisante. Hillary s'était remise à examiner mon affreuse mutilation et à me faire un cunnilingus lorsque Bill Clinton est entré. Hillary a levé la tête pour lui demander, « Comment ça s'est passé ? »
Clinton n'avait pas du tout l'air affecté par ce sur quoi il était tombé, il a jeté sa veste sur une chaise et il a dit, « C'est officiel. Je suis épuisé. Je vais me coucher. »
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J'ai remis mes vêtements comme on me l'a ordonné, et la femme de Hall m'a fait redescendre au manoir où Houston m'attendait. Apparemment, la réunion avait été une réussite. J'ai entendu des discussions au cours des années restantes entre Houston, son agent, Reggie MacLaughlin, et le manipulateur de Loretta Lynn, Ken Riley, qui avaient un rapport avec la participation couronnée de succès de Hall à l'opération de cocaïne de
Boxcar Willie a fait irruption sur la scène de la musique country après qu'une campagne publicitaire de haute technologie dont le pouvoir de persuasion reposait sur l'hypnose ait mis sur les ondes des spots publicitaires télévisés qui ont d'une manière stratégique fait de lui une « star » du jour au lendemain. Le Train de
Boxcar Willie fut l'un des premiers contacts du niveau zéro que fit Bill Hall après que Clinton l'eut persuadé de tirer profit des avantages pour la cocaïne que procurait le transfert de l'industrie de la musique country. Houston et Boxcar Willie ont discuté des transactions lucratives de Hall tout au long des années en ma présence tout en parcourant le pays ensemble, à l'affiche dans les mêmes spectacles, y compris pour les représentations dans l'amphithéâtre de Swiss Villa. J'ai souvent été personnellement en contact avec Boxcar Willie puisque mes déplacements pour la cocaïne sponsorisés par le gouvernement coïncidaient et concordaient souvent avec les siens. Mais je n'ai jamais connu Boxcar Willie aussi bien que ma fille, Kelly l'a connu. Kelly a désigné Boxcar Willie comme l'une des principales personnes qui lui ont fait subir des sévices sexuels dans trois institutions psychiatriques différentes, et elle a exprimé sa frustration à cause du manque de justice. « Pourquoi suis-je la seule à être enfermée alors que ceux qui m'ont fait subir des sévices restent en liberté ? » implore-t-elle continuellement. Je l'assure que je fais tout ce que je peux pour elle pour dénoncer Boxcar Willie, et pour dévoiler son rôle dans le transfert de l'industrie de la musique country à proximité immédiate de l'opération de cocaïne de
1 La loyauté envers la souveraineté de notre pays n'existe pas selon les partisans du nouvel Ordre mondial. Le « président » Clinton ne fait pas davantage preuve d'autorité ou de loyauté envers notre pays que ne le faisait Ronald Reagan puisque tous les deux suiv(ai)ent les directives de l'ancien ambassadeur auprès des Nations Unies et directeur de
2 Hillary Clinton est la seule femme qui est devenue sexuellement excitée à la vue de mon vagin mutilé.
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CHAPITRE 15
PLUS JAMAIS DE PASSAGE À TABAC QUELQUE PART DANS LE BUSH
C'est par une journée d'automne ensoleillée de l'année 1983 que le membre du Congrès des États-Unis Guy Vander Jagt a rencontré l'agent secret de
J'ai de nouveau retrouvé Kelly cet après-midi-là à
Reagan a ensuite désigné Bush d'un geste et il a dit, « Voici mon vice-président George Bush. Les gens ne savent généralement pas quel est le rôle du vice-président parce qu'il est toujours dans les coulisses en train de s'assurer que tout ce que le président désire qu'on fasse soit réalisé de la manière dont c'est censé l'être. » Il m'a regardé et il a dit d'un ton neutre, « J'attire l'attention du public (il a fait un geste dans l'air qui attirait l'œil) tandis que le vice-président exécute les ordres. »
Dick Cheney, l'ami intime de Bush, a dit, « Et les donne. »
« Exact », a dit Reagan. « Un ordre de lui, c'est comme un ordre de moi. »
Bush portait des chaussures de toile pour le bateau et un pull cardigan au moment où il a mis un genou à terre devant Kelly afin de se mettre à son niveau pour lui parler. Bush se servait de l'émission de télévision pour enfants Mr. Rogers' Neighborhood [Ndt: le Voisinage de Monsieur Rogers] pour brouiller et rendre confus les souvenirs des jeunes victimes (comme ceux de Kelly) concernant leurs contacts avec lui et les sévices sexuels qu'il leur faisait subir. Sa ressemblance physique avec le Fred Rogers de la télévision était exagérée intentionnellement par le choix de ses vêtements et par ses affectations, et elle était encore plus accentuée par l'imitation orale qu'il avait développée. Utilisant sa meilleure voix de Monsieur Rogers il a dit, « Viens ici, Petite. Je veux te demander quelque chose. Est-ce que tu regardes Mr. Rogers' Neighborhood? »
« Oui, Monsieur », a répondu Kelly.
Bush a dit à Kelly, « Eh bien, je suis un peu comme Monsieur Rogers quand il fait bouger ses marionnettes et qu'il parle - comme ton papa (Houston, le ventriloque) le fait avec Elemer (sa marionnette). Je suis comme Monsieur Rogers seulement parce que j'ai beaucoup de marionnettes - mais les miennes sont des gens. J'ai même un roi (Fahd) tout comme Monsieur Rogers. 1 Je tire les ficelles (il a mimé les mouvements de main d'une marionnette à fils) et je parle par leur intermédiaire. Elles prononcent mes paroles et nous créons toutes sortes d'Aventures passionnantes. En ce moment je suis en train de construire un nouveau Voisinage (le nouvel Ordre mondial). Le
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décor est en place, et je tiens les ficelles de tout le monde. J'ai besoin de toi pour m'aider - ensemble, nous pouvons tirer les ficelles de ta mère. Elle est dans mon Voisinage. Cela veut dire que tu es aussi dans mon Voisinage. »
Il me paraît maintenant évident que Bush faisait allusion à ceux qui s'étaient activement engagés dans la mise en place du nouvel Ordre mondial grâce au chaos et au contrôle de l'esprit des masses (alias le conditionnement par les médias) quand il parlait du « Voisinage ». Bien entendu je ne pouvais pas envisager de mettre en doute la déclaration de Bush, et Kelly n'avait certainement pas envie de regarder au-delà du détournement par Bush de son émission de télévision préférée. Les grands yeux bleus de Kelly se sont encore agrandis alors qu'elle répondait, « J'y suis? »
Bush s'est levé et lui a pris la main. « Viens avec moi. Laisse-moi te montrer mon Voisinage. » Il l'a fait sortir par la porte.
Kelly est brusquement tombée malade physiquement après son intégration dans le « Voisinage » de George Bush et après chaque rencontre sexuelle qu'elle a eu avec lui par la suite. Elle avait quarante degrés trois de fièvre, elle vomissait et elle souffrait de maux de tête immobilisants pendant une moyenne de trois jours (comme c'est le cas avec les traumatismes par haute tension). C'étaient les seuls signes révélateurs à part les marques de brûlures laissées sur sa peau. Houston m'interdisait d'appeler un médecin, et Kelly me défendait de la consoler, en se plaignant d'un ton pitoyable que sa tête « lui faisait trop mal pour faire le moindre geste ». Et elle ne bougeait pas pendant des heures et des heures. Kelly se plaignait souvent d'une forte douleur aux reins, et son rectum saignait généralement pendant un ou deux jours après que Bush lui ait fait subir des sévices sexuels. Les brimades du contrôle de l'esprit dont j'étais moi-même victime me rendaient incapable de l'aider ou de la protéger. Voir mon enfant dans un état aussi horrible m'enfonçait encore plus profondément dans ma propre aliénation mentale, perpétuant ainsi ma totale inaptitude à m'émouvoir de ses besoins jusqu'à notre délivrance par Mark Phillips en 1988.
Les saignements du rectum de Kelly n'étaient que l'un des nombreux indicateurs physiques des perversions pédophiles de George Bush. Je l'ai surpris à de nombreuses reprises en train de parler sans la moindre gêne des sévices sexuels qu'il lui faisait subir. Il s'en servait, ainsi que des menaces contre sa vie, pour « tirer mes ficelles » et me contrôler. Les ramifications psychologiques consécutives au fait d'être violée par un président pédophile sont déjà suffisantes pour détraquer la santé mentale, mais Bush aurait en outre renforcé ses traumatismes contre l'esprit de Kelly avec des dispositifs de contrôle de l'esprit sophistiqués de
Dès que la porte s'est refermée derrière Bush et Kelly, Dick Cheney a tendu le bras vers le bureau de Reagan depuis son siège et il a retourné le sablier. (Oz) « Il ne lui (Kelly) reste plus beaucoup de temps. Tu ferais bien de faire attention et d'exécuter les ordres comme si sa vie en dépendait, parce qu'à partir de maintenant (hé! hé!) ce sera toujours le cas! Si tu commets une seule erreur - une seule - alors je l'aurai, ma jolie. »
Reagan a dit, « George est comme un metteur en scène. Il s'assure que le décor soit en place pour mettre en application le nouvel Ordre mondial tel que je l'envisage. Ensuite il s'assure que tout le monde ait un texte et connaisse son rôle. Il leur dit comment le dire et quand le dire. Comment s'habiller et (en me tapotant la tête) comment se coiffer. Il fait en sorte que chaque chose et chaque personne soient en place et il crie à tue-tête, "Action! " » Reagan a crié en se servant de ses mains comme si c'était un mégaphone et a discouru, « Le monde entier est une scène. Je suis le Magicien. Mais il fait la mise en scène du spectacle afin que tu fasses bien attention et que tu apprennes bien ton rôle d'après ses instructions. »
Cheney l'a interrompu, « George et moi, nous allons travailler en étroite collaboration sur quelques projets simultanément, et quand tu le verras, tu me verras. Quand on te donne des ordres de sa part, on te les donne de la mienne. »
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« Elle connaît la chaîne de commandement, Dick », a introduit Reagan, en parlant de sa façon de voir qui commandait, et dans quel ordre. Le président, le vice-président, Habib, Cheney, Byrd, etc. pouvaient bien être la chaîne de commandement dans l'esprit de Reagan, mais la définition de Cheney était nécessaire à ma compréhension. De mon point de vue, la chaîne de commandement était manifestement Bush, Cheney, Habib, Reagan, Aquino et en dernier lieu, à égalité avec celui qui me manipulait, Houston, on trouvait Byrd, tout ceci sous réserve de modification à n'importe quel moment donné. Cheney a juste roulé des yeux à la remarque de Reagan et n'a pas cessé de le faire alors qu'il reprenait, « En ce moment, on est en train de mettre en place un décor et tu seras guidée par le vice-président sur la manière exacte dont il veut que tu joues ton rôle dans la préparation du terrain pour le rôle du Mexique dans le nouvel Ordre mondial. »
Reagan a renchéri, « Avec le nouvel Ordre mondial, il y aura la paix mondiale. En plaçant à un endroit stratégique un Patriote américain dévoué à la cause de la propagation de la démocratie dans toutes les parties du monde, nous pouvons influencer l'opinion de chaque dirigeant national et lui décrire un tableau de la liberté et des valeurs américaines qu'il n'oubliera jamais. Il le diffusera dans le peuple et toute la planète sera animée par un seul esprit - un seul but - une seule cause.
Bush est retourné discrètement à la réunion, sans Kelly. Cheney a continué, « Prise en compte de mes ordres et de ceux de ton nouveau directeur - le vice-président. Leçon numéro un. Tu connais Miami Vice. Des agents des stups infiltrés qui prennent le contrôle de l'industrie de la drogue. Un vice-président est exactement ça - un agent des stups infiltré qui prend le contrôle de l'industrie de la drogue - pour le président. »
Bush a élevé la voix. « Le Mexique est un problème. Ils ont plein de drogue, mais ni les cerveaux ni les moyens pour la vendre à l'extérieur de leur propre pays. Aussi comment pouvons-nous prendre le contrôle de leur industrie de la drogue (en pleine croissance) alors que nous ne pouvons même pas y mettre la main dessus? C'est ton devoir en tant que citoyenne américaine d'ouvrir les voies et de faire naître la liberté de la pauvreté dans toute leur nation en leur offrant de l'argent comme un moyen d'attirer leur industrie de la drogue tout droit entre nos mains en l'amenant directement jusqu'à nos portes. »
« Opération "Greenbacks for Wetbacks" », [Ndt: jeu de mots: des dollars, dont le dos (back) est vert (green) pour des ouvriers agricoles clandestins mexicains dont le dos (back) est humide (wet) de sueur] a dit Cheney, en riant. Bush a ri avec lui.
Bush a retrouvé son calme pour conclure, « Ta mission commence à Miami avec NCL (Norwegian Caribbean Lines) et se terminera lorsque tu rentreras du Mexique avec des nouvelles de ta réussite. »
Cheney a attiré mon attention avec un geste de la main qui a détourné mon regard de Bush pour le diriger vers le sablier, lequel se vidait rapidement. Dès ce moment-là je me suis trouvée dans un état de transe profonde et j'ai complètement perdu le contact avec mon environnement tandis qu'on faisait devenir ma transe encore plus profonde d'une manière intemporelle pour une programmation supplémentaire. J'ai quitté
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CHAPITRE 20
NOUVEL ORDRE MONDIAL DE
Me sentant encore droguée suite à la séance de programmation que Bill Bennett m'avait inculquée au tout proche Centre Goddard pour les Vols spatiaux, j'ai assisté plus tard dans la soirée à un cocktail de
Habillée « à l'Ordre », je portais une robe noire moulante qui était froncée sur une seule hanche ornée de rubis, et j'avais dans les cheveux une barrette représentant une rose rouge. « Le Patron l'a demandée », a dit mon escorte des Services secrets au majordome alors qu'il me laissait à la porte. Les lumières étaient faibles et l'atmosphère était protocolaire tandis que le majordome me faisait traverser la foule exceptionnellement nombreuse des personnes présentes. Il m'a lâché le coude, me dirigeant dans la direction du président de l'époque, Ronald Reagan.
Alors que je marchais à travers la foule vers Reagan, j'ai vu des visages familiers qui avaient des liens avec « l'Ordre de
« Tu connais Madeleine Albright », a commencé Bush. Utilisant de façon experte la terminologie des croyances des Jésuites catholiques qu'on m'avait inculquées auparavant, il a poursuivi, « Elle est la révérende mère de toutes les sœurs (les esclaves). Elle est si proche de Dieu qu'un ordre reçu de sa part est un ordre de Lui. » Albright a pouffé de rire, apparemment impressionnée par la manipulation « spirituelle » du verbiage de programmation de Bush. « Elle a fait son chemin à l'ONU grâce à moi pour mettre en place le processus de paix du nouveau Monde. »
Albright m'a dit, « Il parait qu'on fait tourner le monde en te faisant tourner la tête. »
« Qui vous a dit ça? » a demandé Bush.
« Larry Flynt, à cause de son séjour en Jamaïque », 3 a-t-elle rapidement expliqué.
Bush a levé la main, apparemment écœuré à l'idée de relations sexuelles avec quelqu'un qui a un âge à deux chiffres. « Épargne-moi ça », a-t-il dit.
« C'est mon travail », a dit Albright d'un ton neutre avec un sourire de fierté. Elle m'a chassée en me disant avec condescendance, « Je te verrai demain au bureau de l'OEA (Organisation des États américains). À présent, tu vas jouer ailleurs. » Remarquant que l'imprécision de ses ordres me laissait littéralement dans l'incapacité de déterminer à quel saint me vouer, elle m'a fait remettre le cap sur la direction de Reagan.
Reagan portait un complet bleu marine sombre et une cravate de soie rouge. Son bouton de rose rouge 4 à la boutonnière m'a commutée instantanément en mode esclave sexuelle de type « Ordre de
« Oncle Ronnie... » ai-je dit, en répondant d'une manière sexuelle comme on m'avait conditionnée à le faire.
Reagan s'est tourné vers l'homme qui était à côté de lui et a dit, « Brian, c'est l'un de ces bienfaits supplémentaires du nouvel Ordre mondial dont je te parlais. Chaton, je te présente Brian Mulroney, le Premier ministre du Canada. »
Les connotations de mon expérience d'enfance avec l'ancien premier « ministre » du Canada, Pierre Trudeau, suggéraient que Mulroney était jésuite - comme l'était le mode sur lequel je fonctionnais. Lui aussi, il avait une rose rouge à la boutonnière, ce qui indiquait son implication et son engagement dans l'Ordre de
« Je suis enchantée de vous rencontrer, Monsieur », lui ai-je dit en lui tendant la main.
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« Tout le plaisir est pour moi », a dit Mulroney en me baisant la main. « Je te prie de m'appeler Brian. »
« Oui, Monsieur, Brian », ai-je répondu, la tête me tournant encore à cause des drogues de synthèse de
Avec un petit rire mais en insistant, Mulroney a réaffirmé, « Je ne suis pas un Monsieur. »
Reagan a sauté sur l'occasion, « Il est Premier ministre, ce qui veut dire qu'il est plus important qu'un ministre ordinaire, et certainement plus important que n'importe quel Monsieur. Brian est mon ami. »
« Oh, Brian », ai-je dit, comprenant enfin.
« O'Brien est le nom de son père », a dit Reagan à Mulroney. « Elle est de descendance irlandaise et elle est originaire du Michigan. »
Brian s'est tourné vers moi, « Dernièrement, j'étais dans ton coin, ici - dans l'une de mes escapades favorites - sur l'île Mackinac. »
« L'île Mackinac a été son point de lancement dans le projet », a expliqué Reagan dans les termes utilisés par ceux qui sont familiers avec les opérations de contrôle de l'esprit. Mulroney était apparemment au courant du fait que j'étais sous contrôle de l'esprit et il me lorgnait comme si j'étais une marchandise. Reagan a remarqué son intérêt et s'est mis à se comporter comme s'il était un proxénète. « Je te recommande chaudement de l'emmener avec les autres. Elle sera pour toi un excellent jouet à utiliser dans n'importe quelle position. Et il n'y a pas de problème de sécurité. Sa tête est dans les éthers et si tu reviens demain, elle ne saura pas te distinguer du visage que l'on peut imaginer en regardant la lune. Je te donnerai les clés plus tard. »
Utilisant habilement les signaux et les déclics de l'Ordre de
« Tu sais très bien comment fonctionne le monde », a commenté Reagan.
« Il faut que je domine parfaitement bien la situation. C'est un nouvel Ordre mondial », a dit Mulroney d'un ton neutre.
Alors qu'un garde m'emmenait, j'ai entendu Reagan dire à Mulroney, « Tu seras bientôt aux anges. »
J'ai été fouillée par des gardes du corps canadiens en uniforme et on m'a dirigée vers l'une des nombreuses chambres à coucher de
J'ai appelé mon amie sur un ton animé. « Qu'est-ce que tu fais ici? » lui ai-je demandé alors que nous nous embrassions.
« Petit monde », a-t-elle dit, comme chaque fois que nous étions expédiées ensemble en divers endroits pour de la prostitution et / ou de la pornographie. Cette expression universelle était souvent employée entre ceux qui connaissaient bien le programme de contrôle de l'esprit basé sur le tout petit Monde développé par Disney.
J'ai encore embrassé mon amie. « Oh là là, le monde est petit! Ça me fait plaisir de te voir ici. » Je n'avais aucune idée de la situation difficile dans laquelle nous étions et je ne pouvais pas voir au-delà du moment présent.
« Diable, les filles! Que le monde est petit! » Mulroney est entré et a marché à grands pas à travers la pièce, en jetant son manteau sur une chaise et en dénouant sa cravate. « Regardez comme tout devient de plus en plus petit tandis que nous nous éloignons de plus en plus comme une fusée. » Il a enlevé rapidement ses chaussures, ses bretelles et son pantalon tandis qu'il continuait ses métaphores hypnotiques. « S'élançant à travers l'océan d'espace noir. Alors que le monde devient de plus en plus et de plus en plus petit, puis qu'il sombre dans l'océan noir de l'espace. » En enlevant son caleçon, il a annoncé, « Je vous ai amenées ici dans un but... » et il a entrepris d'accéder à notre programmation sexuelle.
Rétrospectivement, je sais que ce n'était pas une coïncidence si mon amie et moi, nous avions été rassemblées pour satisfaire la perversion de Brian Mulroney pour les esclaves sous contrôle
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de l'esprit. Soumises à un programme miroir identique, nous procédions à l'unisson. La délicate rose rouge tatouée sur le poignet gauche de mon amie signifiait son asservissement au (nouvel) Ordre (mondial) de
Mon amie et sa petite fille auraient souvent été transportées de l'autre côté de la frontière américano-canadienne, aux chutes du Niagara, pour être prostituées à Mulroney. Les abus sexuels perpétrés sur sa chère enfant étaient utilisés comme traumatisme de base pour maintenir le contrôle de son esprit, tout comme les abus sexuels sur Kelly me traumatisaient. Mulroney avait auparavant accédé à ma programmation sexuelle et à celle de mon amie aux chutes du Niagara - ainsi qu'à celle de nos filles - pour satisfaire ses perversions qui tombent sous le coup de la loi comme si « les affaires continuaient comme d'habitude ». Aurais-je été capable de relier les événements, j'aurais éprouvé un immense soulagement de savoir que nos filles n'aient pas été forcées de participer à ses violences sexuelles cette fois-là.
« Mission » accomplie, j'ai remis ma robe et je me suis préparée à partir. Mulroney m'a désignée du doigt et m'a dit à mots couverts, « Je te reverrai dans les parages. Peut-être, je te verrais dans l'île Mackinac. Il se peut que ce soit quelque part dans le temps. » En trois lignes, Mulroney avait habilement lié le moment immédiat aux signaux de mon enfance et aux opérations actuelles concernant l'ALENA au Mexique, tout en m'ayant préparée pour ma prochaine rencontre avec lui sur l'île Mackinac.
1 « L'Ordre de
2 Reagan m'avait d'abord présentée à l'ambassadeur auprès de l'ONU, Madeleine Albright, car elle devait être « mon mentor » dans les opérations des Jésuites aux Antilles. « Madeleine Albright est une Sainte », m'a dit Reagan, déterminant ainsi l'image que je devais avoir d'elle. «
3 Pendant que j'étais à
4 La rose rouge de Reagan déclenchait un mode sexuel habituellement utilisé pour compromettre / soumettre à un chantage des dignitaires et verrouiller ainsi leur loyauté envers l'Ordre de
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CHAPITRE 22
MA CONTRA-BUTION
Les relations entre les États-Unis et le Mexique s'épanouissaient dans les succès des travaux préparatoires de l'ALENA, tandis que les différends politiques relatifs au Nicaragua demeuraient un point mineur de discorde. Depuis que la branche des Jésuites qui constitue les services secrets catholiques du Vatican travaillait en étroite collaboration avec les services secrets des États-Unis pour instaurer le nouvel Ordre mondial, elle se servait de son influence bien établie au Mexique et au Nicaragua pour offrir un terrain d'entente pour des « relations diplomatiques ». Le fait d'avoir été victime du contrôle de l'esprit à la fois de la part de
Les Combattants nicaraguayens de
Je suis montée à bord de NCL comme d'habitude pour arriver à ma destination convenue. Comme le Nicaragua n'était pas une escale de NCL, j'ai pris l'avion au Yucatan, au Mexique, pour une piste d'atterrissage militaire isolée de Managua. C'est dans cette petite clairière au sommet d'une montagne que j'ai rencontré le Commandant Daniel Ortega, ainsi qu'il en avait été convenu par l'intermédiaire du Vatican.
J'étais opportunément vêtue d'un short, avec mes longs cheveux blonds tirés en arrière pour former une tresse à la française. La tenue d'Ortega, elle aussi, reflétait l'allure décontractée de la rencontre. Son uniforme militaire brun clair était usé jusqu'à la corde, et était dépourvu de tout insigne protocolaire. Les lunettes de soleil rose sombre à travers lesquelles il me regardait n'avaient apparemment pas changé sa vision pessimiste de la « noble cause » qu'il prétendait représenter. En homme peu loquace, il m'a accueillie en me donnant un ordre, « Venez avec moi. » J'ai roulé avec lui en silence alors qu'il conduisait une jeep sur une courte distance à travers la piste d'atterrissage vers une petite maison blanche en bois, bien entretenue et à deux étages.
Alors que nous nous étions arrêtés en face de la maison, Ortega m'a dit d'une voix triste et lente, « J'ai des besoins comme n'importe quel homme. Mais je me sens comme une putain d'avoir accepté l'offre de votre président. »
Sa chambre était propre et fonctionnelle, avec de nombreuses armes d'assaut éparpillées. Je n'ai vu ni confort moderne ni effets personnels, mais Ortega avait l'air d'être chez lui, dans son environnement.
Le comportement d'Ortega était celui d'un homme qui s'est abstenu de relations sexuelles plus longtemps que la plupart de ceux qui sont dans sa position politique. Alors qu'il déboutonnait lentement sa chemise, j'ai remarqué un médaillon catholique sur lequel il y avait le symbole jésuite secret de l'Ascension et de
Tandis qu'il fumait cigarette sur cigarette, je me suis assise en face de lui sur le plancher, et je lui ai transmis le message de Reagan comme c'était programmé. J'ai commencé, « Le président Reagan m'a envoyée en tant que messagère de paix. »
Il m'a interrompue avec désinvolture, en me regardant lentement de haut en bas. « J'aimerais manger un morceau dans quelques minutes. »
J'ai repris, « Votre peuple a supporté de nombreuses souffrances tout au long de son existence. Il (Reagan) veut seulement vous aider. Le peuple américain veut voir
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la paix et la liberté dans votre pays. Les relations entre les États-Unis et le Mexique se renforcent de jour en jour, et il est impératif pour nous de résoudre votre conflit afin de résoudre notre propre conflit avec le gouvernement mexicain. Nous sommes tombés d'accord avec le Mexique pour affirmer que le conflit nicaraguayen doit être résolu tout autant pour le bien de votre peuple que du nôtre. Je suis ici pour une mission de maintien de la paix représentative d'un terrain d'entente appuyé par le Vatican et partagé àla fois par les gouvernements mexicains et américains, pour vous éclairer sur nos intentions pacifiques. Les efforts conjoints des missions catholiques américano-mexicaines consistent à promouvoir la paix dans votre région, seulement en améliorant votre culture. Le monde est en train de se tourner rapidement vers la paix mondiale, et le Nicaragua est très en retard sur son temps - depuis la technologie et l'éducation jusqu'aux idéaux du gouvernement et aux convictions religieuses. Le pape Jean-Paul II est en train de prier avec zèle pour la paix dans votre région, et il s'est joint au président Reagan, au Mexique, et même à l'Union soviétique pour garantir cette paix. Il (le pape) connaît vos objectifs, il connaît vos motivations (Je me suis penchée en avant, presque en chuchotant, influencée par la conviction qu'on m'avait inculquée), il connaît votre âme. Nous pouvons tous travailler en collaboration pour parvenir à cette paix. Le Nicaragua, si petit qu'il puisse être par rapport au reste du monde, est un marchepied d'une grande portée vers l'unification des puissances mondiales. Il ne peut plus être une source de dispute et de désaccord. Votre peuple doit être libre. Libre d'adorer Dieu grâce à votre sainte Église catholique. C'est d'abord et avant tout ce qui est àl'ordre du jour du président Reagan, aussi bien qu'à celui du pape et à celui du président de
Ortega a fini de fumer pensivement sa cigarette, et en a allumé une autre alors qu'il répondait avec assurance, « Dites à votre président que j'ai vu sa liberté, et que j'ai écouté ses paroles qui m'ont été présentées grâce à ce qui est encore un autre échantillon de celle-ci. Il décrit un beau tableau suspendu dans son cadre. Un tableau peut avoir l'air serein pour son spectateur pendant qu'il le regarde. Je ne peux pas adorer une image gravée, et le tableau qu'il brosse n'est que cela. Nous avons combattu trop durement et trop longtemps, répandant la sueur et le sang à travers ce pays dans nos efforts résolus pour maintenir les valeurs humaines inculquées en nous par nos ancêtres, dont la profonde sagesse leur a été donnée par les premiers missionnaires catholiques. Ces valeurs sont les mêmes que celles qui sont représentées dans le tableau brossé par le président Reagan - seulement les nôtres sont vraies. Les siennes ont seulement une valeur superficielle, comme n'importe quelle autre peinture. Si je devais céder, je serais seulement encadré dans le tableau qu'il peint, accroché à son mur comme un trophée. Je ne tromperai pas mon peuple, en dépit de ses offres de richesse et de position. Je suis fidèle à mes convictions, et quand il sera fidèle aux siennes, alors nous nous retrouverons sur un terrain d'entente et nous aurons quelque chose de solide pour en discuter. Pour l'instant, les paroles ne sont pour nous qu'une perte de temps. »
Ortega a éteint sa cigarette, et il a tiré les couvertures en arrière sur son lit. « Je vais vous emmener dans un endroit agréable. » Il a sorti de son buffet un bang (pipe à eau - l'eau sert de filtre) à opium qui avait déjà bien servi
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et il m'a tendu un tuyau. J'avais été entraînée à accepter toutes les drogues qu'on me donnait à une seule exception qui était la formellement interdite marijuana. J'ai hésité jusqu'à ce qu'Ortega m'ait assurée que c'était de l'opium. Comme la drogue produisait son effet il a dit, « Ce pourrait être le chemin de la paix mondiale. » Les rapports sexuels avec Ortega étaient au moins dépourvus de souffrance et de perversion. Contrairement à la plupart de ceux avec qui j'étais forcée d'avoir des « relations diplomatiques » pour l'administration Reagan, il s'est endormi quand il a eu fini en raison de la différence entre l'opium et la cocaïne.
Le coup de klaxon d'une jeep à l'extérieur l'a réveillé. Alors que je me préparais à partir, il m'a dit, « Attendez. » Il a pris une petite boule d'opium noir d'environ un demi-centimètre dans sa réserve personnelle, l'a enveloppé dans la cellophane de l'emballage de son paquet de cigarettes, et m'a dit, « Donnez ceci à votre président et dites-lui que vous et moi, nous avons trouvé plus de paix avec cette substance qu'il n'en répandra jamais sur la surface de son globe peint. » Alors qu'il refermait doucement la porte derrière moi, il m'a dit, « Revenez me voir quand vous aurez davantage à m'offrir. »
Je suis immédiatement rentrée en avion à Washington d'où ma « mission » avait pris naissance. Cette fois, on m'a emmenée directement au bureau de Bush, où je lui ai remis mot à mot le message d'Ortega. Éliminant la plus grande partie du dialogue, Bush m'a ordonné de remettre un message partiel à Reagan. Incapable de percevoir la teneur du message et les personnes au-delà de ma perspective limitée par le contrôle de l'esprit à « ce que vous avez besoin de savoir », j'étais loin de me douter que le message d'Ortega aurait un impact négatif. Il ne m'était jamais venu à l'esprit qu'Ortega s'était révélé être lui-même aussi hypocrite qu'il prétendait que Reagan l'était en se servant de moi comme une prostituée et une porteuse de mauvaises nouvelles tout en sachant parfaitement que je ne disposais pas du libre arbitre qui m'aurait permis de rendre le message plus acceptable. La révision par Bush du message d'Ortega a jeté de l'huile sur un feu proverbial et je ne savais même pas qu'il brûlait déjà quand j'ai remis le message à Reagan.
Bush était avec Reagan et moi dans le bureau secondaire de Reagan (au bureau ovale) à
Bush a souri alors que le visage de Reagan virait instantanément au rouge pivoine de rage. Bush a ensuite réagi et s'est levé de son fauteuil en le faisant tourner, il a pris l'opium pour lui, et a dit à Reagan, « Calme-toi. Il y a plus. Il semble que la seule paix qu'elle ait répandue était entre ses jambes. » Il s'est dirigé vers la porte, en disant, « Je reconsidérerais ma position si j'étais dans tes chaussures - en considérant ce qui est en train de remplir les siennes. » Bush a laissé tomber son regard le long de l'arrière de mes jambes jusqu'à mes chaussures alors qu'il poursuivait, « C'est en train de dégouliner des deux côtés de ses jambes. »
Manifestement je n'aurais pas à subir de rapports sexuels avec Reagan ce jour-là. J'en ai été vite dispensée et j'ai pris l'avion pour retourner au Mexique, où j'ai repris ma croisière avec NCL. Avec ma mémoire des événements qui était compartimentée grâce à la haute tension, je croyais à ce moment-là que je n'étais jamais partie du tout.
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CHAPITRE 24
UNE PETITE « À
Le 4 décembre 1986, j'ai dépassé les 29 ans. Habituellement les esclaves sous contrôle de l'esprit étaient mises au rebut, « éjectées du train de la liberté », à l'âge de 30 ans; mais j'ai argumenté avec Houston quand il m'a dit qu'il ne restait plus qu'un an aux membres du gouvernement qui me faisaient subir des sévices sexuels pour « achever de me consommer ». Je n'avais eu aucune conscience de l'écoulement du temps, et je croyais que je n'avais encore que 24 ans. Sans se soucier de ce que je croyais, ceux qui me faisaient subir des sévices sexuels allaient faire de leur mieux pour « achever de me consommer » physiquement et psychologiquement avant même qu'un seul mois ne se soit écoulé.
J'étais à Washington en voyage de routine, ce qui incluait d'être prostituée au président Reagan. Les joues « d'Oncle Ronnie » étaient empourprées par l'excitation et le cognac lorsqu'il m'a dit, « Je prends toujours deux semaines de congés à Noël pour retourner en Californie. » Reagan s'est interrompu pour se mettre à chanter une vieille chanson à danser hollywoodienne, « Californie, me voilà! J'arrive... »
Il m'a semblé qu'une lumière blanc bleuté explosait dans ma tête, comme si j'étais atteinte par un courant électrique alternatif à basse tension mortel. Reagan était « en train de mettre en place le décor » pour une tentative de glissement du temps destinée à brouiller ma mémoire, qui devait être réactivée lors d'une prochaine séance que j'aurais avec lui à Bel Air, en Californie. Le camping-car était bourré d'une paroi à l'autre, et les parois étaient bourrées de cocaïne lorsque Houston, Kelly, et moi, nous sommes partis pour notre long trajet vers
À Las Vegas, au Nevada, Houston nous a tenues occupées, Kelly et moi, en nous prostituant à toute personne qu'il savait être « au courant » et qui assistait à la convention annuelle de l'Association de Country Music. Lasse d'être renvoyée de chambre en chambre, j'étais de retour au vestibule, littéralement en train d'essayer de retrouver mon souffle lorsque j'ai vu Michael Danté. Il portait un coûteux complet de soie gris clair et des lunettes noires, ressemblant davantage à un agent du FBI qu'à un gangster, et il était en train de m'attendre, appuyé contre un pilier. Les mots « Notre amour » qu'il employait au téléphone dans des intentions de conditionnement mental n'étaient certainement pas de mise en ce moment-là. « Tu es en retard », a-t-il grommelé en regardant sa montre. Il m'a ordonné d'entrer dans les toilettes des dames afin d'activer la programmation désirée en me faisant « me perdre » dans les miroirs sans fin qui recouvraient les murs. Ayant mis mon esprit dans les dispositions qu'il désirait, il m'a ensuite utilisée et dirigée dans de la pornographie commerciale. Plus tard, il a fait la même chose avec Kelly. Au Grand Canyon, Houston nous a traumatisées, Kelly et moi en prévision des prochains événements en Californie. Tout en descendant en randonnée dans le canyon, Houston a entrepris, en utilisant l'hypnose, d'ancrer tous les événements du voyage derrière la programmation d'anéantissement et d'aliénation mentale qu'il nous faisait subir. Lorsque nous nous sommes arrêtés pour un déjeuner de fin d'après-midi dans le Canyon, Kelly s'est effondrée en état de choc, incapable de manger. Houston était content parce qu'il « allait pouvoir tout manger tout seul ». Je subissais, comme
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d'habitude, la privation d'eau et de nourriture. J'avais tellement soif qu'il m'était impossible de manger. L'état de Kelly amplifiait mon propre sentiment de terreur, et je faisais tout ce que je pouvais pour empêcher Houston de lui faire subir plus de choses qu'elle n'en pourrait supporter. Je l'ai portée pendant des heures tout le long du chemin en sortant du canyon, sans m'arrêter pour me reposer. Dans mon esprit, je désirais croire que j'étais réellement capable de la protéger. Le fait est que Houston était en train de m'épuiser physiquement pour s'assurer que je ne puisse pas la protéger lorsque nous serions arrivés à notre prochaine destination : le Mont Shasta et le lac qui porte le même nom, en Californie.
George Bush était très actif, que ce soit dans les complexes d'abris fortifiés de Lampe au Missouri ou dans ceux de Shasta en Californie. Tout comme celle de Lampe, la couverture de Shasta était la musique country. D'après tous les gens que je connaissais, l'auteur compositeur interprète Merle Haggard était censé mener le bal au Lac Shasta, détournant ainsi complètement l'attention du tout proche complexe du Mont Shasta. Shasta était le plus grand camp secret d'esclaves soumis au contrôle de l'esprit parmi ceux que je connais. Dissimulés dans les corrals entourées de clôtures militaires des collines boisées, une énorme flotte d'hélicoptères noirs sans immatriculation et plus de robots militaires soumis au contrôle de l'esprit que je n'en ai vu dans tout Haïti. Cette opération militaire secrète servait ses propres desseins, pas ceux de l'Amérique. On m'a dit et j'ai pu entendre que c'était une base pour la future Force de Police multijuridictionnelle; pour faire respecter la loi et l'ordre au sein du nouvel Ordre mondial. Au centre du complexe de haute sécurité, se trouvait une autre zone très bien gardée et entourée de clôtures militaires qui était considérée comme une sorte de « Camp David « pour ceux qui dirigent notre pays. George Bush et Dick Cheney y partageaient un bureau, et revendiquaient les bois situés à l'extérieur du périmètre comme leur propre terrain de chasse où ils jouaient au « Jeu le plus dangereux ». Sur la base des conversations que j'ai surprises entre eux, c'était cette expérience militaire de police mondiale qui avait valu à Dick Cheney sa nomination comme ministre de
Houston est resté à la station du Lac Shasta d'Haggard tandis que Kelly et moi, nous étions emmenées en hélicoptère au Mont Shasta pour notre rendez-vous programmé avec Bush et Cheney. Le pilote de l'hélicoptère a attiré notre attention sur les clôtures militaires qui entouraient le périmètre extérieur du complexe. Il arrivait rarement que les pilotes ne parlent à l'une de nous deux, mais celui-ci souriait d'un air malicieux alors qu'il nous disait que nous aurions besoin de connaître les limites extérieures pour Le Jeu le plus dangereux.
Dès que nous sommes arrivées au sanctuaire intérieur de Bush et de Cheney, j'ai remarqué que George Bush Junior était avec eux. Je savais par expérience personnelle que Junior se tenait près de son père pour le couvrir chaque fois que Bush pouvait devenir incapable de remplir sa fonction à cause des drogues ou avait besoin d'un soutien criminel. Il est devenu clair que Junior était là pour rendre les deux services pendant que son père et Cheney profitaient de leurs vacances de travail.
Surexcités par les drogues, Cheney et Bush étaient impatients de partir à la chasse de leur proie humaine dans « Le Jeu le plus dangereux ». Ils m'ont accueillie avec les règles du jeu, m'ont demandé de me mettre à poil malgré les vents froids de décembre, et m'ont dit en langage codé d'Oz de « prendre garde aux lions, aux tigres et aux ours ». La vie de Kelly est devenue l'enjeu, comme d'habitude, ce qui a ranimé mon instinct maternel naturel ainsi que celui qui avait été programmé d'une manière excessive. Des larmes ont coulé silencieusement le long de mon visage au moment où Bush m'a dit, « Si nous t'attrapons, Kelly sera à moi. Alors cours, cours aussi vite que tu le peux. Je t'aurai et ta petite fille, elle aussi, parce que je le peux, je le peux, je le peux. Et je le veux. »
Cheney, me défiant de répondre, demanda, « Des questions? »
Je répondis, « Il n'y a nulle part où s'enfuir parce qu'il y a une clôture - du genre que je ne peux pas franchir. Je l'ai vue. »
Plutôt que de m'agresser physiquement, Cheney s'est moqué de mon sentiment de « nulle part où aller, nulle part où se cacher » et il a expliqué qu'un ours avait fait un trou quelque part dans la clôture, et que tout ce qu'il me restait à faire c'était de le trouver. Il a abaissé son fusil vers ma tête et a dit, « Que les jeux commencent! Partez! »
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Ne portant que mes tennis, j'ai couru à travers les arbres aussi vite et aussi loin que j'ai pu, ce qui n'était pas très loin du tout. Bush se servait de son chien de chasse pour le gibier à plumes [Ndt : bird dog en anglais] pour me suivre à la piste, le même dont on s'était servi récemment avec moi dans un tournage de zoophilie en guise de plaisanterie sur l'expression « Byrd-dog » au dépens de mon propriétaire, Robert C. Byrd. Une fois attrapée, Cheney a de nouveau pointé son fusil sur ma tête alors qu'il se penchait sur moi, en ayant l'air d'être au chaud dans son manteau en peau de mouton. Bush m'a ordonné de prendre sexuellement son chien pendant qu'ils regardaient, puis Cheney et lui m'ont fait revenir à leur cabane.
J'ai remis mes vêtements et je me suis assise dans la partie de la cabane qui servait de bureau en attendant les instructions. J'ignorais absolument où se trouvait Kelly et je n'en ai pas su davantage après coup. Bush et Cheney étaient toujours dans leurs vêtements de chasse lorsque la séance de programmation a commencé. Bush a dit, « Toi et moi, nous sommes sur le point de nous embarquer dans Le Jeu le plus dangereux des relations diplomatiques. C'est mon jeu. Tu suivras mes règles. J'aurai le net avantage de te faire la chasse avec mon Œil dans le Ciel (satellite). Je surveillerai les moindres gestes que tu feras. Aussi longtemps que tu joueras le jeu selon mes règles et que tu ne commettras aucune erreur, tu vivras. Une seule erreur et je t'aurais, ma jolie, et ta petite fille aussi. Tu mourras, et Kelly devra jouer avec moi. Je préfère que ce soit comme ça. Ensuite ce sera son Jeu le plus dangereux. Les cartes sont truquées en ma faveur parce que, eh bien, c'est mon jeu! Es-tu partante? »
Il n'y avait pas d'alternative. J'ai répondu comme on m'avait conditionnée à le faire, « Oui monsieur ! Je suis partante. » Les parallèles avec Le Jeu le plus dangereux qui venait juste d'avoir lieu dans les bois étaient délibérés et intentionnels pour rendre « impossible » tout rappel de souvenirs par suite de brouillage par crypto amnésie.
« Bien. Alors que les jeux commencent. écoute attentivement tes instructions. Tu n'as pas de marge d'erreur. » Cheney a fait basculer son « chronomètre de jeu » - un sablier. Bush a poursuivi, « Ce jeu s'appelle Le Roi et l'Œil, et voici la donne. Tu vas renforcer selon les ordres les relations diplomatiques entre le Mexique, les États-Unis, et le Moyen Orient. Ton rôle exigera un changement de visage à chaque nouvel endroit. Je planifierai ton itinéraire, je déterminerai ton rôle, et je tirerai tes ficelles. Tu prononceras mes paroles quand je tirerai tes ficelles. Il n'y a pas de marge d'erreur. »
Cheney était à moitié couché en travers du simple bureau de style militaire réglementaire, manifestement abruti par la drogue alors que Bush parlait. Ayant encore sur lui son chapeau et son manteau de chasse, Cheney a pointé son fusil sur moi depuis le bureau et m'a menacée, « Ou alors ce sera une petite "à la chasse nous irons". » Bush a donné la touche finale à la menace de Cheney en chantant, « Nous attraperons un renard pour le mettre dans une caisse et le faire descendre dans un trou. »
Bush a regardé Cheney et a éclaté de rire. De le voir vêtu de sa tenue de chasse avec un fusil à deux coups de très gros calibre à l'épaule donna l'idée à Bush de lui dire qu'il « ressemblait à Elmer Fudd » (le chasseur de Bugs Bunny).
Cheney, imitant le personnage du dessin animé, a dit, « Où est ce ouascar de ouapin? »
L'opération Le Roi et l'Œil entraînerait la participation de Philip Habib, l'envoyé numéro un de Reagan (qui selon le code secret jouait le rôle du Lapin blanc d'Alice au Pays des Merveilles avec des esclaves telles que moi-même) et du roi Fahd d'Arabie Saoudite. Aussi, quand Bush a appelé ces deux derniers « Elmer Fahd et ce ouascar de ouapin », Cheney et lui en ont pleuré de rire. étant donné que de toute façon tous les deux planaient déjà à cause de la drogue, ils eurent beaucoup de difficulté à garder leur sang-froid suffisamment longtemps pour terminer ma programmation.
1 Dick Cheney n'a pas d'états de service officiels de l'Armée des États-Unis pour justifier son poste d'ancien ministre de
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CHAPITRE 28
« LIBRE-ÉCHANGE » DE DROGUE
ET D'ESCLAVES À
Le jour suivant, Danté m'a conduite jusqu'à un manoir de Bel Aire perché sur une colline où une autre réception se déroulait. Alors que je rejoignais ceux qui s'étaient rassemblés sur la pelouse impeccable, j'ai reconnu un grand nombre des mêmes mafieux qui étaient aussi à la retraite de Malibu alias « l'Hôtel California ». C'était une réception de bienvenue pour le président Reagan qui venait juste d'arriver. Il marchait vers moi à travers le jardin avec son ami, Jack Valenti, qui était le président de la puissante Association cinématographique américaine. Reagan semblait fait pour son rôle parmi ses amis de la pègre, son manteau beige à col de fourrure drapé sur ses épaules laissant voir en dessous un costume rayé gris foncé. Rétrospectivement, il m'a laissé le souvenir de quelqu'un d'habillé comme le seul gangster que je n'ai pas été forcée de rencontrer, John Gotti. Dès que nos regards se sont croisés, j'ai été jetée à terre par une décharge blanc bleuté familière (haute tension) comme celle dont j'avais récemment fait l'expérience à Washington.
Lorsque j'ai repris connaissance et que ma vision est redevenue claire, Danté me soulevait. Reagan m'a dit, « Bien, salut Chaton. »
« Oncle Ronnie, comment se fait-il que vous soyez ici? » ai-je demandé avec une naïveté enfantine.
« L'arc-en-ciel, Chaton, l'arc-en-ciel », a-t-il répondu en langage codé d'Oz. « Je t'ai dit que je rentrais chez moi. Il n'y a pas de meilleur endroit que chez soi, et tu l'as dit avec moi. Nous voilà donc ici. J'ai gardé un petit morceau d'arc-en-ciel dans ma poche et je peux donc rentrer (à Washington) en marchant dessus chaque fois que je le veux. Je fais un vœu, je claque des talons, et me voilà parti. »
Pour le moment, Reagan parvenait à m'embrouiller les idées avec des métaphores en langage codé d'Oz, confirmant encore une fois à ma personnalité d'enfant qu'il était vraiment le puissant Magicien. Alors que nous rentrions pour une courte réunion, on a délibérément commuté ma personnalité sur celle qui s'était occupée de de
La maison recouverte de stuc gris-blanc était décorée de moquette pelucheuse bleu présidentiel et de tons merisier foncé. Le « bureau » était petit et en outre bondé par tous ceux d'entre nous qui assistaient à la réunion. De
« Eh bien! Chaton », m'a dit Reagan, « voici ton arrêt de mort: Tu disparaîtras auréolée de gloire. » Je n'étais pas surprise de recevoir la confirmation de ma mort imminente de la part de Reagan. J'avais entendu parler de mort par le feu par apparemment tous ceux qui étaient impliqués dans la mise en place du « libre-échange », grâce au Mexique, des enfants de notre nation contre de la drogue. L'utilisation par Reagan des métaphores patriotiques et des jeux de mots tandis qu'il m'informait d'un ton neutre qu'il avait ordonné ma mort reflétait son manque de respect si souvent affiché pour la vie humaine. Ce qui reflétait encore plus son tempérament, c'était que les crimes auxquels il était mêlé l'incitaient à se protéger en me « condamnant » à mort. J'avais été témoin des bases criminelles de l'ALENA, ce qui à son tour pouvait menacer la réussite de l'instauration du nouvel Ordre mondial si jamais ces secrets venaient à être révélés. Le « libre-échange » initial y compris celui de la drogue et de la traite des blanches s'étendait bien au-delà de la frontière américano-mexicaine. Il
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acheminait des enfants américains traumatisés, au comportement de robot et soumis au contrôle de l'esprit vers l'Arabie Saoudite, tout en accumulant des stocks d'armes au Nicaragua et en Iraq. Bien que je ne sois pas considérée comme étant une menace, ce qui était basé sur la conviction (erronée) selon laquelle je ne pourrais pas être déprogrammée pour retrouver le souvenir de ces événements, ma mort aurait procuré une garantie supplémentaire à ceux qui étaient impliqués. De toute façon, j'étais presque « complètement utilisée » et l'enregistrement de ma mort par le biais d'un « film porno sadique » était acceptée d'un commun accord comme étant une preuve pour de
Il m'était impossible d'avoir l'idée de réagir contre « l'arrêt de mort » de Reagan. Danté a voulu s'assurer que je comprenais ce qu'il voulait dire en l'expliquant d'une manière imagée, « La prochaine fois que je ranimerai ta flamme (sexuelle), ma belle, elle te consumera, corps et âme. Et tu brûleras, ma belle, tu brûleras. Et puis je prendrai tes cendres et les disperserai au vent. Je vais te faire disparaître. Dans le film. »
En entendant quelque chose en langage codé qu'il pouvait comprendre, Valenti a ri de la tournure de phrase employée par Danté. En faisant allusion à la vieille publication trimestrielle porno dessinée au crayon bleu « Blue movies », il a ajouté, « Flammes bleues. »
Danté a ri avec lui. « Nous l'appellerons "Qui Était-Ce Dans Les Flammes Bleues?" Ou, comment "prendre d'assaut" "Celle qui mangeait de la crème"? »
De
Reagan a accepté, en répondant, « Ces belles gosses (blondes aux yeux bleus) qui se trouvent dans la zone de transfert vers l'Arabie Saoudite sont du haut de gamme, mais elles n'ont pas ce qu'elle a. »
« Celles qui ont deux visages sont difficiles à obtenir », a raillé de
Reagan a ri tout bas tandis que Danté a bougé les pieds et a décroisé les bras le temps de tousser pour cacher son rire. Valenti avait l'air ennuyé par les clichés ou bien il ne comprenait pas une bonne partie des phrases codées à double sens, mais à en juger d'après le ton de la réunion, c'était tout aussi bien. « J'en toucherai un mot à Bobby (Byrd) et lui ferai suivre ta commande », a dit Reagan à son homologue mexicain. « Il devrait être relativement simple d'en rajouter une pour toi toutes les deux ou trois cargaisons environ, une fois que la frontière de Juarez sera ouverte comme prévu à de telles activités de libre-échange. » Reagan parlait comme s'il était distrait et qu'il pensait à autre chose, même quand il regardait dans ma direction.
« S'il vous plaît, monsieur », ai-je commencé, « J'ai le Sceau présidentiel d'Approbation et je suis prête à remplir mon rôle. » Danté a regardé sa montre, conscient qu'il était prévu que je serai à la frontière de Juarez pour le « coup de minuit ». Reagan s'est approché pour voir le papier que j'avais reçu de de
« D'accord. Bien, adieu, Chaton », a dit Reagan, en m'embrassant sur la joue. Il a ajouté en langage codé d'Oz, « Je te verrai de l'autre côté (de l'arc-en-ciel à Washington). Claque des talons... »
Mon univers est devenu tout noir. Quelqu'un m'avait touchée avec un puissant pistolet assommant et j'étais par terre, avec l'impression que Danté me traînait à moitié en me conduisant à sa voiture, dont le moteur tournait déjà au ralenti dans l'allée circulaire. Nous sommes bientôt arrivés près du camping-car, à la station-service qui se trouve sur Hollywood Boulevard, où il nous avait prises, Kelly et moi, plusieurs jours auparavant. Kelly était déjà dans le camping-car, en train de vomir et terriblement traumatisée. Quelqu'un l'avait convaincue qu'on m'avait tuée. Houston a entrepris de créer, en la suggérant par l'utilisation de l'hypnose, une
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« disparition du temps, » en se comportant comme si je m'étais seulement absentée pendant quelques minutes. Nous avons roulé vite, en nous arrêtant seulement pour faire le plein, afin que je sois à Juarez à l'heure convenue.
J'y ai présenté comme un robot le Sceau présidentiel d'Approbation aux fonctionnaires concernés comme prévu, ouvrant ainsi officiellement la frontière au « libre Échange » de crimes contre l'humanité. Houston et moi, nous nous sommes dépêchés de traverser la frontière de Juarez où le fonctionnaire mexicain chargé du dossier nous a retrouvés. Le garde avait l'air d'approcher de la cinquantaine, avec de rudes traits mexicains classiques. Il mesurait environ un mètre quatre-vingt et il avait les cheveux noirs, une moustache négligée, des yeux de fouine noirs et une bedaine qui dépassait au-dessus de ses courtes jambes trapues. Il parlait en espagnol avec animation, avec un ton froid et rauque dans sa voix au moment de cracher les paroles indispensables en anglais, « Donnez-moi le Sceau. » Il faisait claquer ses doigts avec impatience pour me faire dépêcher. Il a pris le Sceau présidentiel et il m'a plaqué le visage sur un petit bureau de métal nu tandis qu'il examinait attentivement le document. Même Houston était exceptionnellement silencieux pendant que ce garde pointilleux en uniforme arpentait la petite salle de la tour, en suant à grosses gouttes tandis qu'il parlait dans son talkie-walkie. Finalement, il a accédé aux codes des transactions bancaires fournis par celui qu'il a dit être George Bush junior et il les a contrôlés. Il a conclu la rencontre en tirant un pistolet assommant de son ceinturon et en s'en servant pour me donner une secousse électrique, soi-disant pour effacer ma mémoire.
J'avais la nausée et je me sentais faible à cause de la haute tension et des épreuves tandis que Houston et moi, nous revenions en traversant la frontière. Mon estomac vide grognait, ce qui a incité Houston à mentir, « Je t'avais dit de ne pas boire d'eau. » En réalité, je n'avais rien eu à boire depuis le champagne à l'hôtel California, et je n'avais rien mangé pendant plusieurs jours. J'étais complètement épuisée quand nous sommes arrivés près du camping-car, à El Paso, mais Houston était excité sexuellement à cause de la cocaïne et des événements criminels qui unissaient le Mexique aux États-Unis à la frontière de Juarez.
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CHAPITRE 29
LE LÉZARD D'AHS
Après l'ouverture de la frontière de Juarez, on m'a tenu activement occupée, selon le plan destiné à « finir de m'utiliser » avant l'arrêt de mort de mon trentième anniversaire. J'ai été soumise à une brutale « représentation de fête » (viol collectif jusqu'au seuil de la mort) dans une Loge maçonnique connue de Warren, en Ohio pour « célébrer les avantages du libre-échange » obtenus par les politicards impliqués de
Après le supplice de Kelly en Californie, Danté et Houston l'exploitaient de façon criminelle pour littéralement « tout ce qu'elle pouvait donner ». Par la suite, elle a manqué une quantité considérable de jours de scolarité. Quand elle était à l'école, elle rencontrait des difficultés avec son entourage. Ces facteurs ont suscité des plans pour l'envoyer dans une école catholique locale l'année suivante, où son comportement insolite serait surveillé et dissimulé.
Peu de temps après, le sénateur Byrd est venu à Nashville pour jouer du violon au Grand Ole Opry [Ndt: émission de musique country] ainsi que, comme me l'a fait remarquer celui qui me manipulait, Houston, pour « jouer avec moi » à l'Hôtel Opryland. Byrd m'a expliqué qu'il était devenu risqué d'être en étroite relation avec moi en raison de mes rôles dans l'Iran-Contra et l'ALENA, et qu'il devrait donc prendre ses distances à mon égard. Il a passé la majeure partie de « notre dernière nuit ensemble » à travailler à ses mémoires pour un livre volumineux sur
Byrd a entrepris de renforcer mon « contrat programmé de loyauté » envers lui pour que je me tienne tranquille « jusqu'à ce que la mort nous sépare ». Il m'a dit, « Si ça ne tenait qu'à moi, je te laisserais vivre. » Il m'a longuement parlé de la manière dont de
Byrd ne s'était pas trop distancié de moi, cependant, lorsqu'il s'agissait d'opérations du gouvernement. Quand j'étais « sur l'arc-en-ciel » à Washington au cours de l'été 1987, c'était comme avant avec Byrd. On m'a escortée jusqu'au Centre Goddard pour les Vols spatiaux où Byrd m'attendait dans un couloir stérile près des ascenseurs garnis de laiton et de miroirs. Il était chargé d'articles, qu'il a déposés sur une petite table en m'accueillant. Il a pris un badge d'identification de
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caractères gras et rouges. Sur mon casque il était inscrit NASA, dans une version inversée comme par un miroir des caractères standards gras et rouges. Quand je l'ai lu dans un miroir, on aurait dit que j'étais du mauvais côté du miroir et qu'il fallait que je passe à travers (selon la programmation d'Alice Au Pays des Merveilles / NASA). Cela indiquait aussi clairement aux initiés que j'étais sous contrôle de l'esprit. Byrd a regardé sa montre de gousset, ce qui a suscité en moi une vague de terreur, et il a dit en langage codé du Pays des Merveilles, « Nous sommes en retard. Comme l'ascenseur tombe dans le terrier du lapin, nous allons inverser la marche du temps afin d'y être quelques minutes plus tôt. »
Byrd m'a fait tourner sur moi-même pour me faire face aux portes recouvertes de miroirs de l'ascenseur en disant, « Regarde profondément dans le miroir et sois tout ce que tu peux être en devenant infiniment perdue dans tout ce que tu vois. » Byrd avait minuté son induction hypnotique de telle sorte que lorsqu'il a ordonné, « Passe à travers le miroir », les portes se sont ouvertes et nous avons traversé.
Alors que l'ascenseur était censé « descendre de 99 (tiré du simple retournement des chiffres 6 par Aquino) niveaux vers les profondeurs de l'enfer, » Byrd m'a dit que
Byrd m'a fait annoncer comme un robot aux employés, « Il m'emmène voir votre chef. »
« Ici, c'est moi le chef », a dit celui qui était apparemment le directeur du laboratoire souterrain. Les employés ont repris leurs occupations au moment où il s'est levé, les bras croisés sur la poitrine d'une manière défensive, tandis que ses yeux à lunettes intelligents jetaient des regards furtifs dans la salle en faisant un tour d'horizon de la situation. Le chef avait quelques mèches grises qui parsemaient ses courts cheveux bruns, et pourtant sa carrure était étonnamment jeune et svelte pour son âge. Apparemment, lui et Byrd se connaissaient parfaitement bien. Byrd s'est avancé à grands pas vers lui, en m'entraînant derrière lui. « Tom », a crié Byrd à son ami qui avait la cinquantaine et faisait un mètre quatre-vingt-cinq. « Voici le spécimen qu'un jour j'ai promis de te remettre. Je serai très intéressé de voir ce que toi tu peux nous procurer puisque les relations diplomatiques avec le Mexique en dépendent. Non pas que je veuille accroître une pression que tu ressens peut-être, mais nous en avons besoin de sept de plus comme elle pour en gaver sa Lézarderie royale (de
« C'est tout aussi bien, mon cher », a dit le chef, en se touchant le menton sans décroiser les bras. « De cette façon il ne peut pas parler sans s'impliquer lui-même. »
« C'est comme ça que le Patron voit les choses », a reconnu Byrd. « De toute façon il est déjà dedans jusqu'au cou, mais cette commande (d'esclaves) l'atteindra plus sûrement dans la mesure où elles s'occuperont personnellement de lui. »
Nous avons marché jusqu'à une zone médicale aseptisée qui comportait un dédale de petites salles où on m'a déshabillée et préparée pour le labo. Une soi-disant infirmière m'a injecté de la drogue « Tranquillité » de
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chef. Ils nous ont regardées et ils ont ri de la conformité littérale de ma démarche avec celle de l'infirmière.
Le chef m'a alors conduite vers une entrée « derrière la scène » qui était en fait un labo aux parois de verre entouré de sièges en rangées ascendantes. Des scientifiques en blouse blanche de
Puisque j'étais considérée comme étant « complètement utilisée » et que ma mort était imminente, le chef a dit aux scientifiques de « ne pas hésiter à baiser le spécimen de laboratoire ». « Mais d'abord », a-t-il dit, « avant de satisfaire votre curiosité mentale et physique en goûtant à la marchandise du président (celle de Reagan), nous devons satisfaire l'esprit pervers d'El Presidente (celui de de
On m'a introduit dans le vagin un lézard vivant enfermé dans une sorte d'éprouvette en verre. La caméra était dirigée sur cette zone tandis que mes jambes étaient écartées en position d'accouchement. Se comportant comme si j'avais conçu en ayant des rapports sexuels avec de
On m'avait apparemment choisie comme prototype pour les sept esclaves programmées que de
Cette vidéo créée pour « sa Lézarderie royale » était l'un des nombreux thèmes codés basés sur les lézards dont
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son initiation « Tu Es Ce Que Tu Lis ». Son hologramme avec une langue et des yeux semblables à ceux d'un lézard donnait l'impression qu'il se transformait en iguane. Pendant mon séjour au Mexique, on me donnait toujours l'ordre d'attendre à côté de rochers où de nombreux iguanes prenaient le soleil avant d'être « transe-portée » vers mes rendez-vous programmés avec « sa Lézarderie royale », le Lézard d'Ahs.
Traduit par Daniel Maury pour les ÉDITIONS NENKI.
ANNEXES
Cathy O'BRIAN dans son livre, y dénonce.....
Elles dénoncent non seulement l'ivrognerie, l'usage sans bornes d'alcool et de drogues accompagné de pratiques homosexuelles, mais elles rapportent aussi des activités beaucoup plus sérieuses, tel que des kidnappings, des viols, des actes pédophilies sodomites, et des meurtres rituels.
DES TEMOINS RACONTENT
Cathy O'Brien et sa fille de 8 ans étaient sujettes à un programme de contrôle de l'esprit impliquant l'armée américaine, la CIA, la NASA et d'autres agences du gouvernement américain. Elles ont été secourues, rééduquées et prises en charge en Alaska en 1988 par Mark Phillips. Elles étaient victimes d'opérations de programmation du contrôle de l'esprit par traumatisme. Ces opérations sont connues sous le nom de Monarch Program. Aucun document écrit ne permet de lier le Monarch Program au projet MK-ULTRA (Manufacturing Killers Utilizing Lethal Tradecraft Requiring Assassinations - Production de tueurs utilisant un conditionnement à l'assassinat) de la C.I.A. bien qu'il s'agisse dans les deux cas d'une manipulation du comportement.
K. Sullivan qui révèle que " plusieurs personnes entraînèrent, conditionnèrent puis brisèrent ma volonté et ma psyché, et me programmèrent à différents états altérés ". Les états altérés sont des personnalités différentes qui sont créées indépendamment les unes des autres dans le même corps. Ces personnalités, ces " alter ", peuvent être réactivées à volonté pour faire effectuer des tâches spécifiques à la personne programmée. Les déclencheurs de ces alter peuvent être des tonalités téléphoniques, des comptines, des dialogues de film ou des signes de la main. Lorsque le déclencheur est perçu par la personne programmée, cette dernière se met à exécuter le plan qu'on lui aura préalablement inséré dans l'esprit à l'aide de drogues ou d'hypnose. D'une seconde à l'autre, un citoyen inoffensif préalablement programmé va inconsciemment changer de personnalité grâce à un déclencheur, et pourra devenir un assassin en puissance. K. Sullivan pouvait être soit au service sexuel d'hommes et de femmes, garde du corps, assassin ou encore utilisée pour libérer des otages selon le déclencheur employé. Le comportement des parents et arrière parent de K. Sullivan nous ramène directement aux événements censés se passer dans la forêt du Bohémian Club : " Mon père fut celui qui m'en fit subir le plus. Il le fit par la terreur. Il le fit par la torture. (...) Son père était un Druide gallois qui avait été vendu enfant à un capitaine qui l'amena aux Etats-Unis. C'est du moins la mentalité de ma famille, l'esclavage des enfants est admis. J'ai entendu cela des membres les plus vieux de la famille. Ils ne l'ont jamais nié. Mais mon grand-père était également un druide clandestin. Je suis sûre qu'il avait amené cette religion avec lui du Pays de Galles. Une des choses qu'il faisait était d'aller dans le cimetière voisin déterrer des cadavres, les ramener dans la cave, et s'amuser avec. Il faisait aussi parfois des rituels de nuit dans la forêt durant lesquels il sacrifiait des bébés ". K. Sullivan parle de son milieu d'origine comme d'un mélange réunissant une soumission à l'élite de génération en génération et un comportement relié au satanisme.
Brice Taylor était un "mannequin présidentiel" dont la programmation consistait à avoir des relations sexuelles avec les présidents, comme elle le révèle dans son livre Starshine : One Woman's Valiant Escape from Mind Control (Comment une femme a courageusement échappé au contrôle de l'esprit). Elle fréquentait alors les hommes qui soutenaient le Nouvel Ordre Mondial, une politique qu'elle explique de la façon suivante : " C'est la tentative de mettre en place un gouvernement mondial permettant aux familles de l'élite d'obtenir ce qu'elles veulent. Leur croyance était que la planète était surpeuplée et que quelque chose devait être fait : une guerre psychologique et biologique. Ils considéraient le contrôle de l'esprit comme un outil, leur atout maître, une chose vraiment différente qui pourrait agir comme une arme invisible ". Ceux qui dirigent toutes ces manigances sont en fait un " groupe d'hommes qui se tient au-dessus de Kissinger et des Rockefeller. Ils ont été configurés génétiquement de façon à ... posséder différentes capacités à diriger. C'est aux, en fait, qui prennent les décisions".
Ted L. Gunderson prit sa retraite du F.B.I. en 1979 alors qu'il dirigeait le bureau de Los Angeles dans lequel 800 personnes étaient sous ses ordres. Il fut ensuite détective privé et consultant en sécurité. En1993 il déclare : " Au cours des années j'ai rassemblé des données. Jusqu'il y a environ deux ans, j'ai continué à dire qu'il y avait un réseau clandestin à l'oeuvre dans ce pays, impliquant la drogue, la pédophilie, la prostitution, la corruption, etc... Depuis l'approfondissement de mes recherches, je suis convaincu que c'est beaucoup plus sérieux. Plus qu'un réseau clandestin de relations, il s'agit d'une réelle conspiration - et vous savez bien comment les médias vous traitent lorsque vous utilisez ce terme. Mais je vais vous le prouver. Dans les faits, cette conspiration concerne la pornographie, la drogue, la pédophilie et les enlèvements organisés d'enfants ". Son site est rempli de documents et témoignages d'autres victime de MK-Ultra et elle dédie sa vie en dépit des dangers qu'elle court à diffuser la vérité et les atrocités dont nos leaders et "héros", (Bob Hope par exemple, quelle déception), enfin des gens en qui on avait une grande confiance, en sont les maniganceurs et les auteurs.
ANNEXE
et qui est également connu sous le nom de projet MK Ultra
L'un des secrets les mieux gardés de l'histoire est le monarque Mind-contrôle qui utilise la programmation basée sur le traumatisme le contrôle de l'esprit avec l'état de l'art de créer le contrôle de l'esprit humain, qui sont entièrement contrôlées par un gestionnaire sans même savoir qui ils sont contrôlés. Ceci est accompli par l'utilisation sophistiquée de la capacité du cerveau à se dissocier, qui est utilisé à l'extrême pour créer structuré trouble de personnalité multiple esprits.
La PROGRAMMATION ''MONARCH'' CRÉE DES HUMAINS MARIONNETTES. Une marionnette est une marionnette, et les psychologues nazis allemands travaillaient avec acharnement à créer la parfaite des marionnettes humaines. Le résultat final de tout le travail acharné des spécialistes allemands, italiens, des chercheurs américains et britanniques a été la création d'une quasie infaillibilité et impossibilité de détecter l'esprit humain contrôlée comme esclave.
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Photo de gauche: le hibou géant devant lequel un grand feu est allumé durant la célébration "occulte" de ces dignitaires (sic) de notre planète à Bohemian Grove, Russian River, California. Comme vous pouvez le constater ce hibou mesure plus de 10 mètres de hauteur.
Photo de gauche dévoile la foule composée de mâles vêtus de froques assez médiévales ou désuettes. Et dire que ce sont des milionnaires qui s'amusent à faire la Bohème et de petites orgies et sacrifices assez peu orthodoxes. Attendez voir la liste des membres au bas de la page. Et dire que ce sont eux qui dirigent notre système actuel et leurs descendants depuis des millénaires. Je ne crois pas que le prêtre qui célèbre ce rituel est un hurluberlu qui s'amuse à une partouse. Il est un des plus haut-gradés de leur confrérie satanique et/ou luciférienne et sait très bien ce qu'il fait: invoquer les forces démoniques de la 4 ième basse fréquence pour empuissancer leurs pouvoirs personnels et nourrir ces forces diaboliques d'une énergie négative de la plus haute intensité soit l'horreur et la torture de jeunes innocents.
Les liens avec les programmes de contrôle de la pensée.
Cathy O'Brien, Trance Formation of America, The True Life Story of a C.I.A. Slave. "Les esclaves d'un âge avancé ou avec une programmation défaillante ont été assassinés selon un rite sacrificatoire, au hasard, sur les terres boisées du Bohemian Club, et j'ai senti que c'était seulement une question de temps jusqu'ê ce que ce soit mon tour." Sur la photo du dessous, l'inscription "Je suis LaFitte" pirate bien connu, dois plutôt se lire comme "Je suis La Fille" , voulant dire que dans ce trou sous l'arbre se trouve l'immolation, ou la fille prête au sacrifie. Une tête de mort accueille les invités. Comme c'est joli.
Cathy O'Brien et sa fille de 8 ans étaient sujettes à un programme de contrôle de l'esprit impliquant l'armée américaine, la CIA, la NASA et d'autres agences du gouvernement américain. Elles ont été secourues, rééduquées et prises en charge en Alaska en 1988 par Mark Phillips. Elles étaient victimes d'opérations de programmation du contrôle de l'esprit par traumatisme. Ces opérations sont connues sous le nom de Monarch Program. Aucun document écrit ne permet de lier le Monarch Program au projet MK-ULTRA (Manufacturing Killers Utilizing Lethal Tradecraft Requiring Assassinations - Production de tueurs utilisant un conditionnement à l'assassinat) de la C.I.A. bien qu'il s'agisse dans les deux cas d'une manipulation du comportement.
A l'image de Cathy O'Brien, de nombreux autres rescapés de ce programme témoignent tel que K. Sullivan qui révèle que " plusieurs personnes entraînèrent, conditionnèrent puis brisèrent ma volonté et ma psyché, et me programmèrent à différents états altérés ".
Les états altérés sont des personnalités différentes qui sont créées indépendamment les unes des autres dans le même corps. Ces personnalités, ces " alter ", peuvent être réactivées à volonté pour faire effectuer des tâches spécifiques à la personne programmée. Les déclencheurs de ces alter peuvent être des tonalités téléphoniques, des comptines, des dialogues de film ou des signes de la main. Lorsque le déclencheur est perçu par la personne programmée, cette dernière se met à exécuter le plan qu'on lui aura préalablement inséré dans l'esprit à l'aide de drogues ou d'hypnose. D'une seconde à l'autre, un citoyen inoffensif préalablement programmé va inconsciemment changer de personnalité grâce à un déclencheur, et pourra devenir un assassin en puissance. K. Sullivan pouvait être soit au service sexuel d'hommes et de femmes, garde du corps, assassin ou encore utilisée pour libérer des otages selon le déclencheur employé.
Le comportement des parents et arrière parent de K. Sullivan nous ramène directement aux événements censés se passer dans la forêt du Bohémian Club : " Mon père fut celui qui m'en fit subir le plus. Il le fit par la terreur. Il le fit par la torture. (…) Son père était un Druide gallois qui avait été vendu enfant à un capitaine qui l'amena aux Etats-Unis. C'est du moins la mentalité de ma famille, l'esclavage des enfants est admis. J'ai entendu cela des membres les plus vieux de la famille. Ils ne l'ont jamais nié. Mais mon grand-père était également un druide clandestin. Je suis sûre qu'il avait amené cette religion avec lui du Pays de Galles. Une des choses qu'il faisait était d'aller dans le cimetière voisin déterrer des cadavres, les ramener dans la cave, et s'amuser avec. Il faisait aussi parfois des rituels de nuit dans la forêt durant lesquels il sacrifiait des bébés ". K. Sullivan parle de son milieu d'origine comme d'un mélange réunissant une soumission à l'élite de génération en génération et un comportement relié au satanisme.
Henry Kissinger, Brice Taylor et Bob Hope, tous des contrôlleurs.
Ted L. Gunderson prit sa retraite du F.B.I. en 1979 alors qu'il dirigeait le bureau de Los Angeles dans lequel 800 personnes étaient sous ses ordres. Il fut ensuite détective privé et consultant en sécurité. En1993 il déclare : " Au cours des années j'ai rassemblé des données. Jusqu'il y a environ deux ans, j'ai continué à dire qu'il y avait un réseau clandestin à l'oeuvre dans ce pays, impliquant la drogue, la pédophilie, la prostitution, la corruption, etc… Depuis l'approfondissement de mes recherches, je suis convaincu que c'est beaucoup plus sérieux. Plus qu'un réseau clandestin de relations, il s'agit d'une réelle conspiration - et vous savez bien comment les médias vous traitent lorsque vous utilisez ce terme. Mais je vais vous le prouver. Dans les faits, cette conspiration concerne la pornographie, la drogue, la pédophilie et les enlèvements organisés d'enfants ". Son site est rempli de documents et témoignages d'autres victime de MK-Ultra et elle dédie sa vie en dépit des dangers qu'elle court à diffuser la vérité et les atrocités dont nos leaders et "héros", (Bob Hope par exemple, quelle déception), enfin des gens en qui on avait une grande confiance, en sont les maniganceurs et les auteurs.
L'origine de Moloch, Druide et Culte de Canaan
Dans l'ouvrage du sataniste Aleister Crowley, Magick inTheory and Practise (Théorie et pratique de la magie) on découvre que " pour les plus hauts travaux spirituels on doit (…) choisir une victime ayant la plus grande et la plus pure énergie. Un enfant mâle d'une parfaite innocence et d'une haute intelligence est la victime adéquate la plus satisfaisante ". Gunderson précise que " nous parlons lê de sacrifice humain ". Aleister Crowley écrit dans The Law Is For All (La loi est pour tous) : " De plus, la bête 666 (il se désigne ainsi) conseille que tous les enfants soient, dés le plus bas âge, accoutumés à assister à tous types d'actes sexuels, ainsi d'ailleurs qu'au processus de la naissance, de peur que le brouillard du mensonge et du mystère n'impressionn leur esprit, ne contrarie et ne fausse leur système subconscient de symbolisme ".
"Notre travail est par conséquent historiquement authentique ; il s'agit de redécouvrir la Tradition Sumérienne."
Aleister Crowley, sataniste. Canaan regroupe les territoires de Phénicie et de Palestine, les prédécesseurs d'Israël. La religion cananéenne est supposée être un dérivé de la religion babylonienne, elle même provenant de la théologie sumérienne dont nous avons vu l'interprétation qu'en fait Zecharia Sitchin (cliquez ici). Par la suite, la culture religieuse cananéenne influença amplement la religion israélite. De ces territoires proviennent les enseignements qui nous apprennent que Moloch était un synonyme de Nemrod ou de Tammuz.
Il est fréquent que nous retrouvions dans les mythologies sumériennes, babyloniennes, et autres, des personnages dont l'histoire est semblable et seul le nom diffère. Le personnage Moloch/Nemrod/Tammuz était connu pour avoir fondé Babylone lorsqu'il portait le nom de Nemrod, ainsi que pour avoir construit des cités telles que Ninive où de nombreuses tablettes sumériennes ont été retrouvées.
Sur la photo de gauche on voit que Nimrod ici est amphibien ! Ea l'était aussi et bien d'autre...
Sémiramis ou Isis, dont les ailes sont devenu le symbole de la colombe . (Avez-vous remarqués les 2 colombes sur le nouveau billet de 10 $ canadien ?) Avec le fleur-de-lys au Québec, symbole d'Horus, on sait à qui appartient le Canada. Hey ?
On a attribué à Nimrod le nom de Baal (le seigneur), et il a été aussi représenté dans un rôle où il était à la fois l'époux et le fils de Sémiramis. Cette dernière est aussi appelée Ninkharsag ou Nin-Khoursag, la " dame de la montagne ", dans les mythes sumériens, où elle est le compagnon du Dieu Enlil. Lorsque Nemrod avait le nom de Tammuz, il aurait été crucifié avec un agneau à ses pieds et placé ensuite dans une caverne dont il aurait disparu trois jours plus tard malgré le rocher obstruant le seul accès existant. Cette histoire est similaire à celle de mythes égyptiens, indiens, chinois, asiatiques ou encore à la résurrection de Jésus au jour prêt.
Ces cultes ont été basés sur le sacrifice humain. Pourquoi faire appel à des cérémonies de culte au 20ème siècle ?
Au minimum, cela montre un attrait vis-ê-vis de pratiques sectaires, c'est-à-dire l'adoration de la destruction, le sang, la barbarie et le sacrifice d'enfants. Les sacrifices humains ont duré longtemps, puisqu'on connaît encore à Carthage le fameux sacrifice " molk " au cours duquel des nouveau-nés étaient livrés au feu. La Bible mentionnera des sacrifices d'enfants encore mille ans plus tard en Israël.
John Milton dans Le Paradis Perdu décrit Moloch de la façon suivante : " D'abord s'avance Moloch, horrible roi, aspergé du sang des sacrifices humains et des larmes des pères et des mères, bien qu'ê cause du bruit des tambours et des timbales retentissantes le cri de leurs enfants ne fût pas entendu lorsque à travers le feu ils passaient à l'idole grimée ".
Une autre représentation de Moloch - Notez la présence du bûcher à ses pieds et de l'enfant prêt à être sacrifié. ¨Ca ressemble étrangement au hibou devant et sous lequel ce grand feu est érigé. Tout ça est symbolique, bien entendu...
Ces sacrifices d'enfants se poursuivaient encore par le biais du rituel celtique " Bealltainn " accompli par les druides en Grande-Bretagne le 1er mai. David Icke nous apprend que le mot " druide " pourrait tout aussi bien venir du gaélique " druidh " signifiant " un homme sage " ou " un sorcier ", mais il peut venir du mot irlandais " Drui " qui signifie " hommes des chênes ". Le Druidisme des Îles britanniques était simplement un dérivé de la sorcellerie satanique et de la magie de l'Egypte ancienne. Les mystères druidiques de Grande-Bretagne, d'Irlande ou de France étaient enseignés à l'orée des bosquets. Les réunions du Bohemian Club se tiennent en un lieu appelé le Bohemian Grove (Bosquet Bohémien), et les photos nous montrent la densité et la majesté des arbres du lieu. Ci contre, vous pouvez observer la position élevée du Grand Conseil des Druides dans la pyramide de la fraternité satanique.
En fait les sacrifices auraient une double origine. Par le sacrifice effectué, on fait en sorte que l'âme de la victime anime le lieu ou l'être auquel elle est consacrée. L'immolation rituelle d'une victime est créatrice dans le sens où elle permet à l'être immolé de retrouver un nouveau corps et de rendre " vivant " et donc durable ce nouveau corps, quel qu'il soit. D'inspiration cosmogonique, le rituel se retrouve aussi dans les mythes de la création de l'homme. L'Enouma Elish, le poème babylonien de la création daté officiellement de 2000 ans avant notre ère, nous explique que l'homme est le résultat de la lutte des dieux. Les dieux perdants sacrifient l'un des leurs pour créer l'homme. L'homme se devra d'assurer le service divin par le culte et les sacrifices. Il assumera en fait la faute et le châtiment des dieux perdants à leur place. Dans la tablette VII de l'Enouma Elish on peut lire en caractère cunéiforme :
Maître de l'incantation sacrée, qui ressuscite les morts,Qui eut pitié des dieux enchaînés, Débarrassa les dieux, ses ennemis, du joug imposé, Et, pour les sauver, créa l'humanité.
Le dieu sacrifié, Kingou, paraît alors devant son bourreau, Ea, qui lui tranche les veines et, de son sang, crée l'homme. L'homme n'est donc pas à sa naissance un être innocent et pur puisque coule dans ses veines le sang d'un dieu coupable et condamné. L'homme assume le châtiment d'un crime qu'il n'a pas commis tout en étant créé pour le service divin.
Conclusion
Mircea Eliade (1907-1986) élargit le domaine d'action des actes rituels : " Ce n'est pas seulement le Cosmos qui prend naissance à la suite d'une telle immolation, ce sont aussi les plantes alimentaires, les races humaines ou les différentes classes sociales ". Plus en avant il écrivait : " L'Enouma Elish nous révèle donc comment, à partir d'une réalité préexistante, larvaire et chaotique, a été créé notre Monde. (…) Le mythe du combat entre un Dieu champion et un Dragon est attesté dans le Proche-Orient, en Grèce et dans l'Inde. Leurs significations diffèrent de celle de l'Enouma Elish, et varient d'un cas à l'autre tout en restant fondamentalement solidaires. (…) Un certain nombre de mythes et légendes, narrant la lutte d'un héros venu de l'étranger et le Dragon maître absolu d'un pays, expriment le conflit entre les autochtones - ou les représentants de l'ordre ancien des choses - et les envahisseurs victorieux qui finissent par fonder un nouvel ordre (nouvel Etat, nouvelle dynastie, nouvelle organisation sociale, etc.) ".
Au début de ce texte vous vous demandiez certainement quel pouvait bien être le rapport entre le Bohemian Club, ce rassemblement des puissants d'Amérique, et les rites que l'on englobe sous le terme trop vague de satanique. J'espère que maintenant vous saisissez mieux le rapport. Si le satanisme tel qu'il est connu du grand public est une sorte de fourre-tout révélateur d'un mal être social, la mise en, application de certains de ces rituels par des personnes initiées dépasse l'entendement par leur nature et leurs effets. Comme nous l'avons vu, le druidisme se situe à un niveau élevé de la pyramide de connaissance de la fraternité satanique. D'après de nombreux témoignages et des preuves vidéo, il semblerait que les personnalités qui prônent l'institution du Nouvel Ordre Mondial mettent tous les atouts de leur côté en faisant usage de rituels sacrificatoires visant à faire " vivre " leur projet.
Sources (en anglais) :
L'histoire que People ne vous laissera pas lire : www.fair.org/extra/best-of-extra/bohemian-grove.html
DARK SECRETS: INSIDE BOHEMIAN GROVE : aussi le vidéo sur http://infowars.safeshopper.com/11/cat11.htm?110
Une liste plus complète des personnages fréquentant le club : www.sonic.net/~kerry/bohemian/grovenukes.html
The Bohemian Grove and The Nuclear Weapons Industry: Some Connections
Article and photos © Kerry Richardson.
Harold Brown is a club member and was Secretary of Defense for President Carter. Brown was a former Director of the Lawrence Livermore nuclear weapons laboratory.Charles Duncan in 1980 is listed as a guest of Harold Brown at the Grove. Duncan was then head of the Department of Energy, the branch of the U.S. Government that makes nuclear bombs.
General Dynamics Corporation is primarily in the weapons business, building the Trident nuclear missile submarine, cruise missiles, and FB-111 bombers. In 1982, 88 percent of General Dynamics net sales were to the U.S. Government. In 1985, General Dynamics was number two in Department of Defense contracts with $7,439,914,000 in sales. In 1982 they were number one with about $5,891,000,000. In 1979, David S. Lewis, General Dynamic's Chairman and Chief Executive Officer was listed as a guest of former General Dynamics Chairman Roger Lewis at the Grove. Their camp was Owl's Nest, one of over one hundred residence groupings inside the Grove. Owl's Nest is the camp Ronald Reagan belongs to. General Dynamics Executive Vice President and Director Lester Crown was listed as a Grove guest in 1979 also. The Crown family and their associates owned over 20 percent, more then 5,000,000 shares of General Dynamics stock according to the 1980 Corporate Data Exchange Profile. Forbes magazine in 1986 estimated the Crown family fortune as over 1.3 billion dollars. CEO David Lewis, who resigned not long ago in the wake of scandals, held more than 200,000 shares of stock. General Dynamics Director Thomas G. Ayers, former Commonwealth Edison of Chicago Chairman, was on the 1981 guest list.
Rockwell International is a mainstay of the nuclear weapons industry.
Robert Anderson, Chairman and CEO of Rockwell, is a club member and Rockwell Chief Financial Officer Robert A. dePalma has attended grove gatherings. Willard F. Rockwell Jr. is listed as a club member. The Rockwell family was the second largest stockholder in the company according to a 1980 Corporate Data Exchange Profile. Rockwell directors associated with the Bohemian Grove include members Fred L. Hartley, Chairman of Unocal, and Henry T. Mudd, former Chairman of Cyprus Mines, and 1981 guest J. Harrington Drake of Dun and Bradstreet. It has been written that no company benefitted more from Reagan administration policies than Rockwell International. They are the main B-1B bomber and space shuttle contractor and they work on the MX and Trident missiles. Rockwell helps operate the Department of Energy facility at Hanford, Washington that produces plutonium for nuclear weapons, and they manage the Rocky Flats Colorado facility that produces plutonium triggers for hydrogen bombs. Rockwell was number three in Department of Defense contracts with over $6,000,000,000 in fiscal 1985.
General Electric was ranked number four in D.O.D. contracts with $5,890,670,000 in fiscal 1985. G.E. operates a plant in Florida that makes neutron generators for nuclear bombs. They made the reentry vehicle for the Minuteman missile. They make propulsion systems for nuclear submarines and jet aircraft engines and are involved in electronic warfare work. They are developing the engine for the Stealth bomber. General Electric Chairman John F. Welch has been listed as a Grove guest as has Edward E. Hood, G.E.'s Vice Chairman of the Board. Welch was named America's toughest boss by Fortune magazine in 1984. Club member Edmund W. Littlefield is a G.E. Director and is listed as a member of G.E.'s largest stockholding family. In addition to Welch, Hood, and Littlefield, Directors of General Electric whose names appear on lists from the Grove include member James G. Boswell II, Chairman and CEO of J.G. Boswell Co., 1980 guest Andrew Clark Sigler, Chairman and CEO of Champion International, and 1980 guest Walter B. Wriston, retired Chairman of the Board of Citicorp bank.
The Boeing Company has in recent years had six members of its Board Of Directors who are listed as members of the Bohemian Club: Harold J. Haynes, retired Chairman of Chevron Corporation, Stanley Hiller Jr. of Hiller Investment Co., Rene C. McPherson, a 1986 honor winner in Fortune magazine's business hall of fame, Charles M. Piggot, CEO of Paccar Corporation that makes Peterbilt trucks, and D.E. Skinner, Skinner Corporation Chairman. Boeing Vice Chairman Malcolm T. Stamper was listed as a 1980 guest. Boeing had $5,458,404,000 of D.O.D. contracts in fiscal 1985, ranking number five. Boeing has contracts for the air launched cruise missile, the MX missile, the Minuteman missile, and has been adapting its B-52 bombers to use cruise missiles. Boeing is a subcontractor for the Stealth advanced technology bomber and is a principal contractor for Strategic Defense Initiative Star Wars.
United Technologies Corporation Chairman Harry Gray, recently retired, is a frequent visitor to the Bohemian Grove.
U.T. was number seven in fiscal 1985 D.O.D. contracts with about$3,905,629,000, down from their 1982 number three ranking with $4,208,000,000. United Technologies Chemical Systems Division builds rocket motors for Titan, Minuteman III, Trident, and Tomahawk cruise missiles and has a manufacturing facility near San Jose, California. U.T. makes Pratt and Whitney jet aircraft engines and Sikorsky helicopters. Alexander Haig who frequents the Bohemian Grove was President and Chief Operating Officer of United Technologies in 1980 before becoming Secretary of State, and more recently has been a consultant to the company. United Technologies Directors associated with the Bohemian Grove are member Robert H. Malott, Chairman and CEO of FMC Corporation, and 1980 guests William I. Spencer, retired President of Citicorp and Charles W. Duncan Jr., and current Citicorp Chairman and CEO John S. Reed.
Westinghouse Electric Corporation Chairman Robert E. Kirby was listed as a Grove guest in 1979 and 1981. Westinghouse contracts include radar for the B-1B bomber and launch tubes for the Trident missile. They are heavily involved with nuclear propulsion systems and fuels. Westinghouse Director Roger Milliken, Chairman and CEO of the textile firm Milliken and Company, was listed as a 1981 Grove guest and Director Rene C. McPherson is a member.
Tenneco Inc. Chairman and CEO James L. Ketelsen is listed as a Grove guest in 1979 and 1981. His host was D.J. Russell, a Director Emeritus of Tenneco. Club member B.F. Biaggini, retired Southern Pacific Chairman, is a Tenneco Director. Tenneco operates the Newport News Shipbuilding and Dry Dock Co. and builds nuclear submarines capable of carrying nuclear warhead armed missiles and builds Nimitz class nuclear propelled aircraft carriers.
Northrop Corporation is a lead contractor on the top-secret Stealth advanced technology bomber. Costs for the Stealth program may reach 30 billion dollars. Northrop has contracts for MX missile guidance systems. Northrop Chairman of the Board and CEO Thomas V. Jones is a member of the Bohemian Club. In the summer of 1986 Jones and his wife hosted a barbecue at their Los Angeles estate for Ronald and Nancy Reagan and their friends. Northrop Director Tom Killefer, retired Chairman of the U.S. Trust Co. bank, was on the 1981 Grove guest list.
TRW Corporation is a leader in Strategic Defense Initiative Star Wars contracts and was recently selected to manage the Pentagon's free electron laser experiment program. They have been researching a new method of producing weapons grade plutonium using lasers. Ruben F. Mettler, TRW Chairman and CEO was listed as a Grove guest in 1981. TRW Directors named on lists from the Grove are member Jack S. Parker, retired Vice Chairman of General Electric, and member H. Guyford Stever, a scientist and consultant. TRW is a MX missile contractor.
UNC Resources, formerly known as United Nuclear Corporation, is a contractor at the Department of Energy's Hanford Nuclear Facility where it operates the N-reactor to produce plutonium for nuclear bombs. The N reactor is a type similar in design to the Soviet Union's Chernobyl reactor. Former UNC Chairman James R. Bancroft is a member of the Bohemian Club. His guest at the 1980 Grove encampment was former UNC Chief Executive Officer Keith A. Cunningham.
AT&T (American Telephone and Telegraph) through its Western Electric subsidiary manages the Sandia National Laboratories on a no fee no profit basis. Sandia Labs has facilities in Albuquerque New Mexico, Livermore California, and Tonopah Nevada. The Sandia Lab is involved with the design, testing, quality control, safe handling, and storage of nuclear weapons. They train military personnel on their use and maintenance and are involved with a weapon from its inception until its retirement from the stockpile. Former AT&T Chairman Charles L. Brown was on the 1979 guest list and new Chairman James E. Olson was observed en route to the Grove in 1986. AT&T Director Phillip Hawley is a club member and Directors James H. Evans, Rawleigh Warner Jr., and Joseph D. Williams are named on guest lists.
Monsanto Corporation Chairman and CEO Richard J. Mahoney was observed in transit to the Bohemian Grove in 1986. Monsanto manages the Mound Facility in Miamisburg Ohio for the Department of Energy. 2,060 people were on Monsanto's payroll there in 1982. The main activity of the Mound Facility is the production and maintenance of the non-nuclear components for U.S. nuclear weapons: detonators, timers, firing sets, and test equipment. Some work with nuclear materials also occurs there.
The Bechtel Company is a privately owned construction firm operating worldwide and headquartered in San Francisco and is a mainstay of the nuclear industry. S.D. Bechtel Sr.. and S.D. Bechtel Jr., who now runs the company, are members of the Bohemian Club. Forbes magazine in 1986 estimated the Bechtels' net worth at over 800 million dollars. The 1981-82 Bechtel Report announced that its Nuclear Fuels Operation division would pursue defense related projects. Bechtel worked on the Waste Isolation Pilot Project located in New Mexico intended for military nuclear waste. Bechtel designed the military space shuttle facility at Vandenburg Air Force Base.
Hewlett Packard Corporation co-founders David Packard and William R. Hewlett are both members of the Bohemian Club. Hewlett Packard is a contractor on the B-52 bomber and the Pershing missile. In Sonoma County, the location of the Bohemian Grove, Hewlett Packard is the largest employer and the number one recipient of Department of Defense funds.
Dr. Edward Teller, Associate Director emeritus of the Lawrence Livermore Laboratory, gave a speech at the grove in 1980. Teller is a physicist who played a major role in developing the hydrogen bomb and he is a leading promoter of Star Wars weaponry. The Livermore Lab is the number one recipient of Strategic Defense Initiative Star Wars research dollars. Teller and Bohemian Club member Karl R. Bendetsen and 1980 Grove guest Joseph Coors were members in 1981 of an advisory group to Ronald Reagan that received security clearances to learn about new weapons developments such as nuclear x-ray lasers. The group first met with the President in January 1982. Teller also had private meetings with Reagan before the President's March 1983 Star Wars speech.
Main sources for this article include: "The Nuclear Weapons Industry" by Kenneth A. Bertsch and Linda S. Shaw, Investor Responsibility Research Center, Washington D.C.; "Star Warriors" by William J. Broad, Simon and Schuster, New York; various corporate annual reports; "1982 List of Camps and Camp Members and Key to Camp Locations 1982 Midsummer Encampment - Bohemian Grove"; Grove Guest List 1979, 1980, 1981; "FAA List of Registered Aircraft by N-number, 4/13/85"; "CDE Stock Ownership Directory", Corporate Data Exchange, Inc., New York; "Aviation Week and Space Technology, May 12, 1986".
Mind control out of control: interview avec Cathy O'Brian et Mark Phillips. www.vegan.swinternet.co.uk/articles/conspiracies/cathyandmark.html
San Francisco Bohemian Club: Power, Prestige and Globalism : http://www.sonomacountyfreepress.org/bohos/San_Francisco_Bohemian_Club_Power_Prestige_and_Globalism.html
Counter Punch : The Truth About The Bohemian Grove : www.counterpunch.org/bohemian.html
Bohemian Grove Action Network : www.sonomacountyfreepress.org/bohos/bohoindx.html
Sources (en français) :
La Naissance du Monde, collectif aux éditions du Seuil.
Le Plus Grand Secret, David Icke, Louise Courteau Editrice.
Nexus, n°2, Le Nouvel Ordre Mondial et l'esclavage par le contrôle de la pensée par Uri Dowbenko, Editions MOAN, Les Cheyroux, 24 580 Plazac.
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Annexe
MK-ULTRA: Contrôle de l'esprit
Hommages à Reagan:
partie 1
Brice Taylor, esclave présidentielle monarque du projet MK-Ultra,
dévoile ses moments
avec Uncle Ronnie.
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