La reine et les vertus du sport
Elizabeth II, défenseur du sport d’en bas ? C’est le message que la reine d’Angleterre a essayé de faire passer samedi lors de sa traditionnelle adresse de Noël. À dix-neuf mois de l’ouverture des jeux Olympiques de Londres, la mère de Charles a surtout envoyé une pique au gouvernement conservateur, qui a décidé d’amputer le budget alloué aux activités sportives dans les écoles. « Durant l’année qui vient de s’écouler, riche en événements sportifs, j’ai pu constater combien le sport était important pour rapprocher les gens de toutes origines, de tous âges et de tous horizons », a expliqué la souveraine de quatre-vingt-quatre ans, citant l’exemple des jeux du Commonwealth en octobre. « Outre qu’ils améliorent notre condition physique, le sport et les jeux peuvent aussi nous apprendre des choses très importantes pour la vie en société… Ce genre d’activités contribue à donner une nouvelle perspective à la vie » et l’esprit d’équipe « peut être bénéfique pour les communautés, les sociétés et les entreprises de toutes sortes », a-t-elle ajouté. MENSONGE ET MENSONGE
C'EST AINSI QUE LONDRES DIVISE TOUS LES PAYS DANS CET ESPRIT DECOMPÉTITION AU LIEU DE LEUR APPRENDRE À SE RÉUNIR DANS L'ENTRAIDE ET LE PARTAGE...... LES JEUX FRATERNELS DU PARTAGE
LE SPORT généralise la violence
Quoi d'étonnant puisqu'ils ont toujours gouverné le Monde, et lorsque tu as à ton service tous les experts de la Planète: alors tu fais en sorte que tout ce qui se réalise est contrôlé par toi....
La force INUTILE et négative du sport est bien là : on y parle toujours de ce qui n'existe pas pour ne pas avoir à parler de ce qui existe... Le sport est une guerre en miniature qu'il faut gagner par tous les moyens. Où l'Autre n'est accepté que comme adversaire à dépasser, à détruire symboliquement. ''IL EST PLUS FACILE DE SE SERVIR DE SES BRAS QUE DE SA TÊTE'' !!!
Que d'énergies dépensées inutilement pour la vanité des parents et des ami(e)s, pour épater les cinglés-insignifiants..... Ce ne sont pas les champions ridicules du ballon et de la rondelle que nous voulons: mais les champions de la vie saine et pacifique sans combattre comme des animaux; les héros du Partage et de l'Entraide; les ''winners'' de l'Égalité Économique entre les Pays; ...... Faites vos muscles à aider au lieu de vous penser supérieurs aux autres. ''ON NE DOIT PAS S'ÉLEVER AU-DESSUS DES AUTRES MAIS ''AVEC'' LES AUTRES !!!
Ils passent leurs vies à fuir et à voter pour ne pas s'impliquer et laisser un député tout faire à leurs places. QUAND LES LÂCHES S'AMUSENT pour se croire ''bright'' et qu'ils regardent passivement le sport à la télé pour se croire des champions..... Les fantoches..... Les minus....
Pourquoi pensez-vous que Londres à travers tous ses Médias de par le Monde nous inonde d'émissions sportives ? C'est pour nous habituer à nous diviser entre nous par l'esprit de compétition !
Par le Sport ils nous font taire
CITOYEN TU DORS --- ENDORMIS/ENDORMEURS
Une de mes ami(e)s africaines me dit ‘’J’ai de la misère à croire qu’il y a des gens autant méchants que tu le dis’’…. Alors je lui répondis ‘’Tu as bien raison, j’exagère : il n’y a jamais eu de guerres ni de camps d’extermiantions, ni d’holocaustes tuant des millions de Juifs, ni de génocides, et le Clergé n’a jamais fait écarteler des gens sur la place publique ni fait brûler des femmes en les acusant de sorcelleries, et les Africains n’ont jamais été exclavagisés par les arabes/français/britanniques, …. Tout cela sont des inventions de paranos….’’….. Alors, bien en gêne d’elle, elle se mit à sourire la tête baissée puis me regarda en me disant ‘’Oui tu as raison’’.
Joke ...... Ils sont comme leurs chiens…… jamais aussi heureux que lorsqu’ils suivent les ordres de leurs maîtres..... Ils et ELLES passent leurs vies à branler leurs queues et à se branler, ces branleux et branleuses. . . qui sont fiers de leurs ridicules champions du ballon et de la rondelleToutes les règles de tous les sports furent élaborés directement ou indirectement par Londres, et dans les buts d'abrutir, d'enseigner l'esprit de division (clans contre clans, équipes contre..... pays contre pays...)
L'homme d'affaires J. Ambrose O'Brien, qui a bâti sa fortune dans l'industrie minière en Ontario, crée le Club de hockey Canadien. L'équipe comprend exclusivement des joueurs francophones. Pendant trois saisons, elle sera d'ailleurs la seule équipe pouvant aligner des francophones. *** Sachez qu'il est marqué en bas de la carte minière du Canada ceci: ''SA MAJESTÉ LA REINE DU CHEF DU CANADA'': et ce n'est pas anodin, si l'on sait maintenant que toutes les mines du Canada sont les propriétés (ne vous faites pas leurres par leurs ''prêtes-noms'' qui dirigeraient ces mines) et sont contrôlées par Londres alors on comprend qu'elles sont leurs stratégies pour nous diviser et comment ils opèrent......
Tous les Médias nous martèlent des mentalités des exploiteurs de la COMPÉTITION par le Sport, l'Éducation....
En une journée, on peut entendre le mot ''COMPÉTITION'' DES CENTAINES VOIRE DES MILLIERS DE FOIS: c'est carrément de la propagande aristocratique par Londres et ses Lords débiles de la vie de combat, des honneurs, des trophées à se penser meilleurs.....
CE N'EST PAS LE MONDE DES MEILLEURS QUE NOUS VOULONS, MAIS UN MONDE MEILLEUR..... On ne nous apprend pas à nous unir ni à partager mais à nous compétitionner: HORRIBLE!
1940
Le Canadien devient officiellement la propriété de la Canadian Arena, une société présidée par le sénateur fédéral Donat Raymond.
1957
Le sénateur Raymond vend le Canadien à un de ses collègues au Sénat, Hartland Molson, et son frère Tom Molson. En effet. peu de temps avant le début de la saison 1957-58, le sénateur Donat Raymond cède son contrôle sur le Canadien de Montréal et la Canadian Arena Company au sénateur Hartland de Montarville Molson et à son frère Thomas. Le montant de la transaction n'est pas dévoilé à la presse.
Raymond, qui est âgé de 77 ans, demeure tout de même actionnaire. Les Molson font aussi confiance au directeur gérant Frank Selke pour continuer de mener les destinées de l'équipe. Ils se proposent d'ailleurs de conserver «la même politique et la même ligne de conduite» que l'ancienne direction.
Le sport n'est pas naturel. Autrefois aux temps de Socrate, on préparait les jeunes à la guerre en les musclant et les abrutissant par le sport. À l'époque du médiéval et avant cela, les chevaliers par le sport avaient le droit de tuer leurs adversaires.....
Le sport prépare À L'ARMÉE, à la discipline maniaque du militarisme et à l'esprit maladif du combat, du mérite et des honneurs à détruire. Ce n'est pas d'exercices ni de sports que nous avons tous besoins mais de marches, de faire des excursions, des randonnées, de jouer sans règles maniaques mais de simplement s'amuser et c'est comme cela que les enfants se développent le mieux et grandissent et que tous pouvons nous épanouir et cela le plus naturellement possible. Le sport de combat et de compétition et leurs règles débiles: NON MERCI!
Et sortons de l'expression ''du pain et des jeux..... pour les esclaves'', mais à notre époque on pourrait même dire ''du pain en moins mais des jeux''. Par la télé, on nous aveugle avec des insignifiances et des choses très secondaires: les émissions de télés abondent de chroniques sportives...... Et oui on nous amuse avec le SPORT pour ne pas qu'on prenne le temps de penser et de voir les évidences et qu'enfin on agissent intelligemment ensemble!
Les humains naissent bons mais ce sont leurs États élitistes qui les corrompentblog en développements
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CITOYEN TU DORS --- ENDORMIS/ENDORMEURS
Une de mes ami(e)s africaines me dit ''J’ai de la misère à croire qu’il y a des gens autant méchants que tu le dis''…. Alors je lui répondis ''Tu as bien raison, j’exagère : il n’y a jamais eu de guerres ni de camps d’extermiantions, ni d’holocaustes tuant des millions de Juifs, ni de génocides, et le Clergé n’a jamais fait écarteler des gens sur la place publique ni fait brûler des femmes en les accusant de sorcelleries, et les Africains n’ont jamais été exclavagisés par les arabes/français/britanniques, …. Tu as raison, tout cela sont des inventions de paranos….''….. Alors, bien en gêne d’elle, elle se mit à sourire la tête baissée puis me regarda en me disant ‘’Oui tu as raison’’. Et ce sont surtout les contextes aliénants-élitistes qui nous font tous mal agir et mal paraître!
Joke ...... Ils sont comme leurs chiens…… jamais aussi heureux que lorsqu’ils suivent les ordres de leurs maîtres..... Ils et ELLES passent leurs vies à branler leurs queues et à se branler, ces branleux et branleuses. . . qui sont fiers de leurs ridicules champions du ballon et de la rondelle
Même les Africains se conforment entre eux aux idéologies antifraternelles et ils en endormis (malgré eux) ils défendent leurs exploiteurs sans s'en apercevoir. Soeurs et Frères Africains: n'imitez plus vos exploiteurs et ne cherchez plus à devenir autant exploiteurs qu'eux en copiant leurs modèles de la concurrence et de la compétition.
On a jamais eu autant de Médias d'informations (télés, radios, journaux....) et pourtant on est désinformés habilement par eux, on ne sait rien mais on se croit informés du simple fait qu'on croit tout ce qui sors de la télé. La télé c'est de la propagande élitiste qui nous matraque de l'esprit de la compétition pour nous diviser
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Le SOCCER est un sport idéal pour les pauvres: ça ne leur prend qu'un ballon pour masquer leurs vies horribles..... alors ils frappent le ballon cent fois, mille fois, sans fin comme pour frapper contre les coupables inconnus de leurs misères......
Football et géopolitique
- football (Royaume-Uni) (Irlande) (Australie)
Exporté par l'Empire britannique, le soccer est pratiqué aux États-Unis et au Canada ...
Codifié par les Britanniques à la fin du XIXe siècle, le football s'est doté d'une fédération internationale, la FIFA, en 1904. Pratiqué en 2006 par environ 264 millions de joueurs à travers le monde, le football possède le statut de sport numéro un dans la majorité des pays. Certains continents, comme l'Afrique, l'Amérique du Sud et l'Europe, sont même presque entièrement dominés par cette discipline. La simplicité du jeu et le peu de moyens nécessaires à sa pratique expliquent en partie ce succès.
C'est d'abord en Angleterre que le soccer connût sa plus rapide ascension sur le plan de la pratique et de la simple popularité. Puis, petit à petit, la France a apprivoisé à son tour ce sport qui, depuis, y est devenu presque une religion, du moins pour plusieurs.
Il s'agit du transfert le plus coûteux de l'histoire du soccer anglais. ... devons tous nous prosterner devant la nouvelle Mecque du soccer britannique!
Le football trouve ses racines réelles dans la soule (ou choule) médiévale. Ce jeu sportif est pratiqué dans les écoles et universités mais aussi par le peuple des deux côtés de la Manche. La première mention écrite de la soule en France remonte à 1147[6] et son équivalent anglais date de 1174[7].
Les Britanniques codifient et organisent le football en s'inspirant des exemples du cricket et du baseball, ces deux sports collectifs étant déjà structurés avant l'émergence du football. Des ligues professionnelles aux championnats et autres coupes, le football n'innove pas. Le premier club non scolaire est fondé en 1857 : le Sheffield Football Club. Le Sheffield FC dispute le premier match interclub face au Hallam FC (fondé en 1860) le 26 décembre 1860 à seize contre seize[15]. Ces deux clubs pionniers se retrouvent en décembre 1862 pour le premier match de charité[15]. La Youdan Cup est la première compétition. Elle se tient en 1867 à Sheffield et Hallam FC remporte le trophée le 5 mars[16]. La première épreuve à caractère national est la FA Challenge Cup 1872. Le professionnalisme est autorisé en 1885 et le premier championnat se dispute en 1888-1889. La Fédération anglaise tient un rôle prépondérant dans cette évolution, imposant notamment un règlement unique en créant la FA Cup, puis les clubs prennent l'ascendant[17]. La création du championnat (League) n'est pas le fait de la Fédération mais une initiative des clubs cherchant à présenter un calendrier stable et cohérent. L'existence d'un réseau ferroviaire rend possible cette évolution initiée par William McGregor, président d'Aston Villa[18]. Ce premier championnat est professionnel, et aucun club du Sud du pays n'y participe.
L'Angleterre est alors coupée en deux : le Nord acceptant pleinement le professionnalisme et le Sud le rejetant. Cette différence a des explications sociales. Le Sud de l'Angleterre est dominé par l'esprit classique des clubs sportifs réservés à une élite sociale. Dans le Nord dominé par l'industrie, le football professionnel est dirigé par des grands patrons n'hésitant pas à rémunérer leurs joueurs pour renforcer leur équipe, de la même façon qu'ils recrutent de meilleurs ingénieurs pour renforcer leurs entreprises[19]. Pendant cinq saisons, le championnat se limite aux seuls clubs du Nord. Le club londonien d'Arsenal passe professionnel en 1891[20]. La ligue de Londres exclut alors de ses compétitions les Gunners d'Arsenal[21] qui rejoignent la League en 1893. La Southern League est créée en réaction (1894)[22]. Cette compétition s'ouvre progressivement au professionnalisme mais ne peut pas éviter les départs de nombreux clubs vers la League. Les meilleurs clubs encore en Southern League sont incorporés à la League en 1920[23].
Concernant le jeu, le passage du dribbling game au passing game est une évolution importante. À l'origine, le football est très individualiste : les joueurs, tous attaquants, se ruent vers le but balle au pied, c’est-à-dire en enchaînant les dribbles. C'est le dribbling. Comme Michel Platini aime à le rappeler, « le ballon ira toujours plus vite que le joueur ». C'est sur ce principe simple qu'est construit le passing game. Cette innovation apparaît à la fin des années 1860 et s'impose dans les années 1880. Dès la fin des années 1860, des matches entre Londres et Sheffield auraient introduit le passing au Nord[24]. C'est la version de Charles Alcock, qui situe en 1883 la première vraie démonstration de passing à Londres par le Blackburn Olympic. Entre ces deux dates, la nouvelle façon de jouer trouve refuge en Écosse[25].
Sur le modèle de la Football Association, des fédérations nationales sont fondées en Écosse (1873)[26], au Pays de Galles (1876)[27] et en Irlande (1880)[28]. Des rencontres opposant les sélections des meilleurs joueurs de ces fédérations ont lieu dès le 30 novembre 1872 (Écosse-Angleterre), soit quelques mois avant la fondation officielle de la Fédération écossaise[29]. Des matches annuels mettent aux prises ces différentes sélections, et à partir de 1884, ces matches amicaux se transforment en une première compétition internationale : le British Home Championship. En pratiquant le passing plutôt que le dribbling, les Écossais dominent les premières éditions[30].
Contrairement aux sports « nobles » comme le cricket, le tennis, le hockey sur gazon et le rugby, le football n'est pas très développé au sein des clubs sportifs installés dans l'Empire britannique. Ainsi, cette discipline est aujourd'hui encore peu prisée en Inde, au Pakistan, en Amérique du Nord ou en Australie, notamment. En Afrique du Sud, les colons britanniques y importent le football dès 1869[31] puis une coupe du Natal est organisée dès 1884[32], mais le football, sport roi dans les townships[33], reste très mal perçu par les tenants blancs de l'apartheid qui lui préfèrent le rugby, le tennis et le cricket. Le football fut, il est vrai, en pointe pour dénoncer l'apartheid et dès le 9 avril 1973, une équipe mêlant joueurs noirs et blancs représente l'Afrique du Sud lors d'un match international non officiel face à la Rhodésie[34].
Les Britanniques jouent pourtant un rôle important dans la diffusion du football, notamment grâce aux ouvriers dépêchés aux quatre coins du monde pour mener à bien des chantiers. Le football est par exemple introduit en Amérique du Sud par les ouvriers travaillant sur les chantiers des lignes ferroviaires. Ils montent des équipes et mettent en place des compétitions d'abord réservées aux seuls joueurs britanniques, et qui s'ouvrent progressivement aux joueurs puis aux clubs locaux. Le cas sud-américain est complexe. Il existe également des clubs britanniques qui pratiquent cette discipline et des étudiants originaires d'Angleterre jouent un rôle important dans l'introduction du football entre Montevideo et Buenos Aires[35]. Ainsi, le football s'installe durablement dans des nations comme l'Uruguay ou l'Argentine dès les années 1870-80. En Amérique du Nord, des compétitions sont créées dans les années 1880 (1884 aux États-Unis sur la côte Est)[36].
L'expansion du football est également due à des voyageurs de diverses nationalités ayant effectué des séjours au Royaume-Uni où ils furent initiés au jeu.
Les Britanniques sont également déterminants dans l'introduction du football en France.
L'action des clubs britanniques parisiens des White-Rovers et du Standard AC fait plier l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA) le 9 janvier 1894, qui, dans la droite ligne des clubs britanniques guindés, redoutait une expansion du football et de ses vices, comme le professionnalisme, les transferts et les paris et se refusait à reconnaître cette discipline[41]. En Allemagne, le football est d'abord clairement perçu comme un corps étranger à la nation et est dédaigneusement surnommé le « sport des Anglais » par les nationalistes[42]. Toutefois, le football prend racine dans les villes (premier club fondé en 1887 : SC Germania Hambourg) où ouvriers et cols blancs se rassemblent autour d'une passion commune[42]. L'Europe du Nord est ainsi progressivement contaminée entre les années 1870 et le début des années 1890, puis l'Europe du Sud (Sud de la France inclus) connaît le même sort entre les années 1890 et le début du XXe siècle.
Le racingman Frantz Reichel prophétise ainsi en 1922 que « le football professionnel anglais périra s'il reste cantonné sur le sol britannique[45] ».
MAIS LES ANGLAIS NE LE PRATIQU PAS BEAUCOUP: ILS ONT PROPAGÉ LE SOCCER POUR ENDORMIR LES MASSES..... C'EST TOUT car tant que les masses exploités peuvent s'amuser elles ne se rebelleront pas
Premières règles
Le premier code de jeu date de 1848 : les Cambridge RulesJ.C. Thring qui affinent le règlement de Cambridge en 1862 : Quand la Football Association (FA) est fondée à Londres le 26 octobre 1863, John D. Cartwright est chargé de faire une synthèse des différentes règles en usage (Blackheath RC qui suivait les règles d'Harrow, était alors membre de la FA)[51] . Le 9 janvier 1864[52], le premier match disputé sous ses nouvelles 14 lois du jeu est joué[53]. Elles sont assez floues, notamment dans les domaines du nombre de joueurs et des dimensions du terrain ou des buts car un accord n'a pas pu être trouvé sur ces points. Les équipes comptent alors de treize à quinze joueurs puis passent à onze progressivement, malgré les résistances de nombre d'équipes à la fin des années 1860. En 1867, quand la Surrey FA propose un match à onze contre onze au Cambridge University FC, ce dernier répond par courrier : « nous jouons au minimum à quinze par équipe et nous ne pouvons pas jouer avec moins de treize joueurs par équipe[54] ». La loi 11 précise que l'usage des mains est interdit. De fait, il s'agit dans les grandes lignes de la reprise des Cambridge Rules et des règles de J.C. Thring, saluées par tous comme les plus simples[55].
Le 1er décembre 1863, le Sheffield FC demande son affiliation à la FA[55]. Les clubs de Sheffield suivent alors un code de jeu particulier mais proche des Cambridge Rules et qui se joue à onze contre onze[15]. Pendant plus d'une décennie, les deux codes coexistent et s'influencent tandis que certains clubs édictent des règlements internes stipulant que seul leur règlement interne est applicable. Cette situation très hétérogène n'empêche pas la FA de peaufiner son règlement. Le poste du gardien de but est ainsi créé en 1870[56]. De même, entre 1867 et 1870, les règles de Sheffield connaissent quelques modifications comme l'abandon en 1868 du rouge[57] (forme de points semblable au football australien, avec deux poteaux supplémentaires situés à 4 yards des buts). Les clubs de la région de Nottingham, qui avaient également un règlement inspiré des Cambridge Rules, adoptent les règles de la FA en 1867[58].
Avant l'émergence des premières compétitions officielles, le calendrier des clubs est uniquement constitué de matches amicaux. Aujourd'hui ce type de rencontres encore très prisé jusqu'aux années 1960 est devenu anecdotique. Elles ont dû s'effacer devant la multiplication des épreuves. Pourtant, en 1871, certains clubs anglais furent dans l'impossibilité de s'inscrire à la première édition de la FA Cup ; leurs calendriers étaient déjà complets[118]. À la recherche de stabilité, les clubs anglais mettent en place un premier championnat en 1888-1889. Les deux éléments de base du calendrier sont en place : le championnat et la coupe.
Le British Home Championship (1883-1984) est la première compétition opposant des équipes nationales. Le projet d'une Coupe du monde figure dans les projets de la FIFA depuis sa création en 1904. Elle voit finalement le jour en 1930, sous la pression de la montée en puissance du tournoi olympique de football. Avec la professionnalisation du football en-dehors des îles Britanniques dès les années 1920-1930, les équipes nationales présentes aux Jeux ne sont plus les équipes A, mais des sélections olympiques comptant uniquement des joueurs amateurs. Les nations de l'est, officiellement amateurs, dominent les tournois olympiques après la Seconde Guerre mondiale. En 1992 le CIO autorise les professionnels à s'aligner aux Jeux mais la FIFA refuse d'y envoyer les équipes A. Les équipes en présence sont les espoirs (moins de 21 ans au début de la phase éliminatoire, plus d'un an avant les JO ; le CIO nomme ces formations de « moins de 23 ans ») renforcés par trois joueurs de plus de 23 ans[128]. Certaines sélections n'utilisent pas cette dernière option et se contentent d'envoyer aux Jeux leurs équipes espoirs.
PREMIÈRE GUERRE MONDIALE
Les femmes jouent au football depuis la fin du XIXe siècle en Angleterre et en Écosse[129]. La France met en place le premier championnat national juste après la Première Guerre mondiale[130]. Les recettes sont telles que les joueuses sont rémunérées via la pratique de l'amateurisme marron[131]. Le tir de barrage contre la pratique du football par les femmes s'intensifie[132] et le décès d'une joueuse, Miss C.V. Richards, en plein match en 1926 renforce les tenants de l'interdiction. Henri Desgranges (L'Auto) est plus radical encore dès 1925 : « Que les jeunes filles fassent du sport entre elles, dans un terrain rigoureusement clos, inaccessible au public : oui d'accord.
Après la Seconde Guerre mondiale, les stades connaissent de nombreuses révolutions, du toit cantilever (sans poteaux de soutien au milieu des tribunes) à la construction de systèmes d'éclairage pour les matches en nocturne. Les premières expériences de matches joués à la lumière des projecteurs datent de 1878, mais ce type de rencontres, interdit en Angleterre de 1930 à 1950, reste marginal jusqu'après la Seconde Guerre mondiale[147]. L'éclairage est seulement de quelques centaines de lux, mais la télévision exige au moins 800 lux pour filmer correctement les rencontres. Cette demande pressante de la télévision et les progrès réalisés au niveau des systèmes d'éclairage permettent désormais aux meilleurs stades de disposer d'au moins 1 500 lux.
Football et médias QUI EN FAIT LA PROPAGANDE pour amuser les masses......
''Dans le sport on s'occupe de choses qui n'existent pas pour ne pas s'occuper de ce qui existe: HORREUR'.'Le football entre dans la presse généraliste puis la presse omnisports dès le XIXe siècle. Certains titres refusent toutefois de traiter de ce sport aux racines trop populaires ; The Field (créé en 1853) qui traite principalement de sports « nobles » comme le tennis, le golf, le sport hippique et la chasse n'ouvre ainsi ses colonnes au football que pour le dénigrer. Même son de cloche en France avec le quotidien L'Auto qui multiplie les unes sur le rugby mais refuse d'accorder au football sa première page jusqu'à la Grande Guerre[188].
Football et politique
Enjeux locaux
Comme l'annonce clairement Alfred Wahl : « Au niveau le plus modeste, celui du village, l'association sportive constitue un champ d'affrontement entre notables car elle peut devenir un marchepied pour l'accession au pouvoir[221] ». Le match de football opposant le Dynamo de Peppone à La Gaillarde de Don Camillo dans le film Le Petit monde de Don Camillo (1951) illustre sur le ton de l'humour cette situation. L'existence de plusieurs clubs rivaux dans la même ville appartient en général au passé, notamment dans les villes moyennes. Certaines grandes cités sont parvenues à conserver plusieurs clubs de même niveau, sauf en France, où les autorités ont veillé, dès les années 1930, à appliquer la règle : « un club, une ville ».
Les revendications religieuses ont aussi leur droit de cité dans le football. En Irlande du Nord, le principal club de Belfast, Linfield FC est composé exclusivement de joueurs protestants. Pendant longtemps, ses matches contre Cliftonville FC, club situé en plein quartier catholique, se jouaient pour raison de sécurité sur terrain neutre à Windsor Park[223]. Suite à la multiplication des incidents à domicile et à l'extérieur, le club catholique de Derry City FC joue désormais dans le championnat d'Irlande. La situation est également tendue à Glasgow entre les protestants du Glasgow Rangers et les catholiques du Celtic FC.
SOCCER ET POLITIQUE
Le football est utilisé comme arme de propagande par le FLN durant la Guerre d'Algérie. Entre avril 1958 et mars 1962, l'Équipe de football du FLN est un puissant ambassadeur de la cause algérienne, malgré l'interdiction par la FIFA d'affronter cette formation [231].
En favorisant LA DIVISION entre les peuples (clans, gamiques, clubs, région contre région, pays contre pays, les slogans et les chants racistes, .....), le sport, et le football en particulier, joue un rôle néfaste.....
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Sports et loisirs. Le principal sport pratiqué au Congo est le soccer. .
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Intro
Les sports pour faire oublier l'exploiteur Britannique
Du sport colonial au sport africain dans les anciens territoires
Londres via ses pays appâte avec ses salaires énormes aux joueurs : un pi`ge dont toutes les masses se laissent prendre
Pourquoi y'a t'il encore des gens qui n'arrivent même pas a avoir l'eau potable chaque jour? alors qu'un mec comme tiger woods touche 2.15 euros par seconde; c'est a dire plus de 1400 fcfa? et plus de 127 euros par minute, donc plus de 83000 fcfa; soit beaucoup plus de trois fois le smic au cameroun?
Le sport, complètement dévoyé et soumis à la compétition marchande (dopage, stars...), est un fidèle reflet de l’arriération de nos "sociétés" et de son idéologie de l’évasion. Critique de la prostitution du sport pour réhabiliter le Sport et l’émulation.
Tous les médias accordent une place totalement disproportionnée aux compétitions sportives et autres « exploits » individuels organisés. Il s’agit de faire de l’audience et de vendre de la pub par tous les moyens. On transforme le moindre tournoi dérisoire en événement exceptionnel et important, quand on ne crée pas de toutes pièces des produits marketing sur mesure. Les sports-spectacles dominants (football, formule 1, tennis, vélo, rugby, boxe, ski...) sont déclinés sous toutes les coutures jusqu’à l’écoeurement, tandis qu’émergent d’autres marchés sportifs juteux (traversées de désert ou d’océan, seul avec son GPS au pôle nord, ronds dans l’eau salée des voiliers géants, patinage, handball...).Vous me direz : comment se fait-il que le sport ait à ce point dévié vers le spectacle débilitant et les produits dérivés ? Comment Diable est-il possible qu’un spectacle aussi lamentable, vide, aberrant et stupide passionne des milliards de gens et génère des flux monétaires colossaux dans les poches des gens qui se sont bien placés ?
Six types de réponses peuvent être apportées pour expliquer ce phénomène de prime abord incroyable. Allons des plus « triviales » aux plus « élevées » :
1. On peut considérer que les fans de compétitions sportives publicitaires sont des idiots à moitié dégénérés totalement perméables aux techniques de manipulation mentale du marketing direct. Ils consomment béatement tout ce qu’on leur dit de consommer, et ils en redemandent au-delà de toute espérance.
Vu que le nivellement des consciences a fait des progrès considérables, et que les sujets baignent depuis avant leur naissance dans les lueurs verdâtres de la télévision, c’est une explication tout à fait plausible, ou en tout cas un facteur favorisant l’accoutumance.
2. Les supporters décérébrés trouvent avec le sport un excellent vecteur de socialisation et de chaleur humaine. L’être humain étant grégaire, les fans ont un excellent terrain commun pour épancher leur besoin de contacts. Peu leur importe que leurs sujets de conversation soient débiles et que leurs élans collectifs de stade soient ridicules, ils sont contents d’être ensemble et de vibrer pour la même ‘cause". Ca les change un peu de l’individualisme froid et impitoyable de la vie quotidienne habituelle.
Les spectateurs sportifs recherchent une communion et des relations ras-les-pâquerettes. Ils sont donc ravis de beugler en choeur dans les stades, en une sorte de chorale virile : « on va tous les tuer » ou « allez Untel ». A la sortie, ils peuvent se raconter les matches et faire des pronostics sur le prochain. Vu qu’ils sont quasi-incapables d’avoir d’autres conversations, à part les vannes à connotation sexuelles et les engueulades « politiques », les commentaires sportifs sont excellents pour le babillage social, tout comme les considérations météorologiques.
Dans la même idée, on peut remarquer un effet moutonnier. Vu que la majorité est béate devant le football, ceux qui ont renoncé à leur personnalité, et/ou qui ont peur d’être exclus, suivent le mouvement, même s’ils ne sont pas aussi enthousiastes. Ils ont peur de sortir du troupeau s’ils ne connaissent pas les résultats du dernier tournoi. On ne se pose pas trop de questions, on fait comme tout le monde.
3. Le spectacle sportif est un excellent moyen pour effacer ses problèmes et ceux de la planète. On trouve de quoi se vider la tête toute l’année. Pendant les matches, on oublie qu’on se fait exploiter à longueur de temps, qu’on détruit sa vie et que les délires « humains » anéantissent la planète et tous ses occupants.
Sans aucun effort, les flots d’images et de commentaires dispensent de penser. Les vrais fans ne vivent plus qu’à travers leur club ou leur champion, et se noient dans les cris, l’alcool et les foules hallucinées. Leurs personnalités originales se dissolvent totalement dans le moule du supporter modèle, peinturluré et volontier hystérique. Ils endossent les couleurs du douillet conformisme aveugle
4. Pour les sujets mâles principalement, l’idolâtrie sportive peut devenir une forme d’affirmation indentitaire, plus ou moins violente. Les mentalités sanguinaires communes aux préhumains trouvent ici un succédané acceptable à la guerre. Les étripages à coup de haches ou de bazookas sont remplacés par des gueulantes vulgaires entre supporters d’équipes adverses. Les stades tiennent lieu de champs de bataille et on retrouve d’ailleurs exactement les mêmes expressions : « vainqueurs », « combat », « on va les saigner », « tuez-le », « victoire », « défaite »...
Parfois, dans le football par exemple, certains supporters ne se contentent pas d’insultes et de hurlements bestiaux. Ils s’affrontent dans de véritables batailles rangées, avec des morts et des blessés (hooligans, ultras...). A présent, en Italie, de petits groupes incontrôlables sortent parfois les couteaux... D’autres sports sont plus policés et moins bruyants, il n’empêche que les mentalités de fond sont identiques.
Les joutes sportives sont donc l’occasion d’affirmations et de démonstrations viriles exacerbées. Des anonymes, des socialement insignifiants, des chômeurs..., bref, des gens ordinaires, se donnent l’impression d’exister par leurs coups de main et leur adhésion à un groupe soudé. Suprême honneur, ils peuvent arriver à passer à la télé ! Par la logique d’affrontement bipolaire inhérente au sport tel qu’il est pratiqué, les passions sont davantage excitées que dans les autres manifestations collectives de type concert. Et c’est bien ce qui plaît et ce qui est recherché. On vient pour se titiller les nerfs et se défouler. Parfois, ça vire au racisme primaire et aux bagarres, mais la plupart du temps, on se contente de trépigner sur place, de s’échauffer l’esprit et de s’arracher les cordes vocales. Il faut bien dépenser pour rien l’énergie qu’on n’emploie pas de manière constructive.
5. Une autre forme d’identification est celle qui permet au supporter de ‘s’attribuer" les victoires de son équipe ou de sa star. Un mystérieux transfert d’énergie passe du champion à ses fans.
Citons le cas typique du buveur de bière gras du bide affalé sur son canapé-lit qui exulte devant la télé en meuglant : ‘on a gagné !!". Par son assiduité et ses encouragements verbaux à distance, il a l’impression d’avoir contribué à la victoire, d’avoir lui-même marqué les buts ou les paniers, alors qu’il n’y est pour rien du tout. Ce sont les mêmes qui se moquent de la magie ou des croyants.
Les gens ont pour habitude d’aduler les personnalités devenues riches et célèbres grâce à leur crédulité volontaire. Les supporters ne semblent pas choqués par les millions qu’encaissent les tapeurs de ballon alors qu’eux triment comme des imbéciles pour un vague SMIC. Au lieu de critiquer violemment les stars et de les ignorer jusqu’à ce qu’elles se dissolvent dans le trou noir de l’oubli, ils se vautrent au contraire à leurs pieds pour avoir un auguste autographe. Ils aiment rêver à la notoriété et à la fortune des autres, et sont ravis d’y participer par leur soutien et leurs achats.
Il est plus facile de vivre des ‘exploits" des autres que de faire des efforts soi-même, que ce soit dans le sport ou ailleurs.
Quand on a déjà le pain, les jeux sont le complément indispensable pour oublier sa condition d’esclave docile. Parfois, chez les plus pauvres, les jeux arrivent à faire oublier l’absence de pain. Une véritable transsubstantiation : le spectacle devient nourriture !
6. Une des raisons du succès du sport médiatique se trouve dans la mythologie de la pureté (lire le livre de Michel Caillat : ‘L’idéologie du sport en France").
Nous sommes dans une époque de plus en plus barbare et sombre malgré les braves déclarations et les ‘ripolinages" au néon. La corruption se révèle en partie, la politique se résume à des conflits d’intérêts et à des compromissions et tractations plus ou moins occultes... On ne veut plus changer de société, mais s’adapter et rafistoler le bordel ambiant, et le seul idéal est celui de l’enrichissement maximal. Les « exploits sportifs » apparaissent alors comme des antidotes, des bouffées d’oxygène purificatrices.
Pour compenser, on fait endosser au sport des habits de lumière et on le pare de toutes les vertus. Il incarne l’égalité, la victoire des plus méritants, l’esprit d’équipe, la fraternité, l’entraide, la chevalerie..., que sais-je encore. Toutes choses qui sont absentes de la vie réelle. On nous gave de victoires héroïques sur les éléments et les limites physiologiques. Les sportifs deviennent des héros, des sages, des icônes, des statues d’or pur, des saints..., qu’il convient de vénérer sans réserve et dont il faut suivre l’exemple avec ferveur.
Dans l’enthousiasme, on oublie simplement que les habits de lumière sont recouverts de pub et que le sport est une fidèle image de la « société », c’est-à-dire qu’il est complètement pourri.
Dès que le moindre argent ou le plus petit honneur sont en jeux, les passions habituelles se déchaînent, et le sport est exactement semblable à la jungle commerciale.
Tricheries, corruptions, dopages, viols, salaires disproportionnés, inégalités hommes/femmes et pays pauvres/riches, esprit de haine et de conquête..., les turpitudes préhumaines sont exactement les mêmes que partout ailleurs. Les habits blancs troués ne cachent plus la face monstrueuse du sport-spectacle et laissent échapper des flots de billets verts tachés de sang.
Mais ça ne fait rien, l’hypocrisie continue. Il faut faire rêver et vendre la soupe.
- Les Etats se servent du sport pour distraire les foules des problèmes de fond et souder la pseudo-nation avec des inepties du genre « intégration des cultures » ou « égalité des chances », comme on a pu le voir lors du championnat du monde de foot en France.
- Les marques cherchent une caution sportive pour se purifier et vendre des ersatz de sainteté. C’est la labellisation par le sport, comme on a les labels monastiques.
- Les médias se régalent (dans le sens de s’en mettre plein les poches) avec un filon inépuisable suivi par des milliards de gogos. Sans parler des fabricants de produits sportifs...
Alors, tout le monde se satisfait d’une idéologie de pacotille, de vertus de façade, de vulgaire patriotisme chauvin... Les mythes du sport, totalement imaginaires et sans rapport avec les sordides réalités, font rêver les masses et pleuvoir les dollars.
Au lieu de faire vivre les vertus et les beaux principes dans la réalité, on en rêve en s’imaginant que le sport les incarne. Des imitations de pureté remplacent ainsi une réelle transformation du monde.
Directement et indirectement, le marché du sport est colossal. Et en plus, il présente l’avantage d’être un puissant moyen de contrôle de toutes les couches de la population.
Que dire aussi de ces pseudo-champions cyniques et arrivistes qui exercent une activité aberrante pour gagner un max de millions avant qu’ils ne soient trop vieux ?
Bien entendu, eux aussi se font exploiter et ils doivent faire des sacrifices. Il n’empêche qu’ils sont complices et profitent à fond du système. Ils ressemblent de plus en plus à des ‘machines à performances", des mutants, des produits médiatiques incarnés, des monstres semblables à ceux qu’on exhibe dans les foires. Ce sont des reflets boursouflés de la ‘société", et pour ceux qui les vénèrent, ils deviennent des sortes de ‘dieux". Les foules préfèrent ces ‘dieux du stade" ras le gazon aux réflexions métaphysiques... Les supporters vivent dans l’espérance d’une victoire. Leurs cris sont des incantations, des sortes de ‘prières". Ils espèrent, par une sorte de magie primitive totalement irrationnelle, contribuer au succès de leurs « dieux » et être ainsi associés à leur substance, à leur aura virtuelle, à leur ‘divinité" intemporelle. De nombreux rites accompagnent les grandes « messes footballistiques » : « peinturlurages », habits, danses, chants...
Hitler et tous les tyrans (la Monarchie) ont compris depuis longtemps la puissance de fascination du sport. Ils s’en sont abondamment servis pour hypnotiser, souder et galvaniser les foules. Nos « démocraties » font de même, mais de manière beaucoup plus étendue et sophistiquée.
"Le sport barbare, Critique d’un fléau mondial"
CES DÉPENDANTS-achetables, DROGUÉS et cochons QUI NOUS GOUVERNENT
''IL EST PLUS FACILE DE SE SERVIR DE SES BRAS QUE DE SA TÊTE'' !!!
Les enfants doivent être préservés des images violentes et des violences diverses du monde des adultes et de notre ‘’fun/plaisir/jeu /sexe : car ils sont aux âges de grande réceptions émotionnelles.
LEURS STRATÉGIES DE CONTRÔLE : le sport
pendant qu’on souffre d’insécurité et de pauvreté.''Quand j'écoute le télé journal sur la guerre, j'ai envie de jouer, de jouer à la guerre'', disent des jeunes. ''J'ai tué 2 Iraquiens et ça m'a donné 20 000 points''
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Bravo ! Bravo pour vos sports de la compétition, cela nous retourne en arrière d'il y a plus de 2 000 ans où les sociétés pédophiles grecques virilisaient leurs enfants à coups d'orgies masculines et les musclaient pour les préparer à leurs guerres débiles !
Il est plus difficile de faire travailler son cerveau ET SA GÉNÉROSITÉ que ses muscles ! Alors ils se combattent et se croient forts de s'élever au-dessus en marchant sur les autres au lieu de ''avec les autres''.
Bravo, pour vos Jeux Olympiques --- cela nous retourne en arrière de 2 500 ans, à Athènes où l’on enseignait la guerre même aux enfants en les y préparant par des exercices de luttes … et avec tout l’art narcissique, la vanité des gagnants et la cupidité à l’honneur.
«Pratiqué avec sérieux, le sport n’a rien à voir avec le fair-play. Il déborde de jalousie haineuse, de bestialité, du mépris de toute règle, de plaisir sadique et de violence; en d’autres mots, c’est la guerre, les fusils en moins.»Cette citation est de George Orwell
«Les sports ont fait jaillir toutes les qualités (défauts) qui servent à la guerre : insouciance, belle-humeur à écraser et nier l'autre dans ses droits, accoutumance à l’imprévu, notion exacte de l’effort gratuit comme sacrifice de sa vie pour sa confrérie, sa gamique, son club.....»."Parmi les jeux de compétitions des Jeux Olympique antiques, l'un des plus populaires était le pancrace, sorte de lutte au sol. Le niveau de violence autorisé était très différent de celui qu'admet la lutte libre contemporaine. Leontiskos de Messène, qui remporta par deux fois la couronne olympiques durant la première moitié du Vème siècle av JC, obtint sa victoire non pas en mettant à terre ses adversaires, mais en leur brisant les doigts. Arrachion de Phigalie, deux fois vainqueur olympique au pancrace, fut étranglé en 561 alors qu'il tentait pour la troisième fois, d'obtenir la couronne olympique ; comme il avait réussi, avant d'être tué, à briser les orteils de son adversaire que la douleur avait contraint à l'abandon, les juges couronnèrent son cadavre. (...) Si un homme était tués au cours d'une compétition qui avait lieu à l'occasion de l'une des grandes fêtes, il était sacré vainqueur. Le survivant perdait sa couronne (...) mais n'était pas puni."
Les affrontements ludiques sont des simulacres de guerre, et inversement, le combat guerrier est depuis la nuit des temps assimilable à un jeu (Johan HUIZINGA). D'ailleurs, les grecs ne parlaient pas de "jeux", mais de compétitions et de rivalité. A l'époque classique, l'esprit de compétition développé sur le stade est tout naturellement mis au service de la cité (Maurice SARTRE).
Le seul ''Pouvoir'' que les Dirigeants de Londres laissent à l'Humanité: c'est celui du SPORT avec ses héros ridicules du ballon et de la rondelle. La monarchie rit de nous et nous, nous défendons nos champions sportifs de l'insignifiance pendant que nos enfants souffrent et...... Ce n'est pas des Batman ni des Superman ni des Hulk ..... qui ne s'en prennent qu'à des petits bandits mais DES SUPERS HÉROS QUI S'ATTAQUERONT AUX IDÉOLOGIES ANTIFRATERNELLES (compétition, vie de combat des chevaliers, concurrence économique pour diviser et voler les pays, prolétarisme pour réduire la vie humaine à celle de fourmis,.....) que nous voulons.
<< style=""> qui suit la spontanéité de son jeu pour le simple plaisir de jouer sans même effleuré par la pensée que son jeu pourrait servir à être chose qu’à s’amuser: la santé se trouve ici. S’il venait le goût de vivre pour le simple plaisir de vivre, s’il renaît la célébration de la vie, s’il renaît la spontanéité matérielle et facile. La négligence de la PARESSE s’appelle ‘’héroïsme’’…. Les gens qui ne veulent jamais relâcher la tension sont êtres arrêtés par les coups de … la fatigue chronique, le burn out, le mal à l’âme… »».
S’abandonner pour le seul plaisir d’exister.
Que d'énergies dépensées inutilement pour la vanité des parents et des ami(e)s, pour épater les cinglés-insignifiants..... Ce ne sont pas les champions ridicules du ballon et de la rondelle que nous voulons: mais les champions de la vie saine et pacifique sans combattre comme des animaux; les héros du Partage et de l'Entraide; les ''winners'' de l'Égalité Économique entre les Pays; ...... Faites vos muscles à aider au lieu de vous penser supérieurs aux autres. ''ON NE DOIT PAS S'ÉLEVER AU-DESSUS DES AUTRES MAIS ''AVEC'' LES AUTRES !!!
REINES ET ROIS
Ont toujours su utiliser le Sport de combat et de compétition pour défouler la masse et la tromper ainsi.
Et c’est par le SPORT que les riches se maintiennent en place, car le SPORT habitue l’Humanité à accepter la compétition et ses hiérarchies par le piège de la culture et de l’amusement.
72 générations d’horreurs et d’enseignements à la vie de combat à la SOCRATE
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BELLE MORALE ET BELLE ÉTHIQUE SOCIALE QUE DE CROIRE QUE LES PLUS FORTS MÉRITENT PLUS QUE LES PLUS DOUX ET LES PLUS RAISONNABLES ; QUE LES PLUS AGRESSIFS ET LES MIEUX SYNDIQUÉS MÉRITENT PLUS QUE LES AUTRES .....
La guerre des pays modernes est la pire : nous nous massacrons les uns les autres sans avoir besoin d’armes de combats, mais nous le faisons avec le Mérite, la compétition, la concurrence, l’endettement des pauvres, la désinformation, en encourageant la décadence et la dépravation, en habituant aux drogues, pour vendre et rendre dépendant, à coups d’homosexualités et d’autres banalisations!
Nous ne devons plus vivre à nous comparer (par la richesse et la force) : au lieu de nous unir et nous apprécier. Sortir de la loi des animaux qu’est La Loi Du Plus Fort !
CE N'EST PAS LE MONDE DES MEILLEURS QUE L'ON VEUT :
MAIS UN MONDE MEILLEUR
Bravo !
Bravo pour vos guerres glorieuses.
Bravo pour vos sports de la compétition !
Bravo pour vos ''champions du ballon et de la rondellle'' : c'est hilarant
Bravo, pour vos Jeux Olympiques et votre Concurrence mondiale imposée par l’Économie du G-20 --- cela nous retourne en arrière de 2 500 ans, à Athènes où l’on enseignait la guerre même aux enfants en les y préparant par des exercices de luttes… et avec tout l’art narcissique, la vanité des gagnants et la cupidité à l’honneur ---
Bravo pour votre ''positivisme'' pour fermer les yeux et faire taire.
SPORT des impuissants: TANT D’ÉNERGIES POUR DU VENT..... ''Hier nous avons gagné.....''
Mais vous avez ''gagné'' quoi ??? Avez-vous : gagné un monde meilleur; un État humaniste; la sécurité de vie et financière pour passer à autres choses que des problèmes d'argent; avez-vous appris à partager entre les Pays; .... ???? NON,! Vous n'avez rien gagné: vous ne cessez de perdre, de perdre votre temps pour des stupidités à vous croire ''champions'' (champions du vide et de l'insignifiance); ..... Chacun de vous avez le pouvoir de changer des choses et vous ne le faites pas: Londres élitiste-méritocratiste vous manipule, et vous en êtes fiers ... Continuez de défendre vos chaînes et vos maîtres, de vous croire libres, libres de suivre et de faire comme tout le monde.....
Les ÉNERGIVORES cacapipitatalistes (capitalistes)
Et dire que les opportunistes, les profiteurs, les suiveux et les peureux passent pour des gagnants, des travaillants, des gens corrects ; et qu’ils se permettent même de mépriser tous ceux qui ne se conforment et ne font pas comme eux. Ils jalousent ceux qui n’ont pas sacrifié leur liberté pour des miettes de dollars et des pitances de confort! Regarder le sport ce n'est pas faire du sport
« Y’a autre choses que de faire des estrade pour le peuple » dit un étudiant en marketing. Le Sport sert à donner l’illusion par des estrades : d’expressions aux gens.
Ce pion de Londres, en arrière de De Gaulle, et avec lui jouaient à la Résistance, aux Nationalistes pour DIVISER. Voilà aussi pourquoi ils utilisaient l'Arme ''SPORT''.
Ces Aristocrates-bourgeois-égoistes-militaires nous accordent en baveux le sport comme seul moyen d'expression collectif
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