Le SOCCER est un sport idéal pour les pauvres: ça  ne leur prend  qu'un ballon pour masquer leurs vies horribles.....  alors ils frappent  le ballon cent fois, mille fois, sans fin comme pour  frapper contre les  coupables inconnus de leurs misères......
 . Pratiqué  en 
   par environ 264 millions de joueurs à travers le monde, le football   possède le statut de sport numéro un dans la majorité des pays. Certains   continents, comme l'
,   sont même presque entièrement dominés par cette discipline. La   simplicité du jeu et le peu de moyens nécessaires à sa pratique   expliquent en partie ce succès.
C'est  d'abord en Angleterre que le soccer connût  sa plus rapide ascension sur  le plan de la pratique et de la simple  popularité. Puis, petit à petit,  la France a apprivoisé à son tour ce  sport qui, depuis, y est devenu  presque une religion, du moins pour  plusieurs.Il s'agit du  transfert le plus coûteux de l'
histoire du 
soccer  anglais. 
... devons tous nous prosterner devant la nouvelle  Mecque du 
soccer britannique!
Le football trouve ses  racines réelles dans la 
soule (ou choule) 
médiévale.  Ce jeu sportif est pratiqué dans les écoles et universités mais aussi  par le peuple des deux côtés de la 
Manche. La première mention écrite de la soule en 
France  remonte à 
1147[6]  et son équivalent 
anglais date de 
1174[7].
Les  Britanniques codifient et organisent le football en s'inspirant des  exemples du 
cricket et du 
baseball,  ces deux 
sports collectifs  étant déjà structurés  avant l'émergence du football. Des ligues  professionnelles aux  championnats et autres coupes, le football n'innove  pas. Le premier 
club non scolaire est fondé en 
1857  : le 
Sheffield Football Club. Le  Sheffield FC dispute le premier match interclub face au 
Hallam FC (fondé en 
1860)  le 
26 décembre 1860  à seize contre seize
[15].  Ces deux clubs pionniers se retrouvent en décembre 
1862  pour le premier match de charité
[15].  La 
Youdan  Cup est la première compétition. Elle se tient en 
1867  à 
Sheffield  et Hallam FC remporte le trophée le 
5 mars[16].  La première épreuve à caractère national est la 
FA Challenge Cup 1872. Le 
professionnalisme est autorisé en 
1885 et le premier championnat se dispute en 
1888-1889.  La Fédération anglaise tient un rôle prépondérant dans cette évolution,  imposant notamment un règlement unique en créant la 
FA Cup, puis les clubs prennent l'ascendant
[17].  La création du 
championnat (
League)   n'est pas le fait de la Fédération mais une initiative des clubs   cherchant à présenter un calendrier stable et cohérent. L'existence d'un   réseau ferroviaire rend possible cette évolution initiée par 
William McGregor, président d'
Aston Villa[18].  Ce premier championnat est professionnel, et aucun club du Sud du pays  n'y participe.

L'
Angleterre   est alors coupée en deux : le Nord acceptant pleinement le   professionnalisme et le Sud le rejetant. Cette différence a des   explications sociales. Le Sud de l'Angleterre est dominé par l'esprit   classique des clubs sportifs réservés à une élite sociale. Dans le Nord   dominé par l'industrie, le football professionnel est dirigé par des   grands patrons n'hésitant pas à rémunérer leurs joueurs pour renforcer   leur équipe, de la même façon qu'ils recrutent de meilleurs ingénieurs   pour renforcer leurs entreprises
[19].  Pendant cinq saisons, le championnat se limite aux seuls clubs du Nord.  Le club londonien d'
Arsenal passe professionnel  en 
1891[20].  La ligue de 
Londres exclut alors de ses compétitions les 
Gunners  d'Arsenal
[21]  qui rejoignent la 
League en 
1893. La 
Southern League est créée en  réaction (
1894)
[22].  Cette compétition s'ouvre progressivement au professionnalisme mais ne  peut pas éviter les départs de nombreux clubs vers la 
League. Les  meilleurs clubs encore en 
Southern League sont incorporés à la 
League  en 
1920[23].
Concernant  le jeu, le passage du 
dribbling game au 
passing game  est  une évolution importante. À l'origine, le football est très   individualiste : les joueurs, tous attaquants, se ruent vers le but   balle au pied, c’est-à-dire en enchaînant les dribbles. C'est le 
dribbling.  Comme 
Michel Platini aime à le rappeler, « le  ballon ira toujours plus vite que le joueur ». C'est sur ce principe  simple qu'est construit le 
passing game. Cette innovation  apparaît à la fin des 
années  1860 et s'impose dans les 
années  1880. Dès la fin des années 1860, des matches entre Londres et  Sheffield auraient introduit le 
passing au Nord
[24].  C'est la version de 
Charles Alcock, qui situe en 
1883  la première vraie démonstration de 
passing à Londres par le 
Blackburn Olympic. Entre ces deux  dates, la nouvelle façon de jouer trouve refuge en 
Écosse[25].
Sur  le modèle de la 
Football Association,  des fédérations nationales sont fondées en 
Écosse (
1873)
[26],  au 
Pays de Galles (
1876)
[27]  et en 
Irlande (
1880)
[28].  Des rencontres opposant les sélections des meilleurs joueurs de ces  fédérations ont lieu dès le 
30 novembre 1872 (
Écosse-
Angleterre), soit quelques  mois avant la fondation officielle de la Fédération écossaise
[29].  Des matches annuels mettent aux prises ces différentes sélections, et à  partir de 
1884, ces matches amicaux se transforment  en une première compétition internationale : le 
British Home Championship. En  pratiquant le 
passing plutôt que le 
dribbling, les  Écossais dominent les premières éditions
[30].
Contrairement  aux sports « nobles » comme le cricket,  le tennis,  le hockey sur gazon et le rugby, le  football n'est pas très développé au sein des clubs sportifs installés  dans l'Empire britannique. Ainsi, cette  discipline est aujourd'hui encore peu prisée en Inde, au Pakistan,  en Amérique du Nord ou en Australie,  notamment. En Afrique du Sud, les colons britanniques y  importent le football dès 1869[31]  puis une coupe du Natal est organisée dès 1884[32],  mais le football, sport roi dans les townships[33],  reste très mal perçu par les tenants blancs de l'apartheid   qui lui préfèrent le rugby, le tennis et le cricket. Le football fut,   il est vrai, en pointe pour dénoncer l'apartheid et dès le 9 avril 1973, une  équipe mêlant joueurs noirs et blancs représente l'Afrique du Sud lors  d'un match international non officiel face à la Rhodésie[34].
   Les   Britanniques jouent pourtant un rôle important dans la diffusion du   football, notamment grâce aux ouvriers dépêchés aux quatre coins du   monde pour mener à bien des chantiers. Le football est par exemple   introduit en Amérique du Sud  par les ouvriers  travaillant sur les chantiers des lignes ferroviaires.  Ils montent des  équipes et mettent en place des compétitions d'abord  réservées aux  seuls joueurs britanniques, et qui s'ouvrent  progressivement aux  joueurs puis aux clubs locaux. Le cas sud-américain  est complexe. Il  existe également des clubs britanniques qui pratiquent  cette discipline  et des étudiants originaires d'Angleterre  jouent un rôle important dans l'introduction du football entre Montevideo  et Buenos Aires[35].  Ainsi, le football s'installe durablement dans des nations comme l'Uruguay  ou l'Argentine  dès les années 1870-80.  En Amérique du Nord, des compétitions sont  créées dans les années 1880 (1884 aux États-Unis  sur la côte Est)[36].
Les   Britanniques jouent pourtant un rôle important dans la diffusion du   football, notamment grâce aux ouvriers dépêchés aux quatre coins du   monde pour mener à bien des chantiers. Le football est par exemple   introduit en Amérique du Sud  par les ouvriers  travaillant sur les chantiers des lignes ferroviaires.  Ils montent des  équipes et mettent en place des compétitions d'abord  réservées aux  seuls joueurs britanniques, et qui s'ouvrent  progressivement aux  joueurs puis aux clubs locaux. Le cas sud-américain  est complexe. Il  existe également des clubs britanniques qui pratiquent  cette discipline  et des étudiants originaires d'Angleterre  jouent un rôle important dans l'introduction du football entre Montevideo  et Buenos Aires[35].  Ainsi, le football s'installe durablement dans des nations comme l'Uruguay  ou l'Argentine  dès les années 1870-80.  En Amérique du Nord, des compétitions sont  créées dans les années 1880 (1884 aux États-Unis  sur la côte Est)[36].
   
L'expansion du football est  également due à des voyageurs de diverses nationalités ayant effectué  des séjours au Royaume-Uni où ils furent initiés au  jeu.
  Les Britanniques sont également déterminants  dans l'introduction du football en France. 
 L'action des clubs  britanniques parisiens des White-Rovers  et du Standard AC fait plier l'Union des  sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA) le 9  janvier 1894,   qui, dans la droite ligne des clubs britanniques guindés, redoutait  une  expansion du football et de ses vices, comme le professionnalisme,  les  transferts et les paris  et se refusait à reconnaître cette discipline[41].  En Allemagne,   le football est d'abord clairement perçu comme un corps étranger à la   nation et est dédaigneusement surnommé le « sport des Anglais » par les   nationalistes[42].  Toutefois, le football prend racine dans les villes (premier club fondé  en 1887 : SC Germania Hambourg) où ouvriers et cols blancs  se rassemblent autour d'une passion commune[42].  L'Europe du Nord est ainsi progressivement contaminée entre  les années 1870 et le début des années  1890, puis l'Europe du Sud (Sud de la France inclus)  connaît le même sort entre les années 1890 et le début du XXe siècle.
Le racingman Frantz Reichel prophétise ainsi en 1922 que « le football  professionnel anglais périra s'il reste cantonné sur le sol britannique[45]  ».
MAIS  LES ANGLAIS NE LE PRATIQU PAS BEAUCOUP: ILS ONT  PROPAGÉ LE SOCCER POUR  ENDORMIR LES MASSES..... C'EST TOUT car tant que  les masses exploités  peuvent s'amuser elles ne se rebelleront pas
Premières règles
  Le premier code de jeu date de 
1848 : les 
Cambridge Rules
J.C.  Thring qui affinent le règlement de Cambridge en 
1862  : Quand la Football Association (FA) est fondée à 
Londres  le 
26  octobre 1863, John D. Cartwright est chargé de faire  une synthèse des différentes règles en usage (
Blackheath  RC qui suivait les règles d'Harrow, était alors membre de la FA)
[51]  . Le 
9 janvier 1864
[52],  le premier match disputé sous ses nouvelles 14 lois du jeu est joué
[53].   Elles sont assez floues, notamment dans les domaines du nombre de   joueurs et des dimensions du terrain ou des buts car un accord n'a pas   pu être trouvé sur ces points. Les équipes comptent alors de treize à   quinze joueurs puis passent à onze progressivement, malgré les   résistances de nombre d'équipes à la fin des 
années  1860. En 
1867, quand la Surrey FA propose un match à  onze contre onze au Cambridge University FC, ce dernier répond par  courrier : 
« nous jouons au minimum à quinze par  équipe et nous ne pouvons pas jouer avec moins de treize joueurs par  équipe[54]  ». La loi 11 précise que l'usage des mains est interdit. De  fait, il s'agit dans les grandes lignes de la reprise des 
Cambridge  Rules et des règles de J.C. Thring, saluées par tous comme les plus  simples
[55].
Le  
1er décembre 1863, le 
Sheffield FC demande son affiliation  à la FA
[55].  Les clubs de 
Sheffield suivent alors un code de jeu particulier  mais proche des 
Cambridge Rules et qui se joue à onze contre  onze
[15].   Pendant plus d'une décennie, les deux codes coexistent et  s'influencent  tandis que certains clubs édictent des règlements  internes stipulant  que seul leur règlement interne est applicable.  Cette situation très  hétérogène n'empêche pas la FA de peaufiner son  règlement. Le poste du  gardien de but est ainsi créé en 
1870[56].  De même, entre 1867 et 1870, les règles de Sheffield connaissent  quelques modifications comme l'abandon en 
1868  du 
rouge[57]  (forme de points semblable au 
football australien, avec deux poteaux supplémentaires  situés à 
4 yards  des buts). Les clubs de la région de 
Nottingham,  qui avaient également un règlement inspiré des 
Cambridge Rules,  adoptent les règles de la FA en 1867
[58].
Avant   l'émergence des premières compétitions officielles, le calendrier des   clubs est uniquement constitué de matches amicaux. Aujourd'hui ce type   de rencontres encore très prisé jusqu'aux années  1960 est devenu anecdotique. Elles ont dû s'effacer devant la  multiplication des épreuves. Pourtant, en 1871, certains clubs anglais furent dans l'impossibilité  de s'inscrire à la première édition de la FA Cup ; leurs calendriers  étaient déjà complets[118].  À la recherche de stabilité, les clubs anglais mettent en place un premier  championnat en 1888-1889. Les deux  éléments de base du calendrier sont en place : le championnat et la  coupe.
Le British Home Championship (1883-1984) est la  première compétition opposant des équipes nationales. Le projet d'une Coupe du monde figure dans les  projets de la FIFA depuis sa création en 1904. Elle voit finalement le jour en 1930, sous la pression de la montée en puissance du tournoi olympique de football.  Avec la professionnalisation du football en-dehors des îles Britanniques  dès les années 1920-1930,  les  équipes nationales présentes aux Jeux ne sont plus les équipes A,  mais  des sélections olympiques comptant uniquement des joueurs amateurs.  Les  nations de l'est, officiellement amateurs, dominent les tournois   olympiques après la Seconde Guerre mondiale. En 1992 le CIO autorise les  professionnels à s'aligner aux Jeux mais la FIFA  refuse d'y envoyer les équipes A. Les  équipes en présence sont les  espoirs (moins de 21 ans au début de la  phase éliminatoire, plus d'un an  avant les JO ; le CIO nomme ces  formations de « moins de 23 ans »)  renforcés par trois joueurs de plus  de 23 ans[128].  Certaines sélections n'utilisent pas cette dernière option et se  contentent d'envoyer aux Jeux leurs équipes espoirs.
PREMIÈRE  GUERRE MONDIALE
Dès 
1905, pourtant, le football compte en France plus de clubs  et de licenciés que le rugby, défendu par les élites. L'
USFSA multiplie ainsi les vexations contre le  football, et programme en 
1911 le match international de football 
France-
Angleterre en lever de  rideau d'un match du 
championnat de France de  rugby[2Les femmes jouent au  football depuis la fin du 
XIXe siècle en 
Angleterre  et en 
Écosse[129].  La 
France  met en place le premier championnat national juste après la 
Première Guerre mondiale[130].  Les recettes sont telles que les joueuses sont rémunérées via la  pratique de l'
amateurisme marron[131].  Le tir de barrage contre la pratique du football par les femmes  s'intensifie
[132]  et le décès d'une joueuse, Miss C.V. Richards, en plein match en 
1926 renforce les tenants de l'interdiction. 
Henri Desgranges (
L'Auto)  est plus radical encore dès 
1925 : 
«  Que les jeunes filles  fassent du sport entre elles, dans un terrain  rigoureusement clos,  inaccessible au public : oui d'accord.Après la 
Seconde Guerre mondiale,  les stades  connaissent de nombreuses révolutions, du toit cantilever  (sans  poteaux de soutien au milieu des tribunes) à la construction de   systèmes d'éclairage pour les matches en nocturne. Les premières   expériences de matches joués à la lumière des projecteurs datent de 
1878, mais ce type de rencontres, interdit en Angleterre  de 
1930 à 
1950, reste marginal jusqu'après la Seconde Guerre  mondiale
[147].  L'éclairage est seulement de quelques centaines de 
lux,  mais la télévision exige au moins 800 lux pour filmer  correctement les  rencontres. Cette demande pressante de la télévision  et les progrès  réalisés au niveau des systèmes d'éclairage permettent  désormais aux  meilleurs stades de disposer d'au moins 1 500 lux.
''Dans le sport on  s'occupe de choses qui n'existent pas pour ne pas s'occuper de ce qui  existe: HORREUR'.'
Le football entre dans la presse  généraliste puis la presse omnisports dès le 
XIXe siècle. Certains titres refusent toutefois  de traiter de ce sport aux racines trop populaires ; 
The Field (créé en 
1853)  qui traite principalement de sports « nobles » comme le 
tennis, le  
golf, le 
sport hippique et la 
chasse  n'ouvre ainsi ses colonnes au football que pour le dénigrer. Même son de  cloche en France avec le quotidien 
L'Auto  qui multiplie les unes sur le rugby mais refuse d'accorder au football  sa première page jusqu'à la 
Grande Guerre[188].
Enjeux locaux
 Comme  l'annonce clairement Alfred Wahl : «  Au  niveau le plus modeste, celui du village, l'association sportive   constitue un champ d'affrontement entre notables car elle peut devenir   un marchepied pour l'accession au pouvoir[221]  ». Le match de football opposant le Dynamo de Peppone à La  Gaillarde de Don Camillo dans le film Le Petit monde  de Don Camillo (1951)  illustre sur le ton de l'humour cette situation.  L'existence de  plusieurs clubs rivaux dans la même ville appartient en  général au  passé, notamment dans les villes moyennes. Certaines grandes  cités sont  parvenues à conserver plusieurs clubs de même niveau, sauf  en France,  où les autorités ont veillé, dès les années  1930, à appliquer la règle : « un club, une ville ».
Les  revendications religieuses ont aussi leur droit de cité dans le  football. En Irlande du Nord, le principal club de Belfast,  Linfield FC est composé exclusivement de joueurs  protestants. Pendant longtemps, ses matches contre Cliftonville FC, club situé en plein  quartier catholique, se jouaient pour raison de sécurité sur terrain  neutre à Windsor Park[223].  Suite à la multiplication des incidents à domicile et à l'extérieur, le  club catholique de Derry City FC joue  désormais dans le championnat d'Irlande. La  situation est également tendue à Glasgow  entre les protestants du Glasgow Rangers et les catholiques  du Celtic FC.
SOCCER ET  POLITIQUE
Le football est utilisé comme arme de  propagande par le FLN durant la Guerre d'Algérie. Entre avril 1958 et mars 1962, l'Équipe de football du FLN est un  puissant ambassadeur de la cause algérienne, malgré l'interdiction par  la FIFA d'affronter cette formation [231].
En   favorisant LA DIVISION entre les peuples (clans, gamiques, clubs,   région contre région, pays contre pays, les slogans et les chants   racistes, .....), le sport, et le football en particulier, joue un rôle   néfaste.....
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Sports et  loisirs. Le principal sport pratiqué au Congo est le soccer. .
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Intro
LE  SOCCER : SPORT DES EXPLOITÉS
Les sports pour faire oublier  l'exploiteur Britannique
Du 
sport colonial au 
sport  africain dans les anciens territoires
''Amuse-toi avec ces jeux de colonisés'' .... pour amuser  des légumes humains
Londres via ses pays appâte avec ses  salaires énormes aux joueurs : un pi`ge dont toutes les masses se  laissent prendre
Pourquoi  y'a t'il encore des gens qui  n'arrivent même pas a avoir l'eau potable  chaque jour? alors qu'un mec  comme tiger woods touche 2.15 euros par  seconde; c'est a dire plus de  1400 fcfa? et plus de 127 euros par  minute, donc plus de 83000 fcfa;  soit beaucoup plus de trois fois le  smic au cameroun?
Le  sport, complètement dévoyé et  soumis à la compétition marchande  (dopage, stars...), est un fidèle  reflet de l’arriération de nos  "sociétés" et de son idéologie de  l’évasion. Critique de la prostitution  du sport pour réhabiliter le  Sport et l’émulation.
 Tous  les médias accordent une place  totalement disproportionnée aux  compétitions sportives et autres «  exploits » individuels organisés. Il  s’agit de faire de l’audience et  de vendre de la pub par tous les  moyens. On transforme le moindre  tournoi dérisoire en événement  exceptionnel et important, quand on ne  crée pas de toutes pièces des  produits marketing sur mesure. Les  sports-spectacles dominants  (football, formule 1, tennis, vélo, rugby,  boxe, ski...) sont déclinés  sous toutes les coutures jusqu’à  l’écoeurement, tandis qu’émergent  d’autres marchés sportifs juteux  (traversées de désert ou d’océan, seul  avec son GPS au pôle nord, ronds  dans l’eau salée des voiliers géants,  patinage, handball...).
Vous  me direz : comment se fait-il que le sport ait à ce point dévié vers le  spectacle débilitant et les produits dérivés ? 
Comment  Diable  est-il possible qu’un spectacle aussi lamentable, vide, aberrant  et  stupide passionne des milliards de gens et génère des flux  monétaires  colossaux dans les poches des gens qui se sont bien placés ?
Six  types de réponses peuvent être apportées pour expliquer ce phénomène de  prime abord incroyable. Allons des plus « triviales » aux plus «  élevées » :
 1.  On peut considérer que les fans de  compétitions sportives publicitaires  sont des idiots à moitié dégénérés  totalement perméables aux techniques  de manipulation mentale du  marketing direct. Ils consomment béatement  tout ce qu’on leur dit de  consommer, et ils en redemandent au-delà de  toute espérance.
 1.  On peut considérer que les fans de  compétitions sportives publicitaires  sont des idiots à moitié dégénérés  totalement perméables aux techniques  de manipulation mentale du  marketing direct. Ils consomment béatement  tout ce qu’on leur dit de  consommer, et ils en redemandent au-delà de  toute espérance.
Vu  que le nivellement des consciences a  fait des progrès considérables,  et que les sujets baignent depuis avant  leur naissance dans les lueurs  verdâtres de la télévision, c’est une  explication tout à fait  plausible, ou en tout cas un facteur favorisant  l’accoutumance.
   2.  Les supporters décérébrés  trouvent avec le sport un excellent vecteur  de socialisation et de  chaleur humaine. L’être humain étant grégaire,  les fans ont un  excellent terrain commun pour épancher leur besoin de  contacts. Peu  leur importe que leurs sujets de conversation soient  débiles et que  leurs élans collectifs de stade soient ridicules, ils  sont contents  d’être ensemble et de vibrer pour la même ‘cause". Ca les  change un peu  de l’individualisme froid et impitoyable de la vie  quotidienne  habituelle.
 2.  Les supporters décérébrés  trouvent avec le sport un excellent vecteur  de socialisation et de  chaleur humaine. L’être humain étant grégaire,  les fans ont un  excellent terrain commun pour épancher leur besoin de  contacts. Peu  leur importe que leurs sujets de conversation soient  débiles et que  leurs élans collectifs de stade soient ridicules, ils  sont contents  d’être ensemble et de vibrer pour la même ‘cause". Ca les  change un peu  de l’individualisme froid et impitoyable de la vie  quotidienne  habituelle.
Les spectateurs sportifs recherchent une  communion et  des relations ras-les-pâquerettes. Ils sont donc ravis de  beugler en  choeur dans les stades, en une sorte de chorale virile : « on  va tous  les tuer » ou « allez Untel ». A la sortie, ils peuvent se  raconter les  matches et faire des pronostics sur le prochain. Vu qu’ils  sont  quasi-incapables d’avoir d’autres conversations, à part les vannes à   connotation sexuelles et les engueulades « politiques », les   commentaires sportifs sont excellents pour le babillage social, tout   comme les considérations météorologiques.
Dans la même idée, on peut  remarquer un effet moutonnier. Vu  que la majorité est béate  devant le football, ceux qui ont renoncé à  leur personnalité, et/ou qui  ont peur d’être exclus, suivent le  mouvement, même s’ils ne sont pas  aussi enthousiastes. Ils ont peur de  sortir du troupeau s’ils ne  connaissent pas les résultats du dernier  tournoi. On ne se pose pas  trop de questions, on fait comme tout le  monde.
   3.  Le spectacle sportif est un  excellent moyen pour effacer ses problèmes  et ceux de la planète. On  trouve de quoi se vider la tête toute l’année.  Pendant les matches, on  oublie qu’on se fait exploiter à longueur de  temps, qu’on détruit sa  vie et que les délires « humains » anéantissent  la planète et tous ses  occupants.
 3.  Le spectacle sportif est un  excellent moyen pour effacer ses problèmes  et ceux de la planète. On  trouve de quoi se vider la tête toute l’année.  Pendant les matches, on  oublie qu’on se fait exploiter à longueur de  temps, qu’on détruit sa  vie et que les délires « humains » anéantissent  la planète et tous ses  occupants.
Sans aucun effort, les flots d’images et de  commentaires dispensent de penser.  Les vrais fans ne vivent  plus qu’à travers leur club ou leur champion,  et se noient dans les  cris, l’alcool et les foules hallucinées. Leurs  personnalités  originales se dissolvent totalement dans le moule du  supporter modèle,  peinturluré et volontier hystérique. Ils endossent les  couleurs du  douillet conformisme aveugle
   4.  Pour les sujets mâles  principalement, l’idolâtrie sportive peut devenir  une forme  d’affirmation indentitaire, plus ou moins violente. Les  mentalités  sanguinaires communes aux préhumains trouvent ici un  succédané  acceptable à la guerre. Les étripages à coup de haches  ou de bazookas sont remplacés par des gueulantes vulgaires entre  supporters d’équipes adverses.  Les stades tiennent lieu de  champs de bataille et on retrouve  d’ailleurs exactement les mêmes  expressions : « vainqueurs », « combat  », « on va les saigner », «  tuez-le », « victoire », « défaite »...
 4.  Pour les sujets mâles  principalement, l’idolâtrie sportive peut devenir  une forme  d’affirmation indentitaire, plus ou moins violente. Les  mentalités  sanguinaires communes aux préhumains trouvent ici un  succédané  acceptable à la guerre. Les étripages à coup de haches  ou de bazookas sont remplacés par des gueulantes vulgaires entre  supporters d’équipes adverses.  Les stades tiennent lieu de  champs de bataille et on retrouve  d’ailleurs exactement les mêmes  expressions : « vainqueurs », « combat  », « on va les saigner », «  tuez-le », « victoire », « défaite »...
Parfois,  dans le football  par exemple, certains supporters ne se contentent pas  d’insultes et de  hurlements bestiaux. Ils s’affrontent dans de  véritables batailles  rangées, avec des morts et des blessés (hooligans,  ultras...). A  présent, en Italie, de petits groupes incontrôlables  sortent parfois  les couteaux... D’autres sports sont plus policés et  moins bruyants, il  n’empêche que les mentalités de fond sont identiques.
Les  joutes  sportives sont donc l’occasion d’affirmations et de  démonstrations  viriles exacerbées. Des anonymes, des socialement  insignifiants, des  chômeurs..., bref, des gens ordinaires, se donnent  l’impression  d’exister par leurs coups de main et leur adhésion à un  groupe soudé.  Suprême honneur, ils peuvent arriver à passer à la télé ! Par   la logique d’affrontement bipolaire inhérente au sport tel qu’il est   pratiqué, les passions sont davantage excitées que dans les autres   manifestations collectives de type concert. Et c’est bien ce qui plaît   et ce qui est recherché. On vient pour se titiller les nerfs et   se défouler. Parfois, ça vire au racisme primaire et aux bagarres,  mais  la plupart du temps, on se contente de trépigner sur place, de   s’échauffer l’esprit et de s’arracher les cordes vocales. Il faut bien   dépenser pour rien l’énergie qu’on n’emploie pas de manière   constructive.
   5.  Une autre forme d’identification est  celle qui permet au supporter de  ‘s’attribuer" les victoires de son  équipe ou de sa star. Un mystérieux  transfert d’énergie passe du  champion à ses fans.
 5.  Une autre forme d’identification est  celle qui permet au supporter de  ‘s’attribuer" les victoires de son  équipe ou de sa star. Un mystérieux  transfert d’énergie passe du  champion à ses fans.
Citons le  cas typique du buveur de  bière gras du bide affalé sur son canapé-lit  qui exulte devant la télé  en meuglant : ‘on a gagné !!". Par son  assiduité et ses encouragements  verbaux à distance, il a l’impression  d’avoir contribué à la victoire,  d’avoir lui-même marqué les buts ou les  paniers, alors qu’il n’y est  pour rien du tout. Ce sont les mêmes qui  se moquent de la magie ou des  croyants.
Les gens ont pour  habitude d’aduler les  personnalités devenues riches et célèbres grâce à  leur crédulité  volontaire. Les supporters ne semblent pas choqués par  les millions  qu’encaissent les tapeurs de ballon alors qu’eux triment  comme des  imbéciles pour un vague SMIC. Au lieu de critiquer  violemment  les stars et de les ignorer jusqu’à ce qu’elles se dissolvent  dans le  trou noir de l’oubli, ils se vautrent au contraire à leurs  pieds pour  avoir un auguste autographe. Ils aiment rêver à la notoriété  et à la  fortune des autres, et sont ravis d’y participer par leur  soutien et  leurs achats.
  Il est plus facile de vivre des ‘exploits"  des autres que de faire des efforts soi-même, que ce soit dans le sport  ou ailleurs.
Quand  on a déjà le pain, les jeux sont le complément  indispensable pour  oublier sa condition d’esclave docile. Parfois, chez  les plus pauvres,  les jeux arrivent à faire oublier l’absence de pain.  Une véritable  transsubstantiation : le spectacle devient nourriture !
   
 6. Une des  raisons du succès du sport médiatique se trouve dans la  mythologie de la pureté (lire le livre de Michel Caillat :  ‘L’idéologie du sport en France").
 6. Une des  raisons du succès du sport médiatique se trouve dans la  mythologie de la pureté (lire le livre de Michel Caillat :  ‘L’idéologie du sport en France").
Nous sommes dans une époque de plus en plus barbare  et sombre  malgré les braves déclarations et les ‘ripolinages" au néon.  La  corruption se révèle en partie, la politique se résume à des conflits   d’intérêts et à des compromissions et tractations plus ou moins   occultes... On ne veut plus changer de société, mais s’adapter   et rafistoler le bordel ambiant, et le seul idéal est celui de   l’enrichissement maximal. Les « exploits sportifs » apparaissent alors   comme des antidotes, des bouffées d’oxygène purificatrices.
Pour   compenser, on fait endosser au sport des habits de lumière et on le   pare de toutes les vertus. Il incarne l’égalité, la victoire des plus   méritants, l’esprit d’équipe, la fraternité, l’entraide, la   chevalerie..., que sais-je encore. Toutes choses qui sont absentes de la   vie réelle. On nous gave de victoires héroïques sur les éléments et  les  limites physiologiques. Les sportifs deviennent des héros, des  sages,  des icônes, des statues d’or pur, des saints..., qu’il convient  de  vénérer sans réserve et dont il faut suivre l’exemple avec ferveur.
Dans   l’enthousiasme, on oublie simplement que les habits de lumière sont   recouverts de pub et que le sport est une fidèle image de la « société   », c’est-à-dire qu’il est complètement pourri.
Dès que le   moindre argent ou le plus petit honneur sont en jeux, les passions   habituelles se déchaînent, et le sport est exactement semblable à la   jungle commerciale.
Tricheries, corruptions, dopages, viols, salaires   disproportionnés, inégalités hommes/femmes et pays pauvres/riches,   esprit de haine et de conquête..., les turpitudes préhumaines sont   exactement les mêmes que partout ailleurs. Les habits blancs troués ne   cachent plus la face monstrueuse du sport-spectacle et laissent échapper   des flots de billets verts tachés de sang.
  Mais ça ne fait  rien, l’hypocrisie continue. Il faut faire rêver et vendre la soupe.
   -   Les Etats se servent du sport pour distraire  les foules des problèmes  de fond et souder la pseudo-nation avec des  inepties du genre «  intégration des cultures » ou « égalité des chances  », comme on a pu le  voir lors du championnat du monde de foot en  France.
 
-  Les  marques cherchent une caution sportive pour se  purifier et vendre des  ersatz de sainteté. C’est la labellisation par  le sport, comme on a les  labels monastiques.
 
-  Les médias se  régalent (dans le sens de  s’en mettre plein les poches) avec un filon  inépuisable suivi par des  milliards de gogos. Sans parler des  fabricants de produits sportifs...
Alors,  tout le  monde se satisfait d’une idéologie de pacotille, de vertus de  façade,  de vulgaire patriotisme chauvin... Les mythes du sport,  totalement  imaginaires et sans rapport avec les sordides réalités, font  rêver les  masses et pleuvoir les dollars.
Au lieu de faire  vivre les  vertus et les beaux principes dans la réalité, on en rêve en   s’imaginant que le sport les incarne. Des imitations de pureté   remplacent ainsi une réelle transformation du monde.
Même dans ses formes  les plus bénignes, le sport est indispensable à la bonne marche de la «  société ». C’est d’abord une puissante pompe à fric : habits et accessoires  individuels branchés se vendent comme des petits pains. Ensuite,  c’est un des  instruments les plus performants du maintien des choses en  l’état. On  préfère que « les jeunes » et les autres se défoncent sur  les stades  plutôt qu’ils songent à la révolution. Les pouvoirs préfèrent  les  meutes beuglantes des grands soirs de matches aux mouvements   d’activistes.  Les différentes classes sociales s’emparent du sport pour le   transformer en un des moyens d’affirmation de sa stature financière et   de sa « branchitude ». Plus que jamais, il faut avoir l’air jeune et   dynamique, les sports de masse sont donc tout indiqués. Et fleurissent   les rollers, les trottinettes new look, les cyclistes fluos, les cadres   en costard et baskets, les vélos d’intérieur...Directement   et indirectement, le marché du sport est colossal. Et en plus, il   présente l’avantage d’être un puissant moyen de contrôle de toutes les   couches de la population.
Que dire aussi de ces   pseudo-champions cyniques et arrivistes qui exercent une activité   aberrante pour gagner un max de millions avant qu’ils ne soient trop   vieux ?Bien entendu, eux aussi se font exploiter et ils   doivent faire des sacrifices. Il n’empêche qu’ils sont complices et   profitent à fond du système. Ils ressemblent de plus en plus à des   ‘machines à performances", des mutants, des produits médiatiques   incarnés, des monstres semblables à ceux qu’on exhibe dans les foires.   Ce sont des reflets boursouflés de la ‘société", et pour ceux qui les   vénèrent, ils deviennent des sortes de ‘dieux". 
Les foules  préfèrent ces ‘dieux du stade" ras le gazon aux réflexions  métaphysiques...  Les supporters vivent dans l’espérance d’une  victoire. Leurs cris sont  des incantations, des sortes de ‘prières".  Ils espèrent, par une sorte  de magie primitive totalement  irrationnelle, contribuer au succès de  leurs « dieux » et être ainsi  associés à leur substance, à leur aura  virtuelle, à leur ‘divinité"  intemporelle. De nombreux rites  accompagnent les grandes « messes  footballistiques » : « peinturlurages  », habits, danses, chants...
Hitler  et tous les tyrans  (la Monarchie) ont compris depuis longtemps la  puissance de fascination  du sport. Ils s’en sont abondamment servis  pour hypnotiser, souder et  galvaniser les foules. Nos « démocraties » font de même, mais de manière  beaucoup plus étendue et sophistiquée."
Le  sport barbare, Critique d’un fléau mondial"